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CAC 40 : Philippe de Villiers est intemporel !

22 nov. 2025 08:53

Bonjour à tous,

Voici mon petit édito du weekend :)

Philippe de Villiers parle des religions comme s’il existait des essences figées, une religion « douce » par nature, une autre « violente » par nature, là où le facteur décisif est souvent leur degré de maturation historique, politique et culturelle.

Philippe de Villiers, en bon catholique traditionaliste, a fait de la défense des « racines chrétiennes de la France » et de la dénonciation de « l’islamisation » un fil rouge de ses livres et de ses interventions médiatiques. Dans ce cadre, il présente volontiers le christianisme contemporain comme intrinsèquement pacifié et l’islam comme intrinsèquement expansionniste et dangereux. Ce dispositif rhétorique efface une donnée pourtant centrale : aucune religion ne naît « apaisée ». Elle le devient, ou pas, à travers les siècles, les conflits internes, les compromis avec le pouvoir civil, la confrontation avec la modernité.

Parler de « maturité d’une religion » revient, sur un mode métaphorique, à rappeler ce cheminement.

Au départ, la phase fondatrice est souvent missionnaire, conquérante, parfois messianique : on prétend détenir la vérité ultime, il faut l’imposer ou au minimum la diffuser. Puis viennent les siècles d’institutionnalisation : clergé, droit canon ou équivalent, emprise sur le politique, guerres de religion, hérésies, schismes. Ce n’est que très tard, pour le christianisme occidental, qu’apparaissent la sécularisation, la liberté de conscience, la séparation des Églises et de l’État, les critiques historico-philologiques des textes sacrés, qui obligent la religion à se redéfinir dans un espace pluraliste.

Autrement dit : le christianisme que Philippe de Villiers brandit comme modèle pacifique n’est pas le christianisme de ses propres siècles « virulents » avec les croisades, Inquisition, guerres de Religion, mais le produit d’une longue domestication par l’histoire, le droit, la philosophie politique et la modernité démocratique. Faire comme si cette version tardive et policée révélait son « essence éternelle » est une opération idéologique, pas une analyse historique.

C’est là que se loge le caractère « intemporel » que je lui attribue : il refuse le temps comme variable explicative. Quand il parle de l’islam, il le fige en bloc monolithique, comme une entité unique, transhistorique, qui produirait mécaniquement les mêmes effets au VIIᵉ siècle et au XXIᵉ, à Médine comme en Seine-Saint-Denis. Dans cette vision, la violence ne résulte plus de contextes politiques précis (colonisation, guerres, dictatures, échecs des États, frustrations sociales) mais d’un ADN religieux supposé immuable. Il se dispense ainsi de comparer l’islam contemporain non pas au catholicisme 2025, mais au christianisme de sa propre phase de fer.

On peut, à l’inverse, considérer que la « virulence » d’une religion (au sens de sa propension à être mobilisée pour justifier la violence) dépend principalement :

1/ De son stade historique : une religion jeune, en phase d’expansion, tend à être plus exclusive et militante qu’une religion déjà institutionnalisée et sécularisée.
2/ De son articulation au pouvoir politique : là où religion et État se confondent, la tentation répressive et guerrière est forte, quelle que soit la religion en question.
3/ De la qualité des institutions et de l’État de droit : plus les libertés publiques et la justice sont solides, moins il est facile de traduire les pulsions théocratiques ou identitaires en violence effective.
4/ Du travail critique interne : théologie, exégèse, débats intellectuels, réformes doctrinales transforment la manière dont les textes sont compris et appliqués.

Si l’on adopte ce cadre, l’exceptionnalisme implicite de Philippe de Villiers se retourne : la pacification relative du christianisme occidental n’est pas la preuve d’une supériorité ontologique, mais le résultat d’un long travail historique que d’autres traditions, dans d’autres contextes, sont en train – ou non – de parcourir. Refuser de le voir, c’est se ménager une confortable posture de gardien de civilisation, mais c’est renoncer à comprendre ce qui se joue réellement.

En ce sens, en parlant des religions comme des essences hors du temps, Philippe de Villiers congédie la question de leur maturité historique et donc des conditions concrètes qui rendent une foi plus ou moins « virulente ». Il choisit le roman éternel des « racines » contre l’analyse, ce qui fait de lui un excellent conteur politique, mais un observateur très relatif du réel.

Bien à vous

40 réponses

  • 22 novembre 2025 09:07

    T inquiète, on est assez grand pour juger…
    Le résultat se voit dans les urnes et ce n est pas fini.
    L histoire devant nous sera bis repetita ce qui se passe après chaque colonisation.


