ATOS : ABC Bourse confirme que nous ne divaguons pas | page 4

Big_Winnie

09 décembre 2024 •10:49

debutant2B des actions non, mais des produits dérivés oui

Soleil78

09 décembre 2024 •13:33

Bonjour,

Avez-vous constaté que Bourso a diminué le volume d'échange de vendredi dernier... c'est invraisemblable...

De plus de 6 milliards,
ça a été réduit à un peu plus de 2 milliards

Où sont passés les 4 Milliards ?

debutant2B

09 décembre 2024 •12:16

Phoenixd pardon si je suis indiscret : voud êtes à la soc gen en direct? Chez boursorama?

Ou c’est un médiateur socgen en tant que teneur de compte coordinateur de l’ak?

victorda

06 décembre 2024 •23:04

Que s'est il passé sur le sulfureux dossier Atos ce vendredi 6 décembre ?

Alors que le groupe informatique dans la tourmente vient de réaliser la première étape de sa restructuration financière avec une augmentation de capital de 233 millions d'euros, un étrange phénomène de marché a eu lieu ce vendredi.

Les actions nouvelles (environ 63 milliards) seront livrées aux investisseurs le 10 décembre et admises à la négociation sur Euronext le même jour. Ca c'est ce qui a été communiqué aux investisseurs lors de l'augmentation de capital. Mais voilà, 3 jours de bourse avant, le titre s'effondre (-98,54%) dans des volumes stratosphériques de plus de 6 milliards d'actions échangées !

Le hic c'est que jusqu'à aujourd'hui le capital d'Atos est constitué de 112 millions d'actions environ. Une information que nous affichons sur ABC Bourse mais qui est aussi confirmée par Euronext comme le montre cette capture d'écran de leur site internet:

euronext Atos

Une information tout à fait logique puisque les nouveaux titres ne sont pas livrés.

Le problème c'est que dès l'ouverture (logiquement retardée) de la cotation d'Atos aujourd'hui on a vu un carnet d'ordre avec plusieurs milliards d'actions à la vente. Certaines lignes étaient de 500 millions. Comment est-ce possible ?

A la rédaction d'ABC Bourse cela fait maintenant près de 25 ans que nous suivons les marchés et nous en avons vu passer des augmentations de capital, mais ça, jamais. Quand elles sont destinées à sauver une société et non pas à générer de la croissance il y a toujours une forte baisse. Notre analyse d'Atos du 5 décembre, la veille de cette énorme chute, mettait en garde les lecteurs. Atos lui même avait prévenu qu'il fallait s'attendre à une énorme dilution. Tout cela c'est bien logique, mais le problème c'est que ça arrive bien avant la livraison des actions.

On pourrait évoquer les vendeurs à découvert, mais là non plus ça ne tient pas. Pour vendre des titres à découvert il faut les emprunter et au vu des volumes on a toujours le même problème, c'est impossible.

On pourrait aussi se dire que le volume est le fait de nombreux allers-retours des robots de trading, mais là aussi ça ne colle pas avec des lignes de millions de titres en théorie inexistants.

Alors d'où sortent ces milliards actions ?

C'est la question aujourd'hui sans réponse. En tout cas elles ne viennent pas des investisseurs particuliers qui n'ont eu que leurs yeux pour pleurer aujourd'hui, on termine à 0,0026 €/action quand elles ont été payées 0,0037 € soit déjà 30% de moins value.

Elles ne viennent pas de Philippe Salle, président du conseil d'administration et futur directeur général de la société, qui a souscrit pour 9 millions d'euros et qui a un engagement de détention.

Ce qui sûr, c'est que certains participants à la recapitalisation ont eu les titres en avance et on pu en disposer avant le grand public. En l'espèce on peut considérer d'ores et déjà qu'il y a eu une inégalité de traitement entre les actionnaires et qu'une fois encore les particuliers sont les dindons de la farce.

