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Retour au sujet ATOS

ATOS : C est le cabinet ACCURACY qui va déterminé le sort d ATOS

18 mai 2024 10:30

Controle  des comptes , voir  les US  et COUTUMES  du CA  et des CAC  ... Bref voir la réalité des survaleurs  . Ce qui explique le quasi sur place du cours de bourse , on ne sait pas ce qui va sortir du chapeau  ...

11 réponses

  • 18 mai 2024 13:20

    Bonjour tutusse2 
    Et le résultat c'est pour quand ???


  • 18 mai 2024 13:33

    Expertise qui aurait du etre faite avant la dépréciation des actifs! L’incompetence des CAC est attérante! C’est la marque des gouvernants ! 


  • 18 mai 2024 13:40

    Effacer plusieurs fois :
    Alors que la bataille pour le contrôle d'Atos patine à moins de deux semaines de la date-limite fixée par le groupe informatique pour trouver une solution de sauvetage financier à ses créanciers, le vent tourne en faveur de David Layani, le patron de Onepoint, candidat avec Butler Industries et Econocom à la reprise de l'ex-fleuron de la tech française aujourd'hui en procédure de conciliation accélérée.

    Effacement de la quasi-totalité de la dette

    Acteurs majeurs du dossier, les créanciers obligataires, qui ont déposé une offre commune de reprise d'Atos avec l'autre bloc de créanciers composé, lui, de plusieurs banques dans l'optique de soutenir une offre portée par un industriel et préservant l'intégrité d'Atos, ont, selon des sources concordantes, rejeté l'offre du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky en partenariat avec le fonds Attestor. Ils l'ont formalisé dans un message écrit envoyé à Atos, 


  • 18 mai 2024 13:58

    Révoquer le CAC d’Atos ? Une fausse bonne idée ?

     D’abord, il y a des conditions à réunir:

     • convaincre : soit le CA d’Atos, soit des actionnaires d’Atos représentant au moins 5% du capital, soit l’AMF d’intenter en justice une action en révocation. Seul DL a les moyens d’agir à la date d’aujourd’hui
     • identifier la cible : il s’agit au cas présent de 2 CAC fonctionnant en collège, dont chacun des membres est solidaire et responsable des travaux de son confrère dont il s’assure de la qualité via une revue dite croisée
     • démontrer une faute professionnelle : les 2 CAC (cabinets internationaux de renom ont des équipes bénéficiant d’expertise reconnue et indépendante (leur indépendance est très sévèrement contrôlée).

    Reste la piste de l’examen insuffisamment critique du quantum et du timing de la provision pour dépréciation des goodwills constituée en 2023, poste comptable dont l’évaluation relève d’une dimension hautement subjective ?) ; néanmoins, nous sommes nombreux sur ce forum à s’interroger sur le manque de réserves ou d’observations émises par les CAC à l’encontre des 2.5 Mds d’euros de dépréciation constituée en 2023 à la suite de l’impairment test des goodwills, dont 1.9 Mds relatifs à celui d’Eviden.

     Que nous disent les CAC dans leur rapport sur les comptes consolidés ?

     Sur la base des éléments portés à notre connaissance, j’ai des interrogations (comprendre je suis confronté à une information insuffisante pour avoir un jugement) sur les éléments suivants qui pourraient paraître incohérents à première lecture quand je les regroupe dans l’objectif d’avoir une vison globale de l’image fidèle de la situation économique d’Atos reflétée par ses comptes consolidés.

