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Retour au sujet ATOS

ATOS : Atos Post Restructuration | page 6

14 août 2024 16:22

Bonjour à tous,

Après « Austerlitz vs Waterloo » qui a vu One Point l’emporter.

Après « Obama Beach » et un tank LGIM venu mettre tout le monde d’accord sur les nouveaux propriétaires US qui ne se feraient pas hair cut.

Après « victoire par KO » qui a donné un lock up remporté par les créanciers et une procédure de sauvegarde qui punit ceux qui obligé à cette dette de guerre monstrueuse.

Nous avons confirmation depuis hier que les nouveaux propriétaires sont installé et prêts à prendre possession de leur nouveau bien:

-64% d’Atos aux créanciers actionnaires après revente de ceux au dessus de 10%
-19,8% d’Atos à l’anchor investor « industriel » choisi par le CA, le CIRI et client VIP de Rothschild + 10% d’Atos qui iront probablement à l’industriel par échange hors marché pour éviter ce qui est arrivé lors du retrait de One Point (une bonne partie des titres racheté par la VAD)
-6% pour les actionnaires historiques

La grande question:

Qui est l’industriel?

À vos hypothèses.

296 réponses

  • 25 septembre 2024 15:50

    Je ne l’ai pas en entier mais le plan est sur la base du code du commerce… donc peuvent pas faire tout et n’importe quoi.

    Ce qui est écrit dans le Plan ne peut être modifié qu’à la marge.


  • 25 septembre 2024 16:12

    Investir, aujourd'hui, : "votez contre"


  • 26 septembre 2024 12:34

    Article du Monde qui écrit la victoire par KO des créanciers au 26 Septembre, à prendre avec des pincettes puisque la position du Monde sur ce dossier à révéler leur manque de probité et une grande mansuétude pour EPEI pendant la bataille sur la Pratzen:

    « Le résultat de leur vote devait être connu vendredi, au plus tard. Une approbation fait peu de doute : ce sont les créanciers qui ont dessiné le plan de restructuration de la dette face à celui présenté avant l’été par le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky. »

    Reste plus qu’à attendre l’issue de notre vote demain, le Monde confirme:

    « Convoqués pour une réunion vendredi 27 septembre, à 14 heures, ils auront à se prononcer sur un plan de restructuration de la dette qui promet de leur faire perdre le peu qui leur reste : une fois celui-ci appliqué, ils ne détiendront plus que 0,05 % du capital, sauf s’ils acceptent de remettre 233 millions d’euros au pot. Dans ce cas, ils conserveraient 25,75 % des parts. »

    Sans compter le vote dissident, ni les BSA.

    Décevant le Monde…


  • 26 septembre 2024 14:17

    Le M. : Ca fait deux décennies que ce journal est estimé sur un passé du siècle dernier. Il n'est même plus en kiosque par chez moi.

    A propos du "modifié" : c'est là que je mets les BSA sur le billot.


  • 26 septembre 2024 14:57

    Bonjour

    Je suis PP de 600 actions
    je peux voter contre ? si oui vous avez le lien ?


  • 26 septembre 2024 15:00
    25 septembre 2024 15:38

    Investir Les Échos écrit:

    « assemblée générale Atos: votez contre le PSA »

    On peut pas faire plus clair et explicite.

    J’ai rarement vu une telle com’, tout est fait pour que la classe actionnaire se mobilise à voter contre.

    Je n'ai pas accès à l'article. Mais vu la teneur du chapeau, ce que semble vouloir dire l'auteur :

    Si vous votez pour, vous l'avez dans le baba. Si vous votez contre, vous avez une chance infime que le juge modifie le plan dans un sens moins pénalisant pour les petits porteurs.

    Mais ce ne sont que des supputations.


  • 26 septembre 2024 15:13

    M6478729 Non vous ne pouvez plus.


  • 26 septembre 2024 15:56

    Millenium commence le rachat de couverture. Déclaration AMF.

    Les créanciers ont donc dû valider le PSA pour leur classe.

