En Tunisie depuis sa publication, le décret présidentiel n°54 relatif à la lutte contre les crimes liés aux systèmes d’information et de communication a suscité beaucoup d’inquiétude. Une interprétation très large de ce texte permet aux autorités de mettre la pression sur les journalistes mais aussi sur les citoyens. Une pression qui semble s’être accrue en cette période d’élections législatives.