Le président sortant Jair Bolsonaro, sortant d'un long silence de deux jours, s'est engagé à respecter la Constitution, sans toutefois reconnaître explicitement sa défaite face à Lula, son adversaire de gauche. Il a également déclaré que les
mouvements de protestation étaient le fruit de "l'indignation et d'un sentiment d'injustice" après les résultats.