    À nous demain de savoir si nous obtenons la classe dissidente.


  • 26 septembre 2024 16:09
    26 septembre 2024 15:56

    Millenium commence le rachat de couverture. Déclaration AMF.

    Les créanciers ont donc dû valider le PSA pour leur classe.

    À nous demain de savoir si nous obtenons la classe dissidente.

    https://bdif.amf-france.org/615999d3-52af-448c-b7fc-cdbb893bbd04


    MILLENNIUM CAPITAL PARTNERS LLP

    2.85 %

    2024-09-25


  • 26 septembre 2024 16:16

    victorda vous pensez que ce sont les achats de Millenium qui maintiennent le cours sur le range 0.65/0.69 ?

    D'après l'avis de Map, si il y a des fuites négatives sur le vote électronique des actionnaires (clos il y a quelque heures), le titre peut commencer à plonger avant même la fin de séance ? Ou alors gap baissier demain à l'ouverture ?


  • 26 septembre 2024 17:16

    Bonsoir tchenkko ,

    Je ne vois pas de quelle fuite il est question.

    Avec debutant2B et FabRazor , nous avons identifié une VAD de couverture de Millenium et un contrat d’encadrement du titre de Rothschild. Le statut quo d’un titre sous contrôle.
    Le vote des créanciers est acquis, même le Monde l’écrit « plan écrit par les créanciers eux même à leurs condition pour éviter la liquidation »

    Nous avons évoqué ce qu’ils récupèrent par ce plan, et à cela s’ajoute les ajouts du 16 Septembre qui ont changé les seuils pour que leur classe soie validée. Donc c’est acquit côté classe créanciers.

    Il reste le vote actionnaire, nous montons seuls ou accompagné d’un Ulysse. Nous sommes dissidents ou pas. Ces données maintient le titre sous pression.

    Ensuite, annuler les ventes spoliatrices car les créanciers comme le ÇA n’ont aucune intention de vendre à prix cassé. Donc pour le CIRI, la partie est serrée car sans Ulysse, ils devront soit monter sur une actif, soit nous soutenir actionnaire résistants, pour rester suffisamment au capital pour éviter une prise de contrôle totale d’Atos par les créanciers.

    Les seuls qui attendent la liquidation, ce sont les charognard du premier triumvirat. Ils espèrent la liquidation mais c’est fini, cela n’arrivera pas.

    Le champs de bataille est vaste et ne se résume pas au PSA même si cela en est la pièce angulaire.


  • 26 septembre 2024 17:32

    D’ailleurs, pour rester dans le thème du plan que nous avons épluché, un intérêt à ce que nous soyons classé dissidente et nous est passé inaperçu:

    L’AK éventuelle, réservée aux créanciers pour le moment, pourrait être imposée par le TC en cas de vote négatif demain, et donc c’est de l’argent frais qui provient des actionnaires résistants qui s’ajoute aux besoins en liquidité d’Atos.
    350 M€ qui entrent, ça mérite bien des BSA?

    Et bizarrement, ça couvre bien l’annulation de la vente de Worldgrid à prix bradé.

    Brillant monsieur Mustier…


  • 27 septembre 2024 08:53

    Bonjour à tous,

    Merci à ceux qui ont partagé l’article du journal de Natacha. J’ai pu le lire avant qu’il ne soie effacé.

    Donc Mariane confirme le choix, pour le moment, du chouchou du CIRI, le bien nommé théorème.
    Cette annonce était bien évidemment prévue, autant que le choix d’essayer de partir avec BDS à prix cassé.

    Du coup, ils reprennent les vieilles habitudes du temps d’Austerlitz, la bataille médiatique et celle des coup en douce. Ne nous leurrons pas, le business massacré, les médias et l’attaque boursière, c’est Thales.

    Donc, ceci étant dit, il n’y aura pas de vente bradée et il n’y aura pas la liquidation. Le champion des charognards peut donc encore monter avec nous jusqu’au jugement du TC, à voir ce que nous obtenons.

