Dans une décision inédite, la justice française a émis le 14 novembre des mandats d'arrêt international contre le président syrien Bachar al-Assad, son frère et deux responsables, accusés d'avoir utilisé des armes chimiques interdites contre des civils dans la Ghouta orientale en 2013, entraînant la mort de plus d'un millier de personnes. Décryptage avec Dana Alboz, journaliste à InfoMigrants