Le mauvais temps complique la tâche des secours et le ministre turc de l'Intérieur a averti mardi 7 février que les prochaines 48 heures seraient "cruciales" pour retrouver des survivants. A Gaziantep, ville située tout près de l'épicentre, une habitante a déjà perdu l'espoir de retrouver vivante sa tante enfouie sous les décombres. "C'est trop tard. Maintenant nous attendons nos morts", a-t-elle confié.