Depuis quatre mois, le visage de Mahsa Amini, morte le 16 septembre en détention, porte la révolte de milliers d'Iraniens. Si les cortèges semblent s'étioler face à une répression de plus en plus forte, la colère des protestataires, elle, ne faiblit pas. Les explications de Ravina Shamdasani, porte-parole du Bureau des droits de l'Homme de l'ONU.