La tension est montée d'un cran mercredi au Niger où l'opposition a revendiqué sa victoire à la présidentielle après l'annonce officielle de celle du candidat du pouvoir, provoquant des manifestations de mécontentement dans plusieurs villes de ce pays pauvre déja confronté à d'immenses défis, dont la menace jihadiste. Les précisions de Jean-Claude Félix-Tchicaya, chercheur à l'IPSE.