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CAC 40 : Je suis en mission aux USA pour quelques semaines.

26 oct. 2025 18:00

ce qui est frappant, et c'est une véritable giffle, c'est la dynamique économique ! c'est impressionnant les usines qui sortent de partout.
la vitesse la simplicité avec laquelle les idées naissent et se mettent en oeuvre.
ce qui est impressionnant également c'est que ça reste un melting pot il y a de tout dans la région de chicago: les meilleurs sont bien là et ça déroule. C'est une claque !
qu'est ce qui nous arrive en France ? En europe ? ce n'est certainement pas l'immigration comme certains veulent bien nous faire croire, ni le manque de capitaux, ni le manque de géni. Pour moi, on une administration des normes qui tuent tout à l'origine. C'est une maladie. Une maladie qui se développe à tous les niveau avec à son sommet l'Europe.
si on continue comme ça, on n'ira pas loin.
sans doute somme nous arrivé déjà à la fin...
achat US

11 réponses

  • 18:09

    Tout est dit. Il faut s'émanciper de cette bureaucratie et ça passe obligatoirement par un grand coup de pied dans la fourmilière politique


  • 18:14

    Yes !
    Let's go bullish !


  • 18:58

    Facilité de financement, influence nauséabonde des syndicats quasi inexistant, universités parmi les meilleures du monde, financement des retraites par capitalisation, forte mobilité professionnelle, ... je connais bien aussi les US pour y avoir vécu et la France et aux antipodes des pratiques Américaines en terme d'économie, de finance, de RH, de R&D, ...


  • 19:12

    Messieurs, vous savez ce qu'il vous reste à faire.
    Acheter un dictionnaire français pour les fautes d'orthographe.
    Et partir vivre aux États-Unis d'Amérique .

    Vous ne parlez pas du taux de pauvreté qui atteint des sommets, du taux d'obésité, de la baisse de l'espérance de vie des habitants, de l'absence de soins pour les plus pauvres, de la mortalité par balle, de la triste qualité des services de l'état (voir ce qui s'est passé avec Katrina, avec les incendies récents) etc...


  • 19:19

    admiratifs de ICE aussi, de leur système de santé et du coût des études ?
    Quant à leur dette, c'est le dollar qui leur a permis de la financer très longtemps.


  • 19:28

    entre normes stratives et ponctions fiscales, on a un cocktail détonnant pour réussir en France...


  • 19:46
    19:12

    Messieurs, vous savez ce qu'il vous reste à faire.
    Acheter un dictionnaire français pour les fautes d'orthographe.
    Et partir vivre aux États-Unis d'Amérique .

    Vous ne parlez pas du taux de pauvreté qui atteint des sommets, du taux d'obésité, de la baisse de l'espérance de vie des habitants, de l'absence de soins pour les plus pauvres, de la mortalité par balle, de la triste qualité des services de l'état (voir ce qui s'est passé avec Katrina, avec les incendies récents) etc...

    Dans moins de 10 ans nous les aurons rattrapés en termes de pauvreté


  • 20:20
    19:46

    Dans moins de 10 ans nous les aurons rattrapés en termes de pauvreté

    et les plus riches en termes de richesse ?


  • 20:33

    Taux d'emprunts des États-Unis, plus de 4%.
    Donc les 3.5% de la France, ça va...


  • 20:36

    En 2025, la dette publique représente environ 123 % du PIB aux États-Unis contre 111 % du PIB en France. Les deux pays se situent donc au-dessus du seuil de 100 %, mais avec un profil légèrement plus lourd côté américain.

    🔎 Analyse rapide
    - États-Unis :
    - La dette fédérale dépasse 32 000 milliards USD.
    - Le ratio dette/PIB reste élevé, conséquence des plans de relance COVID-19, du déficit budgétaire structurel et des dépenses militaires.
    - La croissance du PIB (plus dynamique qu’en Europe) amortit légèrement le ratio, mais la trajectoire reste ascendante.

    - France :
    - La dette publique avoisine 3 300 milliards € en 2025.
    - Le ratio a augmenté depuis la pandémie (97 % en 2019 → 111 % en 2025).
    - Les contraintes budgétaires européennes (Pacte de stabilité) poussent à une stabilisation, mais la dynamique reste tendue avec des déficits supérieurs à 4 % du PIB.

    ---

    ⚖️ Implications comparées
    - Crédibilité financière : Les deux pays conservent une forte capacité d’emprunt grâce à la confiance des marchés (dollar comme monnaie de réserve mondiale, euro comme monnaie de référence).
    - Coût de financement : Malgré un ratio plus élevé, les États-Unis paient des taux plus élevés (≈4,1 % à 10 ans) que la France (≈3,4 %), en raison de la politique monétaire de la Fed et du déficit fédéral.
    - Risque futur :
    - Aux États-Unis, la soutenabilité dépendra du contrôle des déficits et de la croissance.
    - En France, la contrainte viendra surtout des règles européennes et de la nécessité de réduire le déficit primaire.

    ---

    👉


  • 20:38

    En 2025, les ménages français épargnent environ 17–18 % de leur revenu disponible, contre seulement 4–5 % pour les ménages américains. La France reste donc l’un des pays développés où le taux d’épargne est le plus élevé, tandis que les États-Unis affichent un des plus bas.


    | Pays | Taux d’épargne des ménages (2025) | Sources |
    |--------------|-----------------------------------|---------|
    | France | ≈ 17–18 % du revenu disponible brut | Banque de France, FBF (mai 2025) |
    | États-Unis | ≈ 4,4 % du revenu disponible brut (juillet 2025) | Bureau of Economic Analysis / Trading Economics |

    ---

    🔎 Analyse rapide
    - France :
    - Les ménages français ont historiquement un taux d’épargne élevé (15 % en moyenne depuis 2000).
    - Après le pic du COVID (26 % au T2 2020), le taux s’est stabilisé autour de 17–18 % en 2024–2025.
    - Cette épargne se répartit entre placements financiers (livrets, assurance-vie, dépôts bancaires) et investissements immobiliers.
    - Facteurs clés : forte culture de précaution, fiscalité favorable à certains produits (Livret A, assurance-vie), et un marché immobilier où l’apport personnel reste important.

    - États-Unis :
    - Le taux d’épargne est structurellement bas, oscillant entre 3 et 7 % depuis les années 2000.
    - En 2025, il est autour de 4,4 %, très loin du pic exceptionnel de 32 % atteint en avril 2020 (confinements + aides massives).
    - Les ménages privilégient la consommation et l’investissement en actions/immobilier plutôt que l’épargne liquide.
    - Facteurs clés : filet social plus limité, recours massif au crédit à la consommation et aux cartes de crédit, fiscalité incitative à l’investissement plutôt qu’à l’épargne.

    ---

    ⚖️ Implications comparées
    - Résilience économique :
    - La France dispose d’un « coussin » d’épargne qui amortit les chocs (inflation, crise énergétique).
    - Aux États-Unis, la consommation reste le moteur de la croissance, mais la faible épargne rend les ménages plus vulnérables aux hausses de taux et aux chocs de revenu.

    - Politiques publiques :
    - En France, les pouvoirs publics cherchent à orienter cette épargne vers le financement de l’économie productive (PEA, assurance-vie en unités de compte).
    - Aux États-Unis, la priorité est plutôt de contenir l’endettement des ménages et de soutenir la consommation.


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