((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
(Corrige pour lire "Maritime" (et non "Military"), paragraphe 2) par Robert Harvey, Natalie Grover et Ahmad Ghaddar
Au moins six pétroliers supplémentaires ont évité le sud de la mer Rouge lundi, alors que les perturbations sur la route vitale pour le transport de l'énergie augmentent à la suite des frappes menées par les États-Unis contre les cibles des Houthis au Yémen.
À la suite des frappes , les forces maritimes combinées (CMF) basées à Bahreïn ont demandé à tous les navires d'éviter le détroit de Bab al-Mandab, à l'extrémité sud de la mer Rouge, pendant plusieurs jours vendredi, selon INTERTANKO, l'organisme chargé des pétroliers.
Avant les frappes américaines et britanniques sur le Yémen, ce sont surtout les porte-conteneurs qui évitaient la mer Rouge, le trafic des pétroliers étant resté pratiquement inchangé en décembre.
Mais depuis l'avertissement du CMF, un nombre croissant de pétroliers évitent la région, ce qui accroît le risque de perturbation de l'approvisionnement en pétrole d'est en ouest via le canal de Suez.
Reuters a dénombré six pétroliers qui ont changé de cap depuis les grèves de lundi, ce qui porte à au moins quinze le nombre total de navires qui ont changé de cap depuis le début des grèves, d'après les données de suivi des navires fournies par LSEG et Kpler.
Les pétroliers Torm Innovation, Proteus Harvonne et Alfios I semblent s'être détournés du canal de Suez pour emprunter la route plus longue qui contourne le cap de Bonne-Espérance, en Afrique, pour les voyages vers l'Europe et les États-Unis.
Le Pacific Julia et le STI Topaz se dirigent également vers la route du Cap.
L'Octa Lune a fait demi-tour dans la partie nord de la mer Rouge le 12 janvier et est retourné en Méditerranée avec une cargaison de naphta à destination de Taïwan.
Les pétroliers suivis par Reuters vendredi qui s'étaient déroutés ou avaient fait une pause ont soit emprunté la route du Cap, plus longue, soit fait une pause dans le golfe d'Aden ou dans le nord de la mer Rouge.
Le fait d'emprunter la route plus longue autour du Cap peut ajouter jusqu'à trois semaines de temps de navigation.
La liste des déroutements pourrait s'allonger au fur et à mesure que les armateurs exercent leur politique de navigation en s'éloignant de la mer Rouge.
Des armateurs de pétroliers tels que Torm TRMDa.CO , Hafnia
HAFNI.OL et Stena Bulk ont déclaré qu'ils éviteraient Bab al-Mandab à partir de vendredi, tandis qu'Euronav EUAV.BR a réaffirmé sa suspension temporaire des transits à travers la mer Rouge.
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