Bonjour,
Faut faire attention aux agents de communication. Leur technique sur ce forum est d'insinuer très adroitement en déformant légèrement les faits, avec des petites touches de décrédibilisation donc de discrédit.
Par exemple écrire "sort à peine d’un cycle de restructuration" alors qu'on est au bout du premier mois d'un plan de 4 ans, c'est prendre le lecteur pour un gueux capable de tout avaler.
Toujours dans l'application méticuleuse des méthodes de communication, on reprend ici des propos et ça brode sur le contraire d'une citation pour apposer son raisonnement et croire convaincre .
Je dis que les fonds qui ont décidé de sortir à l'annonce du plan le jour de l'AG se moquent du seuil psychologique des petits porteurs, l'agent dit alors que je suis sorti en moins-values.
C'est faux, mon PRU au comptant était de 22,98€, je l'ai dit plusieurs fois, mais donc dire que je suis parti en MV, c'est donner une image de mauvais perdant (décrédibilisation 1 : check).
L'agent en profite alors immédiatement - alors que vous avez le cerveau sur "en fait, c'est parce qu'il a perdu" - pour balance son mensonge "Surtout quand les signaux s’accumulent et que le marché avance sans toi". Contre-vérité géante, le marché s'écroule dans une régularité de débâcle jamais vue, il n'avance pas. Il s'écroule sans moi, oui, il n'avance pas.
L'agent et quelques autres ont tenté pendant des semaines de faire croire à des objectifs en 2025, alors que tout actionnaire persévérant peut aller lire dans le fouillis des docs que les objectifs de cours commencent fin 2026 et les objectifs de rentabilité pour ... disons 2029. Pris dans le sac, l'agent change tranquillement "2025" par "avant octobre 2026, avec une trajectoire anticipée". Anticipée ? Anticipé, son nouveau mot de combat.
Dans la concession, l'agent balance alors une nouvelle notion mensongère "trajectoire anticipée".
Avez-vous lu quelque part, entendu ne serait qu'un sous-entendu de M Salles d'aller plus vite ? Là où il n'a annoncé que du sang et des larmes, des objectif allongés d'un an ? Non, bien sûr. Mais ça balance sa propagande comme ça.
Enfin, chers lecteurs assidus, mon au-revoir, j'ai soldé, ne dit en rien que j'ai tout oublié du suivi de l'action, de ses augmentations de capital, de ses objectifs annoncé (65€, puis 49€ dans la lettre d'annonce de l'ak qui nous a été adressée, puis finalement 37€ et ses multiples plus tard dans les multiples d'objectifs de cours dans les documents d'AG). Cet "adios", ne dit jamais que je ne surveille pas le cours, ni qu'elle valeur m'incitera à en reprendre.
L'agent à tenté et va continuer de tenter à me transformer en paria, en exclu, en parjure, tant que je démentirai sa propagande.
J'imagine que si un plusieurs gros actionnaires ont décidé de sortir depuis l'AG, ils sont en contradiction et dans une impasse dans vendre tout mais pas trop bas. Il faut que ça ne chute pas trop vite. Il faut que des pp ou des fonds continuent de croire, il faut qu'ils gardent ou même qu'ils achètent. Nous nous retrouvons dans l'incompréhension de décembre ; ils écoulent tout même à 16 (0.0016 alors).
On n'y comprendra jamais rien, si ce n'est qu'il faut revenir à nos discutions de l'été 2024 ; Cet été là je vous ai rappelé que des fonds ont acheté des obligations et des dettes à prix discount.
Un euro de dette a été échangé au taux de 133 et 37, certes. Mais cet euro a été acheté à prix discount aux préteurs qui ont fait une croix sur leur prêt à Atos alors dégradé à "défaut".
Donc non, ils n'ont pas payé les actions 37 ou 133 ; ils les ont eu contre des dettes achetée au mieux à moitié prix. Leur seuil est donc très très bas.
[COMMENT CA SE PASSE]
Scenario : une banque respectable a prêté à Atos 1 million €. Pour rembourser, les successeurs ont emprunté. La même banque a continuer de prêter à des taux toujours plus élevés - jusqu'à 10%. Elle en est à 10 M€ prêtés.
2024, Atos est en redressement et ne rembourse plus. Sur le marché des junk-bonds, elle revend sa dette entre 25% et 50% du prix (plutôt 25%). Elle n'a pas trop perdu car elle a touché en son temps pas mal d'intérêts et de toute façon, le risque est pris en compte dans les intérêts - justement. et c'est en plus assuré
Le fonds spéculatif a racheté 2,5 ou 5 M€ cette dette de 10 millions. On lui échange en actions (à 0.0133 et à 0.0037 et à zéro, les BSA). On ne sait pas la part, mais comprenez bien que pour celles à 0.0037 de l'ak ratée, elles ont coûté la moitié ou le quart de ce montant.
Dans la débacle de décembre, ils ont vendu jusqu'à 0.0016. (moins de la moitié de 0.0037). Ils n'avaient pas d'engagement signé sur l'ak ratée.
Ici, ils écoulent les 0.0133€ (133€ depuis regroupement).
Le ratio de décembre c'était 0.0016 pour 0.0037 soit 43.24% de la valeur.
Si ont y applique le même ratio, ils ne devraient pas vendre en dessous de 43% de 133, c'est à dire 57,51€. Ajoutons les BSA, je vous parie que ça donne les 49€ publiés.
Seulement voilà, le plan annoncé dit retour à la prospérité dans le bilan 2028 en 2029.
C'est trop long et ils ont des objectifs annuels très élevés sur des opérations si risquées. (comme moi !)
Depuis la publication du plan Génésis, ils n'ont plus qu'à faire une croix.
C'est sauve-qui-peut, ou plutôt sauve-ce-qu'on-peut, nos capitaux ont mieux à faire ailleurs.
Spéculatif ; leur limite pourraient être la même que celle en décembre en ce qui concerne le prix, et leur limite de temps devrait être la rentrée, mais peut être décembre ; il y a des millions d'actions à écouler. Ce qui est terrible et possible c'est qu'arrivé à 16€ il n'y ai plus d'acheteur pour le reste.
[/SCENARIO]
L'entreprise peut faire ce qu'elle veut avec ses résultats, ses annonces, ses contrats, ce n'est pas ce qui va trouver des acheteurs d'une action sans cesse vendue.
Donc le malheur de tout ça, c'est qu'ils ne parviennent pas à trouver des acheteurs hors marché. Et la direction sait tout ça et propulse les objectifs de cours à plus de 18 mois et même 3 ans et demi.