Le Rassemblement national de Marine Le Pen, qui se targue d'un rôle d'arbitre, a soufflé ce week-end le chaud et le froid sur le gouvernement du nouveau Premier ministre Michel Barnier, entre promesses de ne pas participer "au désordre" et menaces de censure. Est-ce une manière de revisiter le jeu du chat et de la souris ? Alors que Michel Barnier a poursuivi dimanche ses consultations pour former son équipe ministérielle et définir sa feuille de route, le Rassemblement national, dont les dirigeants ont saturé l'espace médiatique ce week-end, a fait savoir qu'il entendait plus que jamais se poser au centre du jeu. Son bras armé: le contingent de 126 députés à l'Assemblée - et même 142 avec l'appoint des alliés d'Eric Ciotti - qui pourrait tenir dans ses mains l'avenir du futur gouvernement. Décryptage avec Hubert Huertas, auteur, journaliste politique, essayiste (Mediapart).
Michel Barnier à Matignon : Grâce à Macron, Le Pen "a gagné la belle, elle est revenue dans le jeu"
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