    Car l’option AK éventuelle + BSA, cela permet à Atos de ne rien vendre et oblige Ulysse à monter avec nous dans la périlleuse aventure. Pour le moment, Thales et le CIRI veulent se passer de partager avec nous et préfèrent continuer la spoliation…

    Donc à tout à l’heure, a voir si nous obtenons un plan équitable ou pas.


  • 27 septembre 2024 11:20

    Hello à tous,

    BFM Business ce matin, La pêche prétend que EPEI et OnePoint sont toujours à l'affut.. Pas d'éléments concrets mais d'accord avec vous victorda que les charognards continuent de suivre le morceau de près et qu'ils n'hésiteront pas à se servir si une opportunité se présente. Le résultat du vote, tout à l'heure, donnera une tendance claire de la situation et des forces en présence.

    Bon courage à tous


  • 27 septembre 2024 13:09

    Bonjour porthos92 ,

    Content de vous lire. En effet, les charognards rôdent toujours, juste tenu derrière la berezina mais ils espèrent que le plan tombe à l’eau.

    Un début de campagne de dénigrement se met en place. Si nous obtenons le vote dissident et donc l’AK éventuelle et les BSA, ce sera une longue bataille pour se redresser.


    Si nous obtenons le jugement forcé dans les termes du plan et du code du commerce, BDS ne sera plus jamais vendable sous les 1,5 Md €. Hors, les charognes la veulent au prix d’une liquidation.

    Car face, il y’a du monde, Airbus, Thales, dassault et autres feront tout pour planter la boîte.

    Sauf que l’Etat peut difficilement se permettre de perdre la main qu’ils avaient donc l’un d’eux montera en Ulysse si jamais leur plan de spoliation capote. Ce sera vraiment en dernière solution car Thales, ils sont pas là pour faire dans la dentelle, donc il faut être costaud et les contraindre à partager le risque avec nous ou à nous laisser gérer la boîte seuls avec les créanciers.

    Tout à l’heure et le jugement du TC sur ce qui nous sera proposé si nous sommes dissident seront des game changer.

    La propagande des médias n’y changera rien, ils sont grillés


  • 27 septembre 2024 14:00

    Là où Pechberty n'a pas tort, c'est que le plan prévu par ATOS est très optimiste, et à la moindre erreur, ça risque de dérailler. Premier pas le 31/10 pour voir si ATOS se met à tenir ses promesses.


  • 27 septembre 2024 14:59
    27 septembre 2024 13:09

    Bonjour porthos92 ,

    Content de vous lire. En effet, les charognards rôdent toujours, juste tenu derrière la berezina mais ils espèrent que le plan tombe à l’eau.

    Un début de campagne de dénigrement se met en place. Si nous obtenons le vote dissident et donc l’AK éventuelle et les BSA, ce sera une longue bataille pour se redresser.


    Si nous obtenons le jugement forcé dans les termes du plan et du code du commerce, BDS ne sera plus jamais vendable sous les 1,5 Md €. Hors, les charognes la veulent au prix d’une liquidation.

    Car face, il y’a du monde, Airbus, Thales, dassault et autres feront tout pour planter la boîte.

    Sauf que l’Etat peut difficilement se permettre de perdre la main qu’ils avaient donc l’un d’eux montera en Ulysse si jamais leur plan de spoliation capote. Ce sera vraiment en dernière solution car Thales, ils sont pas là pour faire dans la dentelle, donc il faut être costaud et les contraindre à partager le risque avec nous ou à nous laisser gérer la boîte seuls avec les créanciers.

    Tout à l’heure et le jugement du TC sur ce qui nous sera proposé si nous sommes dissident seront des game changer.

    La propagande des médias n’y changera rien, ils sont grillés

    L'État étant actionnaire de Thalès (26%), il ne va pas se tirer une balle dans le pied.


