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Retour au sujet ATOS

ATOS : Austerlitz ou Waterloo

19 mars 2024 12:37

Mon dernier sujet sur Atos. Nous sommes dans la partie décisive, Alexandre et François Guillaume ont été écartés, ils comptent sur les banquiers anglais pour pousser Atos à la conciliation.

Monsieur Mustier et Saleh ne donneront rien, ils sont durs en affaire, seront-ils soutenus? Nicolas Richard n’est pas n’importe qui dans le mouvement des forces en présence. 

C’est le moment de vérité, ce report des résultats ne peut qu’aboutir à une proposition de la part de ceux à la table des négociations, sinon l’issue est connue et le cours du titre en est la manifestation tangible.

Bon courage à tous les actionnaires historiques, tenons bons ensemble

216 réponses

  • 19 mars 2024 12:44

    Plutôt Armaggedon Time...


  • 19 mars 2024 12:45

    Waterloo fut un Armageddon en 1815…


  • 19 mars 2024 12:46

    Ca ne sent pas bons, mais on verra la suite des évènements, j'ai payé pour voir la fin du film a ce prix de toute façon plus aucune différence.


  • 19 mars 2024 12:51

    Les résultats Q4 2023 sont pour demain !
     '


  • 19 mars 2024 13:48

    Bonjour @homiz,

    Je paie également pour voir. Mais quelle leçon d’investissement, de quoi en apprendre pour mes prochaines décennies de bourse.


  • 19 mars 2024 19:10

    J’étais 20/80 puis à 50/50 depuis l’abandon de EPEI. 

    Je passe à 80% pour un Austerlitz!!


  • 19 mars 2024 19:15

    Tu as des arguments nouveaux donc victorda ? 


  • 19 mars 2024 19:41

    Bonsoir Gloups ,

    L’abandon d’Airbus, obligatoire pour la suite. Déclaration à La Tribune d’une participation de la BPI sur BDS.
    Informations par l’usine nouvelle d’un plan de monsieur Layani qui répond aux exigences de la mission du CA d’Atos et de la mandataire ad hoc.

    Je reste à 80% car ces informations manquent de deux éléments qui doivent être officiels: 
    -la profondeur des poches de Monsieur Layani 
    -l’appareil de Bercy (structure, périmètre sécurisé, montant)


  • 19 mars 2024 19:44

    Le cours va être suspendu avec cette demande de sauvegarde, c' est un Austerlitz différé..?


  • 19 mars 2024 19:50

    Berezina me semble  plus approprié pour  une valeur à moins de 2 euros...


  • 19 mars 2024 19:59

    Bonsoir,

    Conclave en cours, qui sait si une fumée blanche ne sortira pas dès ce soir, ou demain…


  • 20 mars 2024 08:58

    Salut victorda , pas vu de fumée blanche ce matin. Bonne séance.


  • 20 mars 2024 09:08

    Bonjour Gloups ,

    En effet, toujours pas de fumée blanche. Le feu dans la cathédrale de Bezons a été attisé par ceux qui convoitent les bijoux de famille pour rien.

    Espérons que notre positon face à l’arc de Triomphe soie un bon présage pour l’issue de ces négociations.


  • 24 mars 2024 23:33

    Bonsoir à tous, 

    Monsieur Layani confirme dans Le Figaro que le deal TFco/EPEI et ensuite celui BDS/Airbus devaient être abandonnés dans sa symphonie. Il confirme également vouloir conserver Atos entier. Je suis surpris qu’il veuille garder tous les actifs de BDS, Bercy serait prêt à prendre une simple participation sur les actifs « stratégiques »? Monsieur Layani souligne ses contrats déjà en cours avec l’Etat et insiste sur la structure actionnaire Franco française de One Point… Cela courtise ferme à la table des négociations de la mandataire ad hoc.

    Plein d’éléments de langage dans cette interview, certains valident les péripéties des derniers mois, reste entier la question des financements, de l’ampleur des efforts consentis par chaque parti, bref beaucoup de questions en suspens. 

    Toutefois, dans le discours, plus que la mandataire, voire même le CA, l’Etat apparaît comme faiseur de roi, qu’en pensez vous?


