CAC 40 : Entre récession molle et IA sous stéroïdes, bienvenue en 2025 | page 3

Brunel2

17 mai 2025 •00:46

Passez votre chemin, ici il n'y aura que de la propagande

Vivamus

17 mai 2025 •07:06

Brunel2

17 mai 2025 •00:46

Passez votre chemin, ici il n'y aura que de la propagande

A la trappe, cher troll au cuit de protozoaire 👋

Vivamus

17 mai 2025 •08:08

Pour ce secteur, il reste les espoirs de fusions et acquisitions qui sont de retour.

Vivamus

17 mai 2025 •09:08

Les deux mon capitaine, c'est assez savoureux après coup 😚​

​WASHINGTON/NEW YORK, 13 mai (Reuters) - Le secteur bancaire est optimiste et pense que les régulateurs américains vont bientôt modifier le montant du capital qu'ils mettent de côté pour des investissements généralement sûrs, en particulier après les turbulences sur les marchés du Trésor le mois dernier.
Une telle mesure de révision du "ratio de levier supplémentaire" pourrait réduire le montant des liquidités que les banques doivent mettre en réserve, ce qui les libérerait pour des prêts plus importants ou d'autres activités, et pourrait inciter les banques à jouer un rôle plus important dans l'intermédiation des marchés des bons du Trésor.

Vivamus

17 mai 2025 •15:58

"Chine en tête, les BRICS vont se sentir pousser des ailes"

MIAMI (AP) - Le gouvernement colombien a demandé à rejoindre une banque de développement basée en Chine, un autre signe de la dérive de l'Amérique latine loin des États-Unis, alors que les réductions de l'aide étrangère de l'administration Trump, les barrières commerciales et la répression de l'immigration incitent de nombreux dirigeants de la région à rechercher des liens plus étroits avec le rival géopolitique de Washington.

Vivamus

17 mai 2025 •16:10

Morningstar, au sujet de la dérégulation
https://urls.fr/m5MJxr

Vivamus

17 mai 2025 •20:46

Vivamus

17 mai 2025 •15:58

"Chine en tête, les BRICS vont se sentir pousser des ailes"

MIAMI (AP) - Le gouvernement colombien a demandé à rejoindre une banque de développement basée en Chine, un autre signe de la dérive de l'Amérique latine loin des États-Unis, alors que les réductions de l'aide étrangère de l'administration Trump, les barrières commerciales et la répression de l'immigration incitent de nombreux dirigeants de la région à rechercher des liens plus étroits avec le rival géopolitique de Washington.

Les BRICS enregistrent en 2025 une croissance économique de 3,4 %, bien supérieure à celle des États-Unis, projetée à seulement 1,4 % selon le FMI.
Des pays comme l’Inde, l’Éthiopie et la Chine tirent cette dynamique, renforçant le poids global du bloc sur l’économie mondiale.
Le FMI confirme que les BRICS représentent désormais 40 % du PIB mondial, et jusqu’à 41 % en parité de pouvoir d’achat (PPP).
Les États-Unis, en pleine stagnation économique, peinent à suivre cette dynamique et pourraient perdre leur rôle central dans l’économie mondiale.