C'est probablement un scandale de plus à épingler à ce dossier maudit. Il sera intéressant d'avoir les explications de la société mais aussi et surtout de l'opérateur de marché, Euronext et de l'AMF qui est censé protéger l'épargne et faire en sorte qu'il y ai une égalité de traitement.

victorda

06 décembre 2024 •23:04

Que s'est il passé sur le sulfureux dossier Atos ce vendredi 6 décembre ?

Alors que le groupe informatique dans la tourmente vient de réaliser la première étape de sa restructuration financière avec une augmentation de capital de 233 millions d'euros, un étrange phénomène de marché a eu lieu ce vendredi.

Les actions nouvelles (environ 63 milliards) seront livrées aux investisseurs le 10 décembre et admises à la négociation sur Euronext le même jour. Ca c'est ce qui a été communiqué aux investisseurs lors de l'augmentation de capital. Mais voilà, 3 jours de bourse avant, le titre s'effondre (-98,54%) dans des volumes stratosphériques de plus de 6 milliards d'actions échangées !

Le hic c'est que jusqu'à aujourd'hui le capital d'Atos est constitué de 112 millions d'actions environ. Une information que nous affichons sur ABC Bourse mais qui est aussi confirmée par Euronext comme le montre cette capture d'écran de leur site internet:

euronext Atos

Une information tout à fait logique puisque les nouveaux titres ne sont pas livrés.

Le problème c'est que dès l'ouverture (logiquement retardée) de la cotation d'Atos aujourd'hui on a vu un carnet d'ordre avec plusieurs milliards d'actions à la vente. Certaines lignes étaient de 500 millions. Comment est-ce possible ?

A la rédaction d'ABC Bourse cela fait maintenant près de 25 ans que nous suivons les marchés et nous en avons vu passer des augmentations de capital, mais ça, jamais. Quand elles sont destinées à sauver une société et non pas à générer de la croissance il y a toujours une forte baisse. Notre analyse d'Atos du 5 décembre, la veille de cette énorme chute, mettait en garde les lecteurs. Atos lui même avait prévenu qu'il fallait s'attendre à une énorme dilution. Tout cela c'est bien logique, mais le problème c'est que ça arrive bien avant la livraison des actions.

On pourrait évoquer les vendeurs à découvert, mais là non plus ça ne tient pas. Pour vendre des titres à découvert il faut les emprunter et au vu des volumes on a toujours le même problème, c'est impossible.

On pourrait aussi se dire que le volume est le fait de nombreux allers-retours des robots de trading, mais là aussi ça ne colle pas avec des lignes de millions de titres en théorie inexistants.

Alors d'où sortent ces milliards actions ?

C'est la question aujourd'hui sans réponse. En tout cas elles ne viennent pas des investisseurs particuliers qui n'ont eu que leurs yeux pour pleurer aujourd'hui, on termine à 0,0026 €/action quand elles ont été payées 0,0037 € soit déjà 30% de moins value.

Elles ne viennent pas de Philippe Salle, président du conseil d'administration et futur directeur général de la société, qui a souscrit pour 9 millions d'euros et qui a un engagement de détention.

Ce qui sûr, c'est que certains participants à la recapitalisation ont eu les titres en avance et on pu en disposer avant le grand public. En l'espèce on peut considérer d'ores et déjà qu'il y a eu une inégalité de traitement entre les actionnaires et qu'une fois encore les particuliers sont les dindons de la farce.

C'est probablement un scandale de plus à épingler à ce dossier maudit. Il sera intéressant d'avoir les explications de la société mais aussi et surtout de l'opérateur de marché, Euronext et de l'AMF qui est censé protéger l'épargne et faire en sorte qu'il y ai une égalité de traitement.

victorda

06 décembre 2024 •23:04

Que s'est il passé sur le sulfureux dossier Atos ce vendredi 6 décembre ?

Alors que le groupe informatique dans la tourmente vient de réaliser la première étape de sa restructuration financière avec une augmentation de capital de 233 millions d'euros, un étrange phénomène de marché a eu lieu ce vendredi.