     Rapport CAC

     • incertitude significative sur la continuité d’exploitation liée aux événements significatifs de l’exercice évoqués dans la note 1.1.6.5 de l’annexe aux comptes consolidés (procédure amiable, programme de cessions d’actifs, discussion sur refinancement et liquidité);
     • or, les comptes ont été établis :
     ◦ en appliquant le principe de continuité d’exploitation
     ◦ en ne reconnaissant que 0.7Mds d’actifs d’impôt différés (en base) relatifs à des déficits fiscaux indéfiniment reportables sur 6.3 Mds d’euros, ce qui sous-entend bien que l’activité ne permettra jamais de les récupérer, et donc remet en cause la continuité d’exploitation des fonds de commerce sous-jacents à ces activités déficitaires
     ◦ en dépréciant de 2.5 mds d’euros les goodwills dont 1.9 mds sur Eviden

     Annexe aux comptes consolidés
     • dans la 4ème section de la note 1.1.6.2, il est fort judicieusement précisé que:
    Dans le cadre de la préparation des états financiers consolidés, la direction émet des jugements et a recours à des estimations et hypothèses qui impactent le montant des actifs et passifs, produits et charges comptabilisés dans les états financiers, ainsi que les informations figurant en annexe sur les actifs et passifs éventuels à la date de clôture. Du fait de l’évolution de ces hypothèses ou de nouvelles circonstances qui pourraient intervenir, les montants apparaissant dans les états financiers qui seraient publiés ultérieurement, pourraient différer des estimations actuelles, particulièrement sur les sujets suivants : Test de dépréciation du goodwill et autres actifs immobilisés : hypothèses clés sous tendant les valeurs recouvrables (Note 8 – Goodwill et actifs immobilisés) ; Reconnaissance et évaluation des impôts différés actifs : existence de profits futurs taxables permettant d’absorber les différences temporelles déductibles et les pertes fiscales reportables (Note 7 – Charge d’impôt)
     • dans la 2ème section de la note 1.1.6.5, il est également précisé que:
    Atos a considéré qu’au 31 décembre 2023, aucune des cessions envisagées ne remplissait les critères d'’IFRS 5 pour une classification en actifs destinés à être vendus et activités abandonnées.
     • Dans la note 8.1 sur les goodwills: Compte tenu des incertitudes entourant la situation actuelle du Groupe, les tests de perte de valeur ont été réalisés à partir de paramètres, à la fois pour le DCF et les multiples boursiers, incluant d’importantes primes de risque dans les taux d’actualisation et décotes dans les multiples. Les résultats ont également été déterminés en prenant en considération les valeurs estimées des transactions qui avaient été ou sont envisagées, ainsi que les attentes du marché.

     Sur ces bases, je rencontre des difficultés à comprendre comment les CAC n’ont pas été amenés à soulever dans leur opinion les incertitude liées aux stocks et flux comptables sur les impôts différés et les goodwills.
    Ces incertitudes auraient dû les conduire à conclure sur leur impossibilité de conclure sur les positions du CA lors de l’arrêté des comptes et à émettre dans leur rapport 2 réserves, non pas pour désaccord, mais bien pour impossibilité de conclure. A confirmer, mais à ces 2 titres, l’opinion des CAC ne me semble pas suffisamment étayées sur ces 2 thématiques.

     Remettre en cause l’opinion des CAC, seul DL en a les moyens.

     Refuser d’approuver les comptes en l'état, nous en avons tous les moyens.

    Chaque actionnaire devra décider en son âme et conscience, s’il est suffisamment informé ou pas sur ces 2 sujets.

    ans un premier temps, la revue critique des goodwills par Accuracy devrait être éclairante !


  • 18 mai 2024 14:27

    Reste seul en lice LAYANI    audit publié ou pas fuites MEDIAPART   ? Trop de cadavres , on l enterre   et on distille l acceptable  ....


  • 18 mai 2024 21:15

    Qui controle ACCURACY  ?


  • 18 mai 2024 21:38

    Bonsoir tutusse2 ,

    Je ne saurais vous dire mais la pression devient maximale au niveau des patrons. Je serai ACCURACY, je jouerai pas avec le feu si je veux encore pouvoir bosser sur Paris à l’avenir. Les CAC associés au anciens dirigeants d’Atos sont pas loin du lynchage public.


  • 18 mai 2024 23:01

    En attendant, le chronomètre tourne et le respect du calendrier fixé par la direction de trouver un accord d'ici au 31 mai en vue de signer un accord final de restructuration financière d'ici à juillet est loin d'être assuré. De quoi inquiéter les clients. Certains quittent Atos. Derrière en date, selon nos informations, FedEx.