  • 22 novembre 2025 09:45
    22 novembre 2025 08:53

    Bonjour à tous,

    Voici mon petit édito du weekend :)

    Philippe de Villiers parle des religions comme s’il existait des essences figées, une religion « douce » par nature, une autre « violente » par nature, là où le facteur décisif est souvent leur degré de maturation historique, politique et culturelle.

    Philippe de Villiers, en bon catholique traditionaliste, a fait de la défense des « racines chrétiennes de la France » et de la dénonciation de « l’islamisation » un fil rouge de ses livres et de ses interventions médiatiques. Dans ce cadre, il présente volontiers le christianisme contemporain comme intrinsèquement pacifié et l’islam comme intrinsèquement expansionniste et dangereux. Ce dispositif rhétorique efface une donnée pourtant centrale : aucune religion ne naît « apaisée ». Elle le devient, ou pas, à travers les siècles, les conflits internes, les compromis avec le pouvoir civil, la confrontation avec la modernité.

    Parler de « maturité d’une religion » revient, sur un mode métaphorique, à rappeler ce cheminement.

    Au départ, la phase fondatrice est souvent missionnaire, conquérante, parfois messianique : on prétend détenir la vérité ultime, il faut l’imposer ou au minimum la diffuser. Puis viennent les siècles d’institutionnalisation : clergé, droit canon ou équivalent, emprise sur le politique, guerres de religion, hérésies, schismes. Ce n’est que très tard, pour le christianisme occidental, qu’apparaissent la sécularisation, la liberté de conscience, la séparation des Églises et de l’État, les critiques historico-philologiques des textes sacrés, qui obligent la religion à se redéfinir dans un espace pluraliste.

    Autrement dit : le christianisme que Philippe de Villiers brandit comme modèle pacifique n’est pas le christianisme de ses propres siècles « virulents » avec les croisades, Inquisition, guerres de Religion, mais le produit d’une longue domestication par l’histoire, le droit, la philosophie politique et la modernité démocratique. Faire comme si cette version tardive et policée révélait son « essence éternelle » est une opération idéologique, pas une analyse historique.

    C’est là que se loge le caractère « intemporel » que je lui attribue : il refuse le temps comme variable explicative. Quand il parle de l’islam, il le fige en bloc monolithique, comme une entité unique, transhistorique, qui produirait mécaniquement les mêmes effets au VIIᵉ siècle et au XXIᵉ, à Médine comme en Seine-Saint-Denis. Dans cette vision, la violence ne résulte plus de contextes politiques précis (colonisation, guerres, dictatures, échecs des États, frustrations sociales) mais d’un ADN religieux supposé immuable. Il se dispense ainsi de comparer l’islam contemporain non pas au catholicisme 2025, mais au christianisme de sa propre phase de fer.

    On peut, à l’inverse, considérer que la « virulence » d’une religion (au sens de sa propension à être mobilisée pour justifier la violence) dépend principalement :

    1/ De son stade historique : une religion jeune, en phase d’expansion, tend à être plus exclusive et militante qu’une religion déjà institutionnalisée et sécularisée.
    2/ De son articulation au pouvoir politique : là où religion et État se confondent, la tentation répressive et guerrière est forte, quelle que soit la religion en question.
    3/ De la qualité des institutions et de l’État de droit : plus les libertés publiques et la justice sont solides, moins il est facile de traduire les pulsions théocratiques ou identitaires en violence effective.
    4/ Du travail critique interne : théologie, exégèse, débats intellectuels, réformes doctrinales transforment la manière dont les textes sont compris et appliqués.

    Si l’on adopte ce cadre, l’exceptionnalisme implicite de Philippe de Villiers se retourne : la pacification relative du christianisme occidental n’est pas la preuve d’une supériorité ontologique, mais le résultat d’un long travail historique que d’autres traditions, dans d’autres contextes, sont en train – ou non – de parcourir. Refuser de le voir, c’est se ménager une confortable posture de gardien de civilisation, mais c’est renoncer à comprendre ce qui se joue réellement.

    En ce sens, en parlant des religions comme des essences hors du temps, Philippe de Villiers congédie la question de leur maturité historique et donc des conditions concrètes qui rendent une foi plus ou moins « virulente ». Il choisit le roman éternel des « racines » contre l’analyse, ce qui fait de lui un excellent conteur politique, mais un observateur très relatif du réel.

    Bien à vous

    Tout ça pour ça ! En aucun cas, ceux qui connaissent l'histoire (celle qui n'est pas falsifiée) peuvent écrire cela. La belle écriture n'est pas un gage de vérité.


  • 22 novembre 2025 09:46

    "L histoire devant nous sera bis repetita ce qui se passe après chaque colonisation."

    Qu'est-ce à dire que ceci ? 😂​


  • 22 novembre 2025 10:45

    L'Algérie par exemple

    Kenn709:46"L histoire devant nous sera bis repetita ce qui se passe après chaque colonisation."

