Le Parlement examine depuis le début de la semaine un texte de loi visant à lever l'interdiction des mutilations génitales féminines (MGF). L'excision est interdite depuis 2015 dans le pays mais reste une coutume profondément ancrée dans le pays. Cette question divise ce petit pays d'Afrique de l'Ouest, à majorité musulmane, depuis des mois.