Matériel militaire, avion de combats, bombes... plusieurs entreprises françaises sont accusées de complicité de crime de guerre pour avoir fourni des armes à la coalition menée par l'Arabie Saoudite au Yémen. Trois ONG ont porté plainte contre Thalès, Dassault et MBDA, mais le gouvernement français n'est pour le moment pas visé directement par ces accusations, puisqu'il est protégé par le secret défense, selon Cannelle Lavite, co-directrice du département entreprises et droits humains ECCHR,