"La rébellion n'aurait été que embryonnaire puisqu'il n'y aurait eu en fait qu'une vingtaine de militaires qui se seraient ralliés à Juan Guaido", ajoute la correspondante.
Toutefois, le général en chef de la police politique a été démis de ses fonctions. "Il y aurait peut-être des fissures au sein de l'armée".
Par ailleurs, le mouvement de grève lancé par Juan Guaido ce jeudi n'a pas été suivi. "Il faut attendre ces prochains jours car il a annoncé qu'elle serait graduelle".