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CAC 40 : Est-ce qu'à votre avis, la propagande anti Russie actuelle | page 3

23 nov. 2025 16:15

est justifiée militairement ? Quel intérêt stratégique les russes auraient ils à attaquer l'Europe ? Ou cette gesticulation cache une tactique politique intérieure visant à culpabiliser et marginaliser,pointer du doigt l'extrême droite et gauche en vue des prochaines échéances électorales françaises,qui entretiennent (entretenaient)des relations pour le moins ambiguës
avec la Russie ?
Moi aussi j'ai tendance à pencher pour l'option 2

91 réponses

  • 14:09

    Bientôt, CNews, Tocsin, Omerta, Tvl Touati, Bechade, Maisto.., Youtube interdits, idem pour les réseaux sociaux, même peut être les forum type Bourso, tout cela pour empêcher l'arrivée au pouvoir de partis nouveaux, type RN, AFD, Reform UK qui ont les prochaines élections gagnées... Le système se défend, la guerre en Ukraine est un bon prétexte! ...😎


  • 14:11

    Brunel2
    L'Europe aussi craint la montée de l'extrême droite. Pointer la Russie qui soutient des partis d'extrême droite, c'est une façon très simple de marginaliser ces partis aux yeux des populations occidentales


  • 14:23

    La désinformation parasite les réseaux sociaux et parfois le débat public. En cette fin d'année, franceinfo décrypte les mots de la désinformation. Mercredi 25 décembre : Les fermes à trolls.

    Les trolls, ce sont des personnes employées le plus souvent par des États pour répandre sur internet de fausses nouvelles et mener des opérations de propagande. Ces personnes travaillent physiquement dans des bureaux appelés « fermes » ou « usines » à trolls.

    La Russie pionnière de ces opérations de propagande
    La première ferme à trolls identifiée l’a été en Russie en 2014, près de Saint Pétersbourg, où travaillaient des centaines d’informaticiens, de blogueurs, et de pirates informatiques qui avaient été recrutés par un très proche de Vladimir Poutine, Evguéni Prigojine, le patron de Wagner. Cette entreprise, connue sous le nom d’Internet Research Agency a été créée pour mener de larges campagnes de désinformation.

    Avec six faux profils sur Facebook, et 10 comptes tweeters chacun, ces trolls avaient comme consigne de poster 50 tweets par jour et de republier 50 articles de presse, d’intervenir dans au moins deux discussions en ligne, et de cibler spécifiquement les pages "commentaires" des principaux sites d’information américains, selon une enquête de BuzzfeedNews. Leur mission ? Améliorer l’image de la Russie et de son chef, Vladimir Poutine, vivement critiqué à l’époque après sa première invasion de l’Ukraine.

    En 2016, cette même ferme à trolls a tenté d’influencer le match électoral américain entre Donald Trump et Hillary Clinton en dénigrant la candidate démocrate. Quelque 126 millions d’Américains ont vu ses messages sur le seul réseau Facebook, selon une étude interne du réseau social consultée par l’agence de presse Reuter. Les Russes sont aussi soupçonnés d’avoir pesé sur le vote du Brexit, en 2016, et plus récemment d’utiliser des usines à trolls pour étendre leur influence en Afrique.

    Des fermes à trolls impliquées dans au moins 18 scrutins électoraux
    La Russie n’est pas le seul état à utiliser des trolls, mais a été précurseur. Ensuite la Chine et bien d'autres États ont embrayé : Depuis 2019, des dizaines de milliers de faux comptes organisant des campagnes de désinformation en chinois ou en anglais ont été identifiés dans ce pays, puis fermés par Facebook, Twitter et YouTube, selon un rapport de l'Irsem.

    Selon l’ONG américaine Freedom House, en 2017, au moins 30 gouvernements dans le monde ont lancé des campagnes de désinformation pour discréditer le modèle démocratique, 18 scrutins électoraux ont été visés. D’autres États comme l’Iran se servent des trolls à des fins de propagande intérieure.

    Trolls remplacés par des Bots : des machines redoutables.
    Avec l’émergence des bots (les robots numériques), le développement de l’intelligence artificielle et l’appui des algorithmes des réseaux sociaux dont les trolls maîtrisent les subtilités, leur influence s’est décuplée.

    Certaines plateformes, comme Facebook font bien la chasse aux faux comptes, les nouvelles lois européennes de régulation de l’internet leur imposent d’ailleurs… Mais ont-ils vraiment les moyens ou la volonté de les éradiquer ? C’est un autre sujet.