  • 27 septembre 2024 15:13

    Première modification
    Souscription totale à l’Ak 1= 28,1% du capital post restructuration pour les actionnaires (dixit PDG)


  • 27 septembre 2024 15:24

    Ce chiffre m'a échappé. Comment cela est possible ? Quel est votre avis sur la prise de parole de M Mustier qui nous suggère de voter "Oui" pour ne pas ralentir le processus de restructuration ? j'ai l'impression qu'il se ...

    Comprenne qui pourra


  • 27 septembre 2024 15:36

    C’est monsieur Mustier qui l’a dit dans sa présentation du plan et il a insisté dessus.
    Concernant son « oui », il ne peut se désavouer, il porte le plan V1, ce sont les experts qui conseillent la V2

    Remarquez qu’ils chargent les médias dans leur responsabilité sur l'historique de faits. Ils semblent mettre en garde le début de propagande depuis hier...


  • 27 septembre 2024 15:55

    Quelqu’un a posé la question:
    Atos et la mandataire partent donc du principe qu’on aura l’AK éventuelle


  • 27 septembre 2024 16:08

    Yes j'ai entendu la réponse merci Victorda :)


  • 27 septembre 2024 16:26

    J'ai posé la question sur la nécessité de passer en nominatif.
    Question ignorée...


  • 27 septembre 2024 17:09

    Une seule question en ligne je crois… Et la tension était palpable. Et après tout, c’est normal, ils nous annoncent devoir lâcher 2081€ pour 560000 titres + AK éventuelle pour conserver 28,1% de la boîte (+ BSA pour certains actionnaires) donc quand tu annonces cela, je préfère un certain sérieux. Même si j’aurai aimé qu’ils encaissent mieux les reproches, même s’ils ne sont que tributaires de leurs prédécesseurs…


  • 27 septembre 2024 21:12

    victorda

    Bonjour!
    J'espère que vous allez bien!
    J'ai un peu abandonné l'histoire, le forum ne voulait plus envoyer mes messages, je pense même que le message vous répondait longuement ou à Debutant.

    Pourquoi dites vous que les charognards tournent autour?
    Je pense que pour l'instant, il y a une certaine protection quant à une vente précipitée des actifs, et que même l'article du Figaro dit un peu n'importe quoi.
    Les créanciers ont construit une grosse couche de protection. Alors certes l'Etat français a explicité une contrainte (9,9% si non français), mais il y a aussi un fond français si je me souviens bien qui peut un peu aller plus loin.

    Le problème d'Atos reste celui de la confiance et le rétablissement de vrais comptes tout comme le redressement opérationnel.

    Pour Onepoint, je ne les vois pas revenir avant 2 ans, pour EPEI s'ils sortent un peu plus le chéquier bien sûr.


  • 27 septembre 2024 21:55

    Bonsoir Off86 ,

    Comment allez vous?

    Je dis que les charognards tournent encore autour car cette communication ressemble à la période d’Austerlitz.

    In fine, vous faites bien de rappeler que les nouveaux propriétaires (vote confirmé) ont décidé de sécuriser tout accès aux actifs et dorénavant, les cession vont être annulées (cette urgence semble indiquer une volonté forte de finaliser la prise de contrôle au TC au plus vite)

    Mais ce retour Media indique que les charognards veulent s’attaquer au business d’Atos et compromettre la reprise.

    La tentative du plus sournois d’entre eux, serait d’obtenir BDS à prix cassé par le biais du CIRI. Peu probable, reste à voir le prochain move mais les prochains temps risquent d’être encore mouvementés


  • 27 septembre 2024 21:57
    25 septembre 2024 12:13

    "Cest hyper sympa des posts de non actionnaires qui_ souhaite notre réussite"

    Qui souhaitent surtout que de pauvres égarés ne se laissent pas berner... Je ne sais pas quel est l'avenir d'ATOS, mais je sais qu'il n'est pas entre les mains des petits porteurs.

    La classe des détenteurs de capital a voté en faveur du Projet de Plan à hauteur de 75,03% des votes exprimés.

    Fin de la blague.


