Le procès d'un jihadiste malien poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité, viols et esclavage sexuel commis dans le contexte de mariages forcés et destruction de mausolées à Tombouctou s'ouvre mardi devant la Cour pénale internationale (CPI). "Le procès risque d'être compliqué en raison de la pandémie de Covid-19, notamment pour faire venir des témoins du Mali", explique Stéphanie Maupas, correspondante France 24 à La Haye.