  • 25 mars 2024 00:21

    victorda

    C'est le même discours de Meunier sauf qu'il est encore plus maximaliste puisque Meunier voulait se débarrasser de TechF.
    Le terme "pépite" est clairement un terme que Meunier utilisait.
    Ensuite, ce qui est intéressant c'est que lui est "mouillé" jusqu'au cou, parce qu'avec une société comme onepoint, avoir déjà investi plus de 50 millions d'euros, et continuer c'est énorme.
    Et cela change du ton du boss de la BPI ou clairement c'était un vautour qui voulait bien des morceaux de BDS mais pour bien faire comprendre à Atos qu'il va falloir être très raisonnable sur les prix. J'ai deux interventions de sa part où il est particulièrement négatif sur Atos.

    De plus, je pense Layani plus compétent que Meunier et le boss de la BPI pour décrire Atos. Donc sur ce point c'est positif, un entrepreneur interne au monde des ESN qui vient discréditer le boss de la BPI, et même Meunier.

    C'est difficile d'être objectif sur le sujet, mais souvent en discutant avec quelques ingénieurs, ils ont été jusqu'à dire que beaucoup de choses dans Atos sont plus intéressantes que CapGemini, et c'est clairement quelque chose que je notais quand je voyais les structures de recherche d'Atos où il y avait du fondamental. Donc tant que financièrement tout tournait bien...

    Pour le reste, il ne dit rien, bluff ou pas puisque le marché étant déprimé sur cette valeur jusqu'à l'absurde. Quand est-ce que les fonds d'investissent français et de l'UE vont ils se lancer? 
    On retrouve aussi les propos de map dont on se demande clairement s'il veut offrir des gâteries à Daniel K. Layani a besoin des fonds français et européens.
    Je suivrais la levée de capital. Si personne ne veut payer le prix des actifs, autant se sacrifier en tant qu'actionnaires, de toute façon je n'achète plus aucun put et j'ai encaissé la majorité de ma couverture.


  • 25 mars 2024 07:20

    Bonjour @off86,

    Beaucoup d’informations sont transmises dans son interview, et pour un membre du CA d’Atos, cela a de l’importance. Il valide 90% de mon scénario d’Austerlitz, est très affirmatif sur le soutien des créanciers et parle bien de conserver tout, revenir à des synergies en insistant lourdement sur les conséquences de la scission ET parle d’augmentation de capital. Toutefois, à ce cours, impossible de lever des fonds sans dilution intenable pour lui également, même s’il assure y souscrire, et même la sécuriser. Donc, à un moment, le cours doit démonter substantiellement à un prix tenable pour une AK avec DPS. Les résultats de l’audit et les résultats 2023 pourraient propulser le cours à un niveau proche d’une valeur comptable correcte?
    Du concret doit arriver rapidement sinon, ses propos pourraient être repris par ses détracteurs…


  • 25 mars 2024 07:24

    Doit remonter substantiellement*

    Je suis actionnaire historique, je suis resté et j’ai renforcé à différentes phases de la symphonie, pas besoin d’en dire plus, je laisse chacun arbitrer en fonction de la situation qui est la sienne.


  • 25 mars 2024 07:47

    Rumeur  
    Perte de 3 millards année 2023 qui va être annonce mardi   on verra 


  • 25 mars 2024 07:55

    Bonjour mar27 ,

    Comme vous dites, ce sont des rumeurs. La sortie de monsieur Layani est calculée, et ces propositions sont incompatibles avec un une mise à la casse du cours et des capacités de refinancement de Atos. Étant aux CA, il doit avoir des informations privilégiées, j’attends donc les résultats, avant, ce n’est que suppositions. 


  • 25 mars 2024 08:28

    Les résultats 2023 sont bien meilleurs que ceux de 2022 en excluant le goodwill qui un indicateur de bilan et pas de fonctionnement de la boite au jour le jour....du moins je le vois comme cela. 


  • 25 mars 2024 09:18

    Bonjour,

    Pour imposer son plan, Layani devra monter davantage au capital d'ATOS. Il faudra donc surveiller les mouvements après la publication des résultats, mais ce serait un signe fort..


  • 25 mars 2024 10:15

    victorda mar27

    Comme le souligne Jato, les pertes non financières ne sont pas très importantes. Elles sont cohérentes avec les évènements. 
    1) Meunier estimait que TechF avait au moins une valeur négative de -300 millions. On ne saura finalement jamais vraiment, on devra attendre le BFR moyen de TechF puisque cela sera présenté comme société distincte. 
    2) Mustier peut prendre en compte le fait de la bourse, le risque d'une société en faillite (en 2025), à partir de là il peut déprécier. S'il s'en sort, cela sera encore une marque à son crédit.