    Société


  • 14:23

    640 euros par mois pour poster 200 commentaires par jour sur les réseaux sociaux occidentaux : voici l'offre d'emploi proposée par l'usine de trolls Cyber Front Z. Selon un récent rapport britannique, le groupe aurait des liens très proches avec l'Internet Research Agency et le Kremlin.

    Le doute planait depuis le début de la guerre. Certains officiels ukrainiens affirmaient même qu’avec la guerre réelle lancée, les offensives menées par des proches du Kremlin sur les réseaux sociaux baisseraient d’intensité.

    Mais au fil des semaines, de nombreux médias ont noté la répétition de fausses informations et de contenus de propagande russe sur les réseaux. Il y a quelques jours le gouvernement britannique a publié un rapport attestant de l’existence d'usines à trolls œuvrant pour la désinformation sur la guerre en Ukraine. Autrement dit des hackeurs qui ensemble créent artificiellement des controverses sur les réseaux sociaux au dépend de l’équilibre habituel de la communauté en ligne.

    Selon ce rapport, pour rester discrets et échapper à la vigilance des plateformes, les hackers russes ont d’abord amplifié la diffusion de messages authentiques dont le contenu était conforme aux positions officielles russes. Ils ont aussi tenté d’attirer l’attention vers des zones moins contrôlées comme les espaces de commentaires des journaux pour y publier de fausses informations. Le rapport britannique indique qu’une manipulation des résultats de sondages sur le soutien aux sanctions contre la Russie a été observée dans ces espaces.

    Loin de Twitter et Facebook trop surveillés sans doute selon eux, les diffusions de contenus mensongers se sont concentrées sur Instagram, TikTok et YouTube.

    Une chaîne Telegram serait au centre de cette opération. Elle s’appelle "Cyber Front Z" . Elle a été créée le 11 mars et serait basés à Saint Pétersbourg. Selon le média indépendant russe Fontanka, cette chaine Telegram propose des emplois “45 000 roubles par mois (soit 640 euros) pour poster 200 commentaires par jour sur les réseaux sociaux. Des messages d’encouragement à soutenir financièrement CyberFront Z ont été diffusés sur les réseaux russes.

    Parmi les dirigeants visés par Cyber front Z, on trouve le Premier ministre britannique Boris Johnson, mais aussi le chancelier allemand Olaf Scholz et le chef de la diplomatie européenne Josep Borell. Plus étonnant, des artistes tels que Daft Punk, David Guetta ou le groupe de métal allemand Rammstein ont aussi été ciblés lors de cette campagne de désinformation.

    Les chercheurs affirment par ailleurs que le groupe s’est inspiré des tactiques de dissémination et de propagation d’information utilisées par les activistes du complot QAnon et du groupe terroriste État islamique.

    L'opération a des liens présumés avec Yevgeniy Prigozhin, oligarque russe et déjà connu pour fondateur d'une ferme à trolls ayant joué un rôle dans l'ingérence russe durant l'élection présidentielle américaine de 2016.


  • 14:32
    14:23

    La désinformation parasite les réseaux sociaux et parfois le débat public. En cette fin d'année, franceinfo décrypte les mots de la désinformation. Mercredi 25 décembre : Les fermes à trolls.

    Les trolls, ce sont des personnes employées le plus souvent par des États pour répandre sur internet de fausses nouvelles et mener des opérations de propagande. Ces personnes travaillent physiquement dans des bureaux appelés « fermes » ou « usines » à trolls.

    La Russie pionnière de ces opérations de propagande
    La première ferme à trolls identifiée l’a été en Russie en 2014, près de Saint Pétersbourg, où travaillaient des centaines d’informaticiens, de blogueurs, et de pirates informatiques qui avaient été recrutés par un très proche de Vladimir Poutine, Evguéni Prigojine, le patron de Wagner. Cette entreprise, connue sous le nom d’Internet Research Agency a été créée pour mener de larges campagnes de désinformation.

    Avec six faux profils sur Facebook, et 10 comptes tweeters chacun, ces trolls avaient comme consigne de poster 50 tweets par jour et de republier 50 articles de presse, d’intervenir dans au moins deux discussions en ligne, et de cibler spécifiquement les pages "commentaires" des principaux sites d’information américains, selon une enquête de BuzzfeedNews. Leur mission ? Améliorer l’image de la Russie et de son chef, Vladimir Poutine, vivement critiqué à l’époque après sa première invasion de l’Ukraine.