    Qu'est-ce à dire que ceci ?


  • 22 novembre 2025 10:49
    22 novembre 2025 10:45

    L'Algérie par exemple

    Kenn709:46"L histoire devant nous sera bis repetita ce qui se passe après chaque colonisation."

    Qu'est-ce à dire que ceci ?

    Plus concrètement ils nous ont viré manu militari de chez eux et en masse ils pleurent pour conserver leurs "petits" avantages liés à la double nationalité et autres cadeaux de la République


  • 22 novembre 2025 12:13

    NapoFP tu parles de nos colonisations du XVIème au XXème siècle ?


  • 22 novembre 2025 12:51
    22 novembre 2025 12:13

    NapoFP tu parles de nos colonisations du XVIème au XXème siècle ?

    Islamisation de l Andalousie par exemple par les arabes…. qui sont montés à Poitiers par hasard…
    Bis repetita en Belgique, Angleterre en France et Cie.


  • 22 novembre 2025 12:54

    Ah ok
    Rien à voir avec l'ampleur de notre triste passé


  • 22 novembre 2025 13:36
    22 novembre 2025 12:54

    Ah ok
    Rien à voir avec l'ampleur de notre triste passé

    Autoflagellation chrétienne…..
    Est ce que les arabes, les turcs s autoflagellent sur leur passé envahisseurs massacrant détruisant voulant remplacer les civilisations en place ? Non au contraire ils revendiquent de récupérer leurs « colonies ».
    Pour info je suis athée.


  • 22 novembre 2025 13:53

    Il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir.


  • 22 novembre 2025 14:08
    22 novembre 2025 13:53

    Il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir.

    Phrase toute faite de bobo citadin universitaire…


  • 22 novembre 2025 14:09

    😂


  • 22 novembre 2025 18:07

    Je suis atterré par tant de contrevérités dans cet édito. C’est stupéfiant ! Chacun est libre de penser ce qu’il veut de PdV, mais pervertir à ce point l’histoire est une insulte à l’intelligence humaine.


  • 22 novembre 2025 18:32

    Kenn7 atteint de "glucksmannophobie", la "Gôche" telle qu'on l'aime, aveugle par idéologie ! et ça trotte sur un forum de spéculateurs : la "Gôche" dans sa splendeur !


  • 23 novembre 2025 10:01

    Voici également mon petit édito du weekend :

    REMIGRATION 🛑 🔙

    Bien à vous.


  • 23 novembre 2025 13:50

    Il en est où avec l'ouverture du Puy du Fou en Russie, avec son ami Putin ?


  • 23 novembre 2025 13:50

    Rencontre à Yalta : Poutine reçoit Philippe de Villiers
    Appuyant le projet d'un parc "Puy du Fou Tsargrad", Philippe de Villiers, l'ancien président du Mouvement pour la France, a pu rencontrer le chef de l'État russe pendant plus d'une heure, jeudi en Crimée.


  • 23 novembre 2025 13:57

    Rencontre à Yalta : Macron reçoit Zelenski Appuyant le projet d'un parc "Astérix le conquérant", Zelenski, qui n'est plus élu de l'Ukraine depuis plus d'un an, a pu rencontrer le chef de l'État Francais pendant plus d'une heure, jeudi en Corse.


  • 23 novembre 2025 14:23

    Philippe de Villiers a profité de cette rencontre pour agiter le drapeau blanc. "Les sanctions sont des actes de guerre. Les coopérations sont des actes de paix. Nous sommes venus poser un acte de paix. Cette oeuvre commune franco-russe s'inscrit dans la longue tradition de l'amitié franco-russe", a-t-il déclaré selon des propos rapportés par le consortium qui n'a donné aucun détail sur le parc, ni sur sa localisation.

    En tant que farouche opposant des États-Unis, le Vendéen a insisté sur la nécessité d'une coopération entre les deux pays. "L'avenir de l'Europe ne s'écrit pas sur le continent américain. Il s'écrit sur le continent européen. Il n'y a pas d'avenir de l'Europe sans la Russie", a insisté Philippe de Villiers, selon la même source.

    "Les Européens ont de l'admiration pour le chef d'État que vous êtes"
    L'ancien président du Mouvement pour la France a pris soin de flatter le président russe : "Beaucoup d'Européens veulent sortir de l'engrenage des sanctions, à commencer par les agriculteurs. Les Européens veulent la paix, ils ont de l'admiration pour le chef d'État que vous êtes". Le consortium a rapporté qu'" À la sortie de l'entretien, Philippe de Villiers a déclaré qu'il était très impressionné par la hauteur de vue et le charisme du président Poutine".

