En visite au Kazakhstan le 28 novembre, le président russe a averti qu’il n’hésiterait pas à frapper Kiev avec son nouveau missile hypersonique "Orechkine", testé une semaine plus tôt contre une usine d’armements de la ville ukrainienne de Dnipro. Une frappe en forme d’avertissement adressé aux Occidentaux, selon Poutine et sa propagande, s’ils s’avisaient de continuer à aider l’Ukraine. En "ultime recours", la Russie n’hésitera pas à envoyer des bombes nucléaires sur les pays de l’OTAN, prévient-il, plus que jamais explicite dans ses menaces.