Les actions nouvelles (environ 63 milliards) seront livrées aux investisseurs le 10 décembre et admises à la négociation sur Euronext le même jour. Ca c'est ce qui a été communiqué aux investisseurs lors de l'augmentation de capital. Mais voilà, 3 jours de bourse avant, le titre s'effondre (-98,54%) dans des volumes stratosphériques de plus de 6 milliards d'actions échangées !

Le hic c'est que jusqu'à aujourd'hui le capital d'Atos est constitué de 112 millions d'actions environ. Une information que nous affichons sur ABC Bourse mais qui est aussi confirmée par Euronext comme le montre cette capture d'écran de leur site internet:

euronext Atos

Une information tout à fait logique puisque les nouveaux titres ne sont pas livrés.

Le problème c'est que dès l'ouverture (logiquement retardée) de la cotation d'Atos aujourd'hui on a vu un carnet d'ordre avec plusieurs milliards d'actions à la vente. Certaines lignes étaient de 500 millions. Comment est-ce possible ?

A la rédaction d'ABC Bourse cela fait maintenant près de 25 ans que nous suivons les marchés et nous en avons vu passer des augmentations de capital, mais ça, jamais. Quand elles sont destinées à sauver une société et non pas à générer de la croissance il y a toujours une forte baisse. Notre analyse d'Atos du 5 décembre, la veille de cette énorme chute, mettait en garde les lecteurs. Atos lui même avait prévenu qu'il fallait s'attendre à une énorme dilution. Tout cela c'est bien logique, mais le problème c'est que ça arrive bien avant la livraison des actions.

On pourrait évoquer les vendeurs à découvert, mais là non plus ça ne tient pas. Pour vendre des titres à découvert il faut les emprunter et au vu des volumes on a toujours le même problème, c'est impossible.

On pourrait aussi se dire que le volume est le fait de nombreux allers-retours des robots de trading, mais là aussi ça ne colle pas avec des lignes de millions de titres en théorie inexistants.

Alors d'où sortent ces milliards actions ?

C'est la question aujourd'hui sans réponse. En tout cas elles ne viennent pas des investisseurs particuliers qui n'ont eu que leurs yeux pour pleurer aujourd'hui, on termine à 0,0026 €/action quand elles ont été payées 0,0037 € soit déjà 30% de moins value.

Elles ne viennent pas de Philippe Salle, président du conseil d'administration et futur directeur général de la société, qui a souscrit pour 9 millions d'euros et qui a un engagement de détention.

Ce qui sûr, c'est que certains participants à la recapitalisation ont eu les titres en avance et on pu en disposer avant le grand public. En l'espèce on peut considérer d'ores et déjà qu'il y a eu une inégalité de traitement entre les actionnaires et qu'une fois encore les particuliers sont les dindons de la farce.

C'est probablement un scandale de plus à épingler à ce dossier maudit. Il sera intéressant d'avoir les explications de la société mais aussi et surtout de l'opérateur de marché, Euronext et de l'AMF qui est censé protéger l'épargne et faire en sorte qu'il y ai une égalité de traitement.

victorda

06 décembre 2024 •23:04

Que s'est il passé sur le sulfureux dossier Atos ce vendredi 6 décembre ?

Alors que le groupe informatique dans la tourmente vient de réaliser la première étape de sa restructuration financière avec une augmentation de capital de 233 millions d'euros, un étrange phénomène de marché a eu lieu ce vendredi.

Les actions nouvelles (environ 63 milliards) seront livrées aux investisseurs le 10 décembre et admises à la négociation sur Euronext le même jour. Ca c'est ce qui a été communiqué aux investisseurs lors de l'augmentation de capital. Mais voilà, 3 jours de bourse avant, le titre s'effondre (-98,54%) dans des volumes stratosphériques de plus de 6 milliards d'actions échangées !

Le hic c'est que jusqu'à aujourd'hui le capital d'Atos est constitué de 112 millions d'actions environ. Une information que nous affichons sur ABC Bourse mais qui est aussi confirmée par Euronext comme le montre cette capture d'écran de leur site internet:

euronext Atos

Une information tout à fait logique puisque les nouveaux titres ne sont pas livrés.