    Quant à l'AK, je ne dis rien, Layani est bien trop équivoque sur le financement. Et je ne vois pas trop son intérêt de n'être qu'un actionnaire de référence, pour moi il doit dépasser les 11%.
    Il ne donne pas les besoins de financement et au fond il a quelques amis, mais il a besoin d'un milliardaire et à ma connaissance il n'a pas ça. Ou d'un fond qui pour l'instant n'était pas français. 


  • 25 mars 2024 13:27

    Et si l’Etat, comme a dit B. Lemaire rentrait au capital d’Atos comme il l’a fait pour Peugeot ou Thales? Wait ans see…ca va bouger fortement… 


  • 25 mars 2024 14:57

    Bonjour à vous,

     Les propos de Monsieur Layani et la réaction immédiate du CA d’Atos sont clairs, nous ne sommes plus dans les manipulations psychologiques et des dissimulation des forces.

    Les 2 partis ont été en phase sur le refus de brader les actifs de l’entreprise mais depuis le retrait des 2 empereurs pressentis par les banquiers anglo-saxons, ils attendent patiemment de pouvoir se racheter à la table des négociations, poussant pour un choix de la mandataire en leur faveur.

    Voilà pourquoi monsieur Layani est monté au capital, pour que ses intérêts soient représentés. Toutefois il a attendu d’être nommé car toute une préparation était nécessaire.

    Étant actionnaire principal, le mandataire est obligé d’étudier son offre, surtout qu’elle répond au cahier des charges, les intérêts d’Atos (rester entier), des banquiers (sécuriser leur remboursement de dette), des créanciers (les obligations ayant été conservées sur ordre de Bercy) , des employés (CFE, syndicat majoritaire le soutient) et des actionnaires, lui le premier.


     Reste la question que soulève Monsieur Mustier (et Mc Kinsey/Rothshild): l’argent.

    Car sur cette Austerlitz moderne, le champs de bataille de la platzen est le mandat mais les troupes sont financière. Et personne ne connaît les besoins précis d’Atos (réponse demain) sauf le CA, et donc monsieur Layani.

    En définitive, soit il a déjà le financement, soit il capitule, et nous avec lui.


     Quid de l’argent frais. Hors, à Austerlitz, il a fallu manipuler l’ennemi sur les forces disponibles (Carlyle), éteindre le feu (la scission) et se lancer dans la bataille. Nous sommes à la dernière phase. 

    Demain nous saurons si le feu est éteint, combien il faut pour sauver Atos et restera à savoir si Monsieur Layani ou le bord d’Atos ont les moyens pour sauver Atos, l’Etat apparaissant de plus en plus comme le juge de paix, à savoir si Bercy participera ou pas au sauvetage et comment…


  • 25 mars 2024 16:35

    A mon avis derrière cette histoire que Layani n' aurait pas les épaules assez larges pour le job, il y a surtout des requins comme certaines banques et des agences type McKinsey qui ont depuis le début un plan pour se faire un max sur le coup, donc on attend Layani et il y a des chances pour que ce soit Kretinsky qui rapplique, un peu pour nous comme a Waterloo avec les Grouchy et Blücher...


  • 25 mars 2024 16:57

    Bonjour Gloups ,

    C’est tout à fait une des possibilités. Sur le papier, à Austerlitz, l’une des erreurs de Alexandre et François Guillaume aura été de déléguer à des jeunes qui ont été manipulés par la tactique, sur le papier, ils avaient un rouleau compresseur. À l’issue de cela, les forces se sont finalement équilibrées et nous connaissons la fin. À Waterloo, c’est une victoire écrasante des anglo-saxons, presque revanche parfaite d’Austerlitz.

    Dans les faits, nous sommes dans le quart d’heure de vérité, avons nous un Monsieur Layani qui a dupé les empereurs et qui va charger avec bien plus de troupes que les 500M€ levés aux yeux de tous pour nous duper ou finalement, n’a-t-il jamais eu les forces nécessaires et auquel cas, Alexandre pourrait revenir en force suite au pas de côté de François Guillaume…

    Atos semble n’avoir jamais su se défaire de Mac Kinsey et Rothschild, juste en face, il a été question de ne pas brader les actifs, ce qui était incompatible avec les intérêts de chacun.