  • 27 septembre 2024 22:07

    Aucune blague, le capital a bien été confisqués jusqu’au bout, les créanciers et Atos veulent que cela aille vite.
    Je soupçonne que l’attaque médiatique et l’alliance de Thales avec le CIRI a mis en rogne les créanciers, du coup, tant pis pour l’industriel, ils conservent le maximum de capital proposé dans le plan et ils verrouillent Atos Post restructuration.

    Donc, les cessions à prix cassé, c’est niet et l’avenir d’Atos est TOTALEMENT entre leurs mains.

    La volonté du second triumvirat de poursuivre sur la lignée des charognards du premier triumvirat a condamné tout compromis.

    Je suis déçu mais je suivrais Atos jusqu’au bout, je sais faire la différence entre ceux qui bataillent pour l’entreprise et ceux qui ont poussé à cette issue par volonté de spoliation.


  • 28 septembre 2024 07:15

    Les Échos connaissaient les résultats hier matin 7h et ont juste fait une MAJ à 21h55. Trop fort…

    Je ferai bientôt une liste des remerciements pour ce film. Le triumvirat sera particulièrement remercié pour leur choix de guerre totale jusqu’au bout.


  • 28 septembre 2024 10:26

    "Aucune blague, le capital a bien été confisqués jusqu’au bout,"

    C'est ce qu'on vous dit depuis des semaines : les petits porteurs n'ont aucun poids dans ces batailles. Pas la peine de faire de longs discours.


  • 28 septembre 2024 11:03

    Je suis désolé adnstep , je ne comprends toujours pas pourquoi vous parlez de poids. Nous sommes des PP, le premier P, c’est « petit », donc bien évidemment que nous n’avons pas de poids. Mais des gros se sont abstenus et donc valident le plan, c’est cela que j’essaie de comprendre avec d’autres.

    Un PP investit ses deniers en essayant d’appréhender ceux qui décident, faut pas inverser les rôles


  • 28 septembre 2024 12:38

    Un grand merci victoria pour la qualité exceptionnelle de votre file. Une fois de plus, la morale de l'histoire est que le manque d'engagement des PP a laissé une autoroute aux pros du recyclage des entreprises en faillite. Ces mêmes PP que nous retrouverons pleurnicher ici dans qques temps. Toujours intéressé par vos contributions éclairantes 😊


  • 28 septembre 2024 12:56

    Merci @dauphin123,

    Mais cela n’est pas encore fini, quid du capital avant AK, quid de la réussite de l’AK, etc…

    Pour revenir aux Échos, je vous annonce que Les Échos se sont empressé de modifier leur article!
    Mais désolé pour eux, j’ai une capture d’image de leur article qui annonce les résultats le 27 Septembre à 07h06 et MAJ à 21h55.

    Depuis jeudi soir, nous savons que les résultats étaient déjà décidé à l’avance, vous n’avez fait que nous le confirmer…


  • 30 septembre 2024 09:08

    Bonjour à tous,

    Mon post sur lequel je calcule les « PRU socles » a été effacé sur un autre fil, certainement intentionnellement.

    Les créanciers ne laisseront pas l’AK compromettre le plan donc à voir leur plan de libération du capital mais les abstentionnistes ou Ulysse joueront leur part.

    Le triumvirat a craché à la main qui leur était tendue, je citerai Ed Harris dans « Rock »

    « Vous m’avez mis dos au mur, soyez … »


  • 07 octobre 2024 08:47

    Bonjour victorda la censure est en grande forme ce matin.


    un post dans lequel je rappelais les arguments d'Okap de juin dernier (en mettant le lien) a été egalement modéré pour "autre motif"...

    je vais juste remonter la conversation d'alors...


  • 07 octobre 2024 08:59

    Ils peuvent restaurer mais ce n’est pas le but. Ceux derrière veulent restaurer un peu leur pouvoir désinformation.
    Oubliez certains identifiants, ce sont les mêmes, la desinformation a plusieurs identités masquées.
    Je l’ai déjà écrit: la désinformation coche toutes les cases des codes en action sur le forum.