  • 19 mai 2024 13:23

    Trop d’incohérences dans l’arrêté des comptes et leur certification !

     D’un côté, je maintiens le principe de continuité d’exploitation et de l’autre je prends pour l’hypothèse que je ne ferai jamais de bénéfice (non reconnaissance des actifs d’impôts différés sur les déficits fiscaux indéfiniment reportables) et je déprécie les goodwills sur la base de flux futurs de revenus (sur des prévisions ne tenant pas compte des restructurations hautement probables à venir) sans tenir compte de leurs possibles valeurs de cession (selon les différents projets publiés).Par  ailleurs, j’affirme qu’il n’y a pas d’autres projets de cession que ceux annoncés avant le 31/12/2023).

     D’un côté, le CA qui arrête les comptes dit qu’il est dans un contexte de grandes incertitudes et qu’il aurait pu arrêter les comptes sur des hypothèses significativement différentes, dégageant ainsi par une précaution uniquement oratoire sa responsabilité. Mais quels intérêts pouvaient donc bien servir les hypothèses retenues ?

     Puis les CAC, assureurs de confiance en dernier ressort, n’émettent pas d’autres observations qu’un rappel sur le contexte d’incertitude sur la continuité d’exploitation, confirmant ainsi que les incertitudes soulevées par le CA n’étaient pas un problème pour eux. Whaou diraient mes ados ! Ils sont vraiment très forts.

     A mon avis, les CAC ont pêché par manque d’humilité et auraient dû conclure sur leur incapacité à conclure sur l’impact comptable des hypothèses retenues, tant du fait de leur matérialité sur les comptes que des aléas de réalisation des prévisions.

     Comment en sont-ils arrivés là ?

     D’abord, les 2 CAC ont réalisé une revue croisée de leur dossier.

     Puis, ont pris l’avis de leur Quality Review Partner respectif (sorte de shadow CAC qui les assiste), de leur département de doctrine comptable French GAAP et IFRS, puis de leur Risk Management, puis compte tenu du contexte politique de leur direction générale, tout ceci en échangeant avec les représentants d’ATOS (Dir. Financière et générale, Comité d’Audit, membres du CA) avant l’émission de leurs rapports. Beaucoup de monde, trop de monde, créant ainsi un brouillard très épais digne de celui d’Austerlitz aurait dit un forumeur célèbre, ce qui les a sans doute aveuglés.

     Il leur reste toutefois une porte de sortie. Leur responsabilité n’est engagée que sur la base des informations connues à la date d’émission de leur rapport sur les comptes (26 mars 2024). Toutefois, si des éléments étaient de nature à modifier leur opinion entre le 26 mars 2024 et la date d’AG d’approbation des comptes, ils ont l’obligation d’en faire communication à l’AG. Sauront-ils saisir cette opportunité ?

     Enfin, nous parlons des CAC et du CA, mais le contrôle des comptes est délégué au comité d’audit par le CA. ATOS a-t-il un comité d’autres bénéficiant de suffisamment d’expertise pour faire, en toute indépendance, un examen critique des comptes ? Je n’en sais rien. Et vous ?

     PS A la question à qui appartient Accuracy ? Je réponds à leurs associés ! Il faut plutôt se demander qui mandate et paie les travaux d’Accuracy ?


  • 19 mai 2024 16:23

    Bonjour Grankac ,

    En effet, les CAC sont les fusibles que les créanciers sont déjà prêts à faire sauter. 

    Concernant la porte de sortie, leur payeur n’est plus leur priorité, ACCURACY est dans un position très délicate car cela dépasse la question d’un jeu d’allégeance, s’ils ne veulent pas provoquer un Atosgate au delà de la profession, ils doivent arrêter le feu du simulacre de la mort et désavouer pas mal de planqués.

    François Guillaume et Alexandre peuvent se retirer en douce en abandonnant les troupes sur la pratzen pour payer la dette de guerre…


  • 20 mai 2024 10:23

    Opération  Déminage  en rétablissant une dose de confiance dans la réalité des comptes  .... 


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