ATOS : NEWS important ce matin : Il n'y aura plus aucune restructuration !! ET

Shervin

08:34

les 10% de marges est tout à fait réaliste et réalisable dixit PDG ... il a espoir de faire MIEUX même 👍🤑 d'ici 2028

Shervin

08:37

2024 et début 2025 on a touché le fond des fonds de misères

Place à la Recovery 🚀🚀

Shervin

08:43

exactement victorda 👍👍

le temps long permet de revoir de la valeur sur les actifs en question, et ne pas vendre les actifs avec les meilleurs perspectives, voire y investir, c’est choisir définitivement le recovery surtout qu’une fois la note passé BB, Atos pourra rembourser cette new dette à meilleur taux!
La Recovery peut commencer

Shervin

12:16

Revenu Au prix AK A souscription 37€

BRAVO22

12:26

Par Arthur Le Denn

Publié le 14 mai 2025 à 17:44Mis à jour le 14 mai 2025 à 18:29
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Elle aurait pu rassurer les marchés quant à la capacité d'Atos à se redresser. De la nouvelle feuille de route de l'entreprise de services du numérique, nommée « Genesis » et présentée mercredi par le PDG Philippe Salle, ceux-ci n'ont finalement retenu que l'abaissement de ses objectifs financiers.

L'ancienne gloire de la tech tricolore a précisé viser un chiffre d'affaires compris entre 9 et 10 milliards d'euros en 2028, alors qu'il anticipait jusqu'ici plus de 10 en 2027, en réalisant des acquisitions « stratégiques, ciblées et rigoureuses ». Cette révision concerne l'exercice en cours : ses revenus devraient atteindre 8,5 milliards d'euros en 2025, contre un objectif fixé à 9,5 milliards en septembre 2024, en raison de la « faible dynamique commerciale avant la finalisation de la restructuration ». En conséquence, le titre du groupe a cédé 9,4 % en Bourse mercredi.

Atos table pourtant sur une franche amélioration de sa rentabilité d'ici à 2028, exercice au terme duquel la marge opérationnelle devrait ressortir à « environ 10 %, portée par la mise en oeuvre des initiatives de réduction des coûts et d'une croissance structurellement rentable ». En 2025, la marge opérationnelle devrait atteindre 4 %, soit deux points de pourcentage de plus que l'année précédente.

Nouveau périmètre
Atos, qui avait lancé plusieurs cessions ces derniers mois, a révélé avoir suspendu le processus de vente des activités sensibles de sa branche Mission Critical Systems et de ses produits de cybersécurité. Les négociations exclusives en vue de la cession à l'Etat français de la branche stratégique Advance Computing, qui comprennent des supercalculateurs utilisés pour la dissuasion nucléaire et sont évaluées entre 500 et 625 millions d'euros, se poursuivent par ailleurs, alors qu'approche la date butoir du 31 mai.

Shervin

12:29

BRAVO22

12:26

Par Arthur Le Denn

Publié le 14 mai 2025 à 17:44Mis à jour le 14 mai 2025 à 18:29
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Elle aurait pu rassurer les marchés quant à la capacité d'Atos à se redresser. De la nouvelle feuille de route de l'entreprise de services du numérique, nommée « Genesis » et présentée mercredi par le PDG Philippe Salle, ceux-ci n'ont finalement retenu que l'abaissement de ses objectifs financiers.

L'ancienne gloire de la tech tricolore a précisé viser un chiffre d'affaires compris entre 9 et 10 milliards d'euros en 2028, alors qu'il anticipait jusqu'ici plus de 10 en 2027, en réalisant des acquisitions « stratégiques, ciblées et rigoureuses ». Cette révision concerne l'exercice en cours : ses revenus devraient atteindre 8,5 milliards d'euros en 2025, contre un objectif fixé à 9,5 milliards en septembre 2024, en raison de la « faible dynamique commerciale avant la finalisation de la restructuration ». En conséquence, le titre du groupe a cédé 9,4 % en Bourse mercredi.

Atos table pourtant sur une franche amélioration de sa rentabilité d'ici à 2028, exercice au terme duquel la marge opérationnelle devrait ressortir à « environ 10 %, portée par la mise en oeuvre des initiatives de réduction des coûts et d'une croissance structurellement rentable ». En 2025, la marge opérationnelle devrait atteindre 4 %, soit deux points de pourcentage de plus que l'année précédente.

Nouveau périmètre
Atos, qui avait lancé plusieurs cessions ces derniers mois, a révélé avoir suspendu le processus de vente des activités sensibles de sa branche Mission Critical Systems et de ses produits de cybersécurité. Les négociations exclusives en vue de la cession à l'Etat français de la branche stratégique Advance Computing, qui comprennent des supercalculateurs utilisés pour la dissuasion nucléaire et sont évaluées entre 500 et 625 millions d'euros, se poursuivent par ailleurs, alors qu'approche la date butoir du 31 mai.

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