Au Brésil, les trafiquants gagneraient près de 2 milliards de dollars par an. Le pays qui a la plus grande biodiversité au monde serait l'un des principaux exportateurs : il déplace illégalement à lui seul environ 38 millions d'animaux sauvages par an, dont 80 % d'oiseaux, et souvent des espèces menacées. Beaucoup sont destinés à des collectionneurs ou à des éleveurs locaux ; car ici, c'est une véritable tradition de posséder un oiseau chez soi. Cet engouement pour les volatiles cache un marché illégal très lucratif. Avec l'aide de la police environnementale, des militants brésiliens cherchent à sauver ces oiseaux en voie de disparition. Mais sous la présidence sortante de Jair Bolsonaro, le budget de la police environnementale a été drastiquement réduit, compliquant leur travail. Reportage de nos correspondants.
Au Brésil, la lutte de la police environnementale pour sauver des trafiquants les oiseaux protégés
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