  • 07 octobre 2024 09:06

    Oui victorda et d'ailleurs dans mon post je citais celui dans lequel vous donniez des définitions de ce processus...


    Cocnernant la nouvelle du matin à savoir l'expiration de l'offre de l'Etat sans accord, vous noterez qu'Atos explique que le plan de sauvegarde prévoit la conservation de ce périmètre.
    A mon niveau, je note surtout le silence total sur cet aspect dans le dossier pré AG, et dans les discussions lors de l'AG. Sauf erreur de ma part, il n'a pas été dit aux actionnaires "en approuvant le plan, vous enterrez le projet de cession à l'Etat"...


  • 07 octobre 2024 09:10

    Et ce matin, c’est le début d’une panique.

    L’article sorti ce matin, dont le journaliste a totalement été baladé, est une tentative de détourner l’attention sur le bulletin d’Atos ce matin.

    D’un côté Atos annonce que les actifs ne seront pas bradés et que c’est l’équivalent de la new dette pour BDS ou rien.
    De l’autre, une utilisation détournée des rapports d’experts pour jeter du venin sur la probité déjà contestée d’Atos.


  • 07 octobre 2024 17:21

    Atos a indiqué qu’elle ne souhaitait pas donner suite à l’offre remise le 30 septembre par l’État, agissant en consortium avec des partenaires industriels, et portant sur l’acquisition des activités souveraines du groupe en lien avec la défense nationale. En Bourse, l’action toujours volatile gagne 0,27% à 0,679 euro. Les deux parties ne se sont pas entendues sur le prix.

    Citant plusieurs sources, le journal Les Echos explique que les pouvoirs publics étaient prêts au départ à offrir de l'ordre de 750 millions d'euros de valeur d'entreprise, soit environ 450 millions net moins les coûts. De son côté, Atos souhaitait 1,3 milliard, avant de ramener ce montant à environ 1 milliard.

    Atos a rappelé que le plan de restructuration financière largement voté par les classes de parties affectées intègre la préservation de ces activités au sein du groupe Atos. Le périmètre concerné comprend les activités Advanced Computing, Mission-Critical Systems et Cybersecurity Products de BDS.

    Le groupe informatique en difficulté a toutefois proposé de poursuivre les discussions et indique avoir transmis à l'Etat français une nouvelle proposition compatible avec le plan de restructuration financière. Celui-ci "entend poursuivre ses négociations avec Atos et proposera un nouveau schéma d'acquisition prochainement".

    Bercy a "pris bonne note d'une nouvelle proposition formulée par Atos, et étudiera dans les prochains jours, en lien avec la société, de nouveaux schémas d'opérations d'acquisition de ces activités".

    "Une communication sera effectuée par la société si ces discussions devaient aboutir, étant entendu qu'une cession potentielle de ce périmètre devra être soumise à l'approbation préalable du Tribunal de Commerce de Nanterre, auquel sera soumis le plan de sauvegarde accéléré le 15 octobre prochain", précise un communiqué de presse d'Atos.

    A l'occasion de cette communication, le groupe informatique a signalé que la mise en place d'une action de préférence dans Bull SA se poursuit afin de préserver les intérêts souverains de l'Etat français, avec l'objectif de la mettre en œuvre d'ici la fin de l'année


  • 07 octobre 2024 17:26

    Les Échos confirment que Atos (et donc les créanciers) n’envisagent rien en dessous de 1,6Md€ pour BDS, sans compter Wordlgrid.

    Donc, soit ça s’aligne, soit nous conservons tout.

    Quid de l’hypothèse précédente des Echos: une participation de l’Etat seul ou accompagné dans ces actifs. En gros, le retour de l’époque Airbus mais appliqué à Bull seul?

    À suivre mais ce sont d’excellentes nouvelles pour Atos, reste à voir si ce sera aussi le cas pour les actionnaires forcés.


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