Le problème c'est que dès l'ouverture (logiquement retardée) de la cotation d'Atos aujourd'hui on a vu un carnet d'ordre avec plusieurs milliards d'actions à la vente. Certaines lignes étaient de 500 millions. Comment est-ce possible ?

A la rédaction d'ABC Bourse cela fait maintenant près de 25 ans que nous suivons les marchés et nous en avons vu passer des augmentations de capital, mais ça, jamais. Quand elles sont destinées à sauver une société et non pas à générer de la croissance il y a toujours une forte baisse. Notre analyse d'Atos du 5 décembre, la veille de cette énorme chute, mettait en garde les lecteurs. Atos lui même avait prévenu qu'il fallait s'attendre à une énorme dilution. Tout cela c'est bien logique, mais le problème c'est que ça arrive bien avant la livraison des actions.

On pourrait évoquer les vendeurs à découvert, mais là non plus ça ne tient pas. Pour vendre des titres à découvert il faut les emprunter et au vu des volumes on a toujours le même problème, c'est impossible.

On pourrait aussi se dire que le volume est le fait de nombreux allers-retours des robots de trading, mais là aussi ça ne colle pas avec des lignes de millions de titres en théorie inexistants.

Alors d'où sortent ces milliards actions ?

C'est la question aujourd'hui sans réponse. En tout cas elles ne viennent pas des investisseurs particuliers qui n'ont eu que leurs yeux pour pleurer aujourd'hui, on termine à 0,0026 €/action quand elles ont été payées 0,0037 € soit déjà 30% de moins value.

Elles ne viennent pas de Philippe Salle, président du conseil d'administration et futur directeur général de la société, qui a souscrit pour 9 millions d'euros et qui a un engagement de détention.

Ce qui sûr, c'est que certains participants à la recapitalisation ont eu les titres en avance et on pu en disposer avant le grand public. En l'espèce on peut considérer d'ores et déjà qu'il y a eu une inégalité de traitement entre les actionnaires et qu'une fois encore les particuliers sont les dindons de la farce.

C'est probablement un scandale de plus à épingler à ce dossier maudit. Il sera intéressant d'avoir les explications de la société mais aussi et surtout de l'opérateur de marché, Euronext et de l'AMF qui est censé protéger l'épargne et faire en sorte qu'il y ai une égalité de traitement.

victorda

18 décembre 2024 •10:37

Bonjour, après de multiples alertes, AMF, mandataires, presse et même l’un d’entre nous a déjà saisi le PNF, ni les PP, ni ABC Bourse n’a eu la moindre explication sur ce fait avéré de rupture d’égalité de traitement.

Sans suite d’ici demain (nous attendons les dernières déclarations du 10 Décembre), une fois les derniers éléments à disposition pour pouvoir apporter les documents officiels pour attester de nos droits et des faits connus et indiscutables, nous saisirons à nouveaux l’AMF, le PNF et le bureau de greffe de madame le président du TC de Nanterre.

ory

19 décembre 2024 •13:34

D'après un blog ABC Bourse n'a pas lu les 218 pages ou + de l'AK .

On pouvait bien vendre 2 j avant des titres atos mais sans passer par un courtier.!

debutant2B

19 décembre 2024 •14:03

ory
Le seul moyen éventuel de vendre deux jours avant la livraison (ce qui serait contraire aux infos données par atos) serait de vendre à découvert en invoquant une créance permettant d’obtenir avec certitudes les titres le jour de la livraison

Ne pouvaient vendre à découvert le 6 que ceux qui avaient déjà emprunté des titres avant…
Ou ceux qui avaient souscrit à l’ak

Et si quélqu’jn vend à découvert il doit le déclarer
Or la déclaration de vad nette pour le 6 ne porte que sur 100 millions de titres… rien à voir avec les ordres à la vente en simultané le 6 matin

ory

19 décembre 2024 •15:18

https://atos.bourse.blog/atos-les-pp-sonnes-par-lak-et-encore-groguis-et-ce-lund i-120md-de-titres-vont-arriver-sur-le-marche-breve-blog/

victorda

19 décembre 2024 •15:52

Merci, je saurai en faire bon usage.