    Le président russe a souligné pour sa part "qu'il regardait avec le plus grand intérêt le projet du Puy du Fou d'un parc historique sur l'histoire de la Russie". L'entretien, d'une cinquantaine de minutes, s'est déroulé dans le bureau du Tsar Nicolas II, au Palais d'été des Tsars à Yalta, d'abord en présence de la presse russe puis en tête à tête.


  • 23 novembre 2025 15:13

    Le niveau de certains commentaires est affligeant, avec une capacité à affirmer des contre-vérités qui ne sont que l’expression de fantasmes, de peurs ou bien encore de frustrations.
    L’ignorance est sans doute le plus grand mal de notre société.


  • 23 novembre 2025 15:31

    Avec la mauvaise foi sans doute. 😁


  • 23 novembre 2025 15:36

    Chat gpt n' aurait pas écrit mieux


  • 23 novembre 2025 15:38

    De Villiers en Vendée n' était pas aimé pour ses discours religieux vieillot (la Vendée comme la France en général est un territoire de catholicisme zombie) mais pour la défense des intérêts vendéens


  • 23 novembre 2025 17:43

    De Villiers, Poutine, aiment leurs pays respectifs.
    Macron , la gauche détestent la FRANCE.


  • 23 novembre 2025 17:51

    Zor-glue, lui, déteste l'argent : il spécule pour tout donner aux pauvres . . . . Lol !
    S'il ne spéculait pas, il n'aurait rien à faire sur ce forum, non ?


  • 23 novembre 2025 18:14
    23 novembre 2025 17:51

    Zor-glue, lui, déteste l'argent : il spécule pour tout donner aux pauvres . . . . Lol !
    S'il ne spéculait pas, il n'aurait rien à faire sur ce forum, non ?

    Effectivement, je donne une partie de mes plus-values, je ne m'en cache pas.

    Mais pourquoi parler de moi alors que le sujet, c'est l'amitié entre De Villiers et Putin...


  • 23 novembre 2025 18:15
    23 novembre 2025 17:51

    Zor-glue, lui, déteste l'argent : il spécule pour tout donner aux pauvres . . . . Lol !
    S'il ne spéculait pas, il n'aurait rien à faire sur ce forum, non ?

    La méthode qui consiste à attaquer, critiquer, personnellement une personne alors que l'on parle d'un sujet est carrément connue et utilisée par beaucoup d'extremistes .


  • 23 novembre 2025 18:17
    23 novembre 2025 17:51

    Zor-glue, lui, déteste l'argent : il spécule pour tout donner aux pauvres . . . . Lol !
    S'il ne spéculait pas, il n'aurait rien à faire sur ce forum, non ?

    Rsinclar, tu m'as l'air assez intelligent.
    Parlons du sujet évoqué dans le 1er message.


    Ma vie, mon œuvre, n'intéresse pas grand monde.


  • 23 novembre 2025 18:46
    23 novembre 2025 18:15

    La méthode qui consiste à attaquer, critiquer, personnellement une personne alors que l'on parle d'un sujet est carrément connue et utilisée par beaucoup d'extremistes .

    Zorglu vient de se traiter d'extrémiste trop drole


  • 23 novembre 2025 18:50

    « La glue » c est l écho fdy vieux discours gocho des mauvais français.
    Maintenant on contrarie cette clique qui s est appropriée les micros et plumes des médias pour nous chanter le même roman depuis les années Mitterand. Vous savez celui qui fricotait avec Pétain


  • 23 novembre 2025 19:09
    23 novembre 2025 18:46

    Zorglu vient de se traiter d'extrémiste trop drole

    Il s'agit d'un forum boursier ou l'on vient pour échanger des points de vue, nous ne sommes pas là pour dénigrer des personnes, vos commentaires sont agressifs et d'un niveau pathétique


  • 23 novembre 2025 22:09
    23 novembre 2025 19:09

    Il s'agit d'un forum boursier ou l'on vient pour échanger des points de vue, nous ne sommes pas là pour dénigrer des personnes, vos commentaires sont agressifs et d'un niveau pathétique

    lol dit ca a Zorglu


  • 23 novembre 2025 22:10
    23 novembre 2025 19:09

    Il s'agit d'un forum boursier ou l'on vient pour échanger des points de vue, nous ne sommes pas là pour dénigrer des personnes, vos commentaires sont agressifs et d'un niveau pathétique

    je croie que tu ne lis meme pas les posts trop drole et pathétique


  • 23 novembre 2025 22:29
    23 novembre 2025 18:15

    La méthode qui consiste à attaquer, critiquer, personnellement une personne alors que l'on parle d'un sujet est carrément connue et utilisée par beaucoup d'extremistes .

    Oui toujours des attaques ad hominem sur fond de N, c'est leur moteur.


  • 00:24

    Qui peut parler de Philippe de Villers a part un fidèle téléspectateur de Cnews?


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