    Dans tous les cas, chacun doit se dévoiler, c’est également le moment de vérité pour la VAD, qui a déjà décidé de leurs champions…


  • 25 mars 2024 18:08

    La chose la plus simple, si l' Etat a peur que Layani soit un peu léger financièrement en cas de galère sur la reprise de la boite, c' est qu' il sécurise BDS pour régler les problèmes stratégiques en investissant dessus à l' aide de CDC ou BPI, çà fera toujours une rentrée d' argent sur le reste, et qu' il laisse Layani se débrouiller avec le reste puisqu' il a prouvé sa motivation et qu' il a l' appui des salariés, et a mis apparemment un projet industriel qui tient la route. Si l' Etat pour rassurer les banques et créanciers peut accorder une garantie sur la dette, il n' a même pas peut être besoin d' investir, le plan Layani est mis en œuvre sur l' entièreté d' Atos, avec quand même une AK, surement réservée à certains créanciers, pour compléter le cash perso qu' il y mettra.


  • 25 mars 2024 18:14

    Dans l'état actuel de panique sur la situation comptable du pays, L 'Etat ne doit pas être très joyeux de devoir rattraper les errements des directions successives d' Atos, surement la raison essentielle d' avoir à la base fait donner des McKinsey sur un plan de démantèlement en mode "bon débarras", avant de devoir sortir son portefeuille..


  • 25 mars 2024 18:15

    Le communiqué de demain devrait donner quelques indications sur la suite des opérations. De même que le cours de bourse des prochaines séances.

    Layani n'a désormais plus beaucoup de temps pour agir.


  • 25 mars 2024 19:17

    Bonsoir à vous 2,

    Je rejoins votre avis sur la situation du pays, l’Élysée et donc Bercy n’ont aucune envie de mettre la main au pot, reste que les sorties du l’Ukraine sont contre intuitifs avec un abandon de certains actifs à des mains étrangères. Une part de l’interview de monsieur Layani est totalement destiné à cette partie de l’échiquier. Les résultats devraient révéler les besoins en financement d’Atos et dans la foulée, des mouvements décisifs de monsieur Mustier et de monsieur Layani sont dorénavant obligatoires. Le premier n’a rien bradé mais doit rassurer les créanciers sur un apport de cash frais par l’entreprise, de l’autre monsieur Layani annonce ne rien vouloir vendre et donc doit pouvoir financer son plan sans braquer personne. 

    L’ampleur de l’argent à apporter et comment l’apporter sera déterminant sur l’issue, mais je persiste dans l’idée que monsieur Layani doit monter plus haut au capital pour s’imposer au CA. Je peux me tromper mais le bulletin officiel d’Atos ce matin avait un ton laconique qui rappelait l’Ere Meunier…


  • 25 mars 2024 21:38

    Avec 4.4% de MOP c'est déjà Waterloo.

    On voit que vous êtes nouvelles sur le dossier. Au S2 2022 Eviden avait 6.7% de MOP. Sur la même période 2023 c'est 5.8%

    On voudrait redresser Atos, même Atos se délite.

    Quand n'importe quelle petite ESN de province et même en redressement judiciaire fait 5% de MOP, c'est juste indécent et plus la Bérézina que Waterloo.


  • 25 mars 2024 22:06

    map

    Quel est l'intérêt de tels propos? Honnêtement?
    Atos réalise la marge qu'ils avaient prévu. 
    Vous devriez aller donner des cours à Layani tellement vous êtes fort.
    Il est juste étonnant que vous sembliez si pauvre à plus de cinquante ans, n'est-ce pas?


  • 26 mars 2024 07:48

    Le communiqué parle de nouvelles cessions d’actifs importantes pour financer sa dette, aucun mot sur le plan Layani.

    Ouverture de la conciliation, échéance juillet.


  • 26 mars 2024 08:21

    Bonjour, 

    Monsieur Layani a jusqu’au 8 Avril pour faire passer son plan. Passé cette date…


  • 26 mars 2024 08:45

    Les intentions ont été dévoilées, le tempo est donné, nous seront rapidement fixés..


  • 26 mars 2024 09:14

    Bonjour Melea ,

    Ne nous leurrons pas, la fenêtre de tir est minuscule. Les résultats du jour sont en ligne avec ce qui était prévisible, une dépréciation d’actifs catastrophique. 
    Toutefois c’était connu. Seul élément que j’ai trouvé positif, il est écrit noir sur blanc que les CAC valident les comptes. 