    En 2016, cette même ferme à trolls a tenté d’influencer le match électoral américain entre Donald Trump et Hillary Clinton en dénigrant la candidate démocrate. Quelque 126 millions d’Américains ont vu ses messages sur le seul réseau Facebook, selon une étude interne du réseau social consultée par l’agence de presse Reuter. Les Russes sont aussi soupçonnés d’avoir pesé sur le vote du Brexit, en 2016, et plus récemment d’utiliser des usines à trolls pour étendre leur influence en Afrique.

    Des fermes à trolls impliquées dans au moins 18 scrutins électoraux
    La Russie n’est pas le seul état à utiliser des trolls, mais a été précurseur. Ensuite la Chine et bien d'autres États ont embrayé : Depuis 2019, des dizaines de milliers de faux comptes organisant des campagnes de désinformation en chinois ou en anglais ont été identifiés dans ce pays, puis fermés par Facebook, Twitter et YouTube, selon un rapport de l'Irsem.

    Selon l’ONG américaine Freedom House, en 2017, au moins 30 gouvernements dans le monde ont lancé des campagnes de désinformation pour discréditer le modèle démocratique, 18 scrutins électoraux ont été visés. D’autres États comme l’Iran se servent des trolls à des fins de propagande intérieure.

    Trolls remplacés par des Bots : des machines redoutables.
    Avec l’émergence des bots (les robots numériques), le développement de l’intelligence artificielle et l’appui des algorithmes des réseaux sociaux dont les trolls maîtrisent les subtilités, leur influence s’est décuplée.

    Certaines plateformes, comme Facebook font bien la chasse aux faux comptes, les nouvelles lois européennes de régulation de l’internet leur imposent d’ailleurs… Mais ont-ils vraiment les moyens ou la volonté de les éradiquer ? C’est un autre sujet.

    Société

    Twitter et Musk, vont donner pour chaque msg le pays où il a été émis et déjà et à priori ils ne viennent pas et de loin majoritairement de Russie,
    Alors un bon prétexte pour supprimer la liberté d'expression? A suivre...


  • 14:44

    Lois sur les “agents de l’étranger” et les “organisations indésirables” : les médias dans le collimateur du Kremlin

    Représentant plus d’un tiers des acteurs visés par la loi sur les “agents de l’étranger”, les médias indépendants constituent de loin le premier secteur ciblé par cette loi, emblématique de la répression systématique dont ils font l’objet via l’arsenal législatif russe. Reporters sans frontières (RSF) a analysé les listes stigmatisantes des “agents de l’étranger” et des “organisations indésirables” du ministère de la Justice, outils privilégiés de censure, et dénonce ce dénigrement des médias comme “cinquième colonne”.
    C'est quoi agent de l'étranger en Russie ?
    Des listes infamantes qui ne cessent de s’allonger. Le 26 juillet dernier, les autorités russes ont inscrit l’édition russe du média allemand Bild comme “agent de l’étranger”, seulement quinze jours après avoir ajouté, le 10 juillet, le célèbre quotidien Moscow Times à la liste des “organisations indésirables”. Ils rejoignent ainsi la liste des quelque 300 médias frappés de cette labellisation en Russie. Ces labellisations sont le fruit d’une législation qui s’est détournée de l’état de droit pour réduire au silence toute voix dissonante. Et la Douma ne cesse de renforcer cet arsenal législatif qui vise, en premier lieu, à détruire les médias russes indépendants – elle a notamment adopté en première lecture un amendement élargissant la loi sur les “organisations indésirables” le 23 juillet.

    Près de 300 acteurs des médias sont à ce jour étiquetés “agents de l’étranger” ou “indésirables”, un chiffre multiplié par trois depuis l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par la Russie en février 2022, selon l’analyse de RSF sur la base des données recensées par l’ONG russe OVD-Info.

    “Plus d’un tiers des ‘agents de l’étranger’ exercent une activité liée au secteur des médias. À travers cette loi et celle sur les ‘organisations indésirables’ connotant la traîtrise, les autorités russes stigmatisent les journalistes comme ‘une cinquième colonne’. RSF dénonce ces outils de censure systématique des médias, utilisés par le Kremlin pour priver la population d’accès à une information fiable.


  • 14:45

    Qu'est-ce qu'un agent étranger en Russie ?
    La loi définit un « agent étranger » comme toute entité ou personne russe ou étrangère qui reçoit un soutien ou est sous influence étrangère, et qui se livre à des activités politiques, recueille des informations sur les capacités militaires, ou crée et diffuse des informations destinées à un large public.


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