    Reste qu’il nous manque les résultats d’audit et surtout le plan du CA d’Atos. Plan qui semble passer par des cessions importante et une dilution des actionnaires, c’est également écrit noir sur blanc. Il est donc manifeste que Mac Kinsey et Rothschild n’ont pas rien lâché et veulent un Casino Bis, leur poulain en embuscade.

    Il est inimaginable que monsieur Layani obtienne gain de cause sans retourner le board, la conciliation à l’amiable avec cette mandataire, sans pouvoir, on connaît déjà l’issue…


  • 26 mars 2024 09:23

    victorda

    Comment les comptes n'auraient pas pu être validés? La dépréciation sur Eviden est "folle". Je suis sûr que les CAC n'en demandaient pas autant et que c'est la nouvelle direction qui utilise n'importe quel fait du monde pour faire la dépréciation.

    La direction est totalement indifférente aux actionnaires historiques. Soit une vente d'un actif est effectuée à bon prix, et l'actionnaire est sauvé, soit un changement profond dans le marché obligataire arrive, soit dilution claire de l'actionnaire.
    Ils ne disent rien sur l'éventuelle vente d'actifs du digital.
    Donc le bon plan, c'est qu'on a une direction qui ne bradera pas les actifs, mais de toute façon, pas un mot pour le cours de bourse, sur l'utilité de la scission, etc.


  • 26 mars 2024 09:31

    Bonjour Off86 ,

    La scission actée, sans consultation, payée sur les deniers des PP historiques et sera dépecé Atos aux termes de Mac Kinsey, Rothschild si rien est fait.

    La dépréciation d’actif est surtout un cadeau aux futurs acquéreurs pressentis pour mettre à plat les casserole de l’ère TB. Une fois les résultats d’audits officiels, une proposition d’achat sera faite à la valeur comptable, le board se couvrira ainsi. La dette sera convertie en actions, les actionnaire perdront la moitié de leur entreprise ET seront dilués par les créanciers. 

    C’est un spoliation en bande organisée si rien est fait.

    Donc, seule solution pour nous, que monsieur Layani monte au capital et retourne le board, sinon c’est plié, celui derrière BOA a déjà prévu de sécuriser des votes, la date du 8 Avril est prémonitoire.


  • 26 mars 2024 09:37

    victorda

    La scission a couté cher mais honnêtement, j'ai encore du mal à comprendre comment à part Layani aucun investisseur français/UE n'est rentré dans une perspective industrielle avec un Airbus jouant tout de même une drôle de symphonie?
    Layani se trompe-t-il sur les actifs d'Eviden? Comment passer d'un refus net de 4,2 milliards de VE à cette situation?

    Concernant le board, je ne suis pas du tout complotiste, ce sont des exécutants et le point positif c'est que véritablement ils ne bradent pas les actifs. Donc s'ils sont cohérents, les actionnaires auront des DPS. 

    Quant à Layani, soit c'est du bluff, soit il a plus de fonds et il doit prendre le contrôle car ils l'ont royalement ignoré. Il n'existe pas pour eux. La scission étant faite, elle pourra apporter de la clarté et permettre des IPO futures. 


  • 26 mars 2024 09:49

    Bonjour Off86 ,

    Monsieur Mustier et monsieur Layani étaient en ligne tant que les prédateurs voulaient un don d’un bout d’Atos sous prétexte d’une valeur jugée surestimée. Tout le narratif des médias existant pour décrédibiliser les prétentions d’Atos a demander un certain prix. Avec ces résultats et les audits à venir, il faudra arrêter la spéculation à ce sujet.

    Mais nous arrivons au bord du précipice, et cette scission aura accéléré les choses, un vrai carburant à cramer du cash, et aucune intention de revenir en arrière donc il CLAIR que le board veut vendre, et monsieur Kretinsky semble le prétendant en embuscade pour reprendre TFco. Mais à quel prix?

    L’annonce sur la dilution est aussi claire, donc conversion de dette pour les créanciers? Le message laisse entendre que les actionnaires ne pourront échapper à la dilution, ce qu’une DPS a de relutif.

    Monsieur Mustier et monsieur Layani ne sont plus en ligne depuis que le plan qui arrivera le 8 Avril signe contrôle de Mac Kinsey et Rothschild sur les propositions à la conciliation. D’un côté les financiers, de l’autre l’entrepreneur, au milieu l’Etat en juge. 

    Soit Monsieur Layani a monté avec des alliés et retourne la table, soit c’est plié car quelqu’un est prer à dénoue ses swap en actions le 8 Avril… comme par hasard…


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