Le mien aussi et qui disait,
et masquer pendant 3 ans, La décrépitude, se taire, enterrer les pertes, dire une chose et son contraire, faire des acquisitions à des prix stratosphériques et endettement d'entités sans aucune rentabilité et non absorbées, comme une fuite en avant avec de la croissance externe à tout prix, devant masquer l'absence de croissance interne avec des salariés non motivés, partant à la concurrence et pour ceux restants, ne sortant les productions qu'avec retard, en perte, ou à marge pratiquement nulle, mais pas de leur fait, mais celui de prise de commandes du management avec la bénédiction du board.
BELMER en prenant ses fonctions découvre tout cela après audit, et surtout après 3 PW, en crée un 4è en nous balançant près de 3 milliards de pertes.
On se tait encore pendant 5 mois, on s'attend à une restructuration et un recentrage beaucoup plus énergique, et ou s'appuyer sur un partenaire de taille permettant un retour de croissance et de RENTABILITE avec diminution du flottant, par exemple avec l'entrée de THALES au capital, et au minimum à 30%, puisque nous avons des affaires en commun et avec son actionnaire principal DASSAULT AVIATION
Au lieu de cela, POUR RESTER INDEPENDANT, on nous annonce un plan se scission devant coûter 1.6 milliards, un recours à 2 emprunts obligataires, consistant à isoler les activités manquant de rentabilité, mais ce n'est ni plus ni moins que créer une structure de défaisance dont on veut taire le nom, avec cette fois ci une forme juridique, et, encore une 5è fois, engendrer une chute de 50% du cours, déjà bien bas à 27 euros, des pertes supplémentaires à venir, sans affronter les problèmes de fonds qui consistent à FIXER SES PRIX, corriger en adéquation la masse salariale, donc agir sur les coûts ENERGIQUEMENT.
Au passage on vire le DG, à peine 6 mois après sa nomination, on assiste, sur la place publique à un grand déballage ou s'articule la zizanie, et le désir absolu de ne rien changer sur les problèmes de fond, et on confirme à la virgule près les prévisions de 2022, ou cette fois la marge devrait se situer à la moitié inférieure de la fourchette indiquée c'est-à-dire vers approximativement 3.80% hors éléments exceptionnels qu'on ne manquera pas de trouver (guerre en Ukraine, renchérissement de l'énergie, inflation conduisant à perte de croissance, hausse des taux et autres...)
Donc, dans un premier temps on cherchait à doubler la taille, puis dans un second la diminuer de moitié.
Ca fait un sérieux grand écart, ou personne ne comprend plus rien, et surtout AUCUN INVESTISSEUR n'y trouve de réponse, et au contraire y voit la continuation de l'incurie, et la fuite en avant en maintenant des coûts fixes exorbitants.
Personne n'a voulu, pendant 1.5 an d'UCC, et encore personne aujourd'hui ,TFCo ne devrait connaître une trésorerie positive qu'en 2026, à coup de gros investissements, donc pour toutes ces raisons on se dirige tout droit vers des bilans déficitaires, un possible appel à l'épargne publique ou AK avec intervention de l'ETAT au travers de BPI.
Encore une fois, et plusieurs ESN le font, y compris CAP GEMINI, la gestion des parcs informatiques et des DATAS CENTERS sont rentables à raison de FIXER ses prix, de l'accompagner de cyber, et d'adapter la voilure. La mutation vers le Cloud et la digitalisation des entreprises, se fait avec retard et lentement chez ATOS, certes, mais c'est une question de voilure qu'il faut manœuvrer avec intelligence et sans gaspillage.
Ce qui manque donc chez ATOS, ce n'est pas un conseil d'administration complètement défaillant, mais un comité d'AUDIT INTERNE devant VALIDER ou NON les commandes : 23 milliards dont beaucoup ont étés prises en pertes ou à l'équilibre par dumping de prix vers le bas, et, tout ceci pour faire DU CHIFFRE afin de masquer les MARGES, et ruiner les actionnaires.
L'effet retard c'est le big data, ex Bull, la cyber, l'IA, le cloud et le qantique qui permet au groupe, d'arriver à une marge opérationnelle nettement insuffisante : 3.80% hors exceptionnel, plus tard nulle voir négative. Et, encore heureux parce qu'on aurait pu assister plus rapidement à la disparition du petit cheval.
THALES ne veut pas d'OPA hostile, mais en regard au nombre de refus, l'arrangement avec des banques et HF, fera qu'il en profitera quand même et à moindre coût, par voie détournée, et prendra le contrôle du CA.
L'Etat peut intervenir, soit en aidant THALES, soit s'il veut à tout prix maintenir l'emploi, et l'actuelle structure des coûts fixes, demander à BPI de s'intéresser au dossier et entrer dans le capital par prise de participation de 20%, demander à SIEMENS de doubler, ce qu'il refusera, forcer alors la main d'un autre actionnaire de référence, et à ce moment là, ce sera la fin du monde concurrentiel et le début d'une big société DIRIGEE en dehors du monde capitalistique, et de ce fait, on s'enfoncera encore davantage vers le néant.
En fait, ce qui me dérange le plus, c'est le silence appuyé et complice du manque de gestion, toute cette perte de temps et d'argent, et d'arrangement au plus haut niveau pour masquer une telle médiocrité, également avec la complicité des CAC, on ne décrète pas sur 1 seul exercice 3 milliards de dépréciations en tout genre, et on veut en plus, aujourd'hui, nous accabler davantage, en nous demandant d'épouser un plan fumeux, machiavélique, ruineux et parfaitement hasardeux sur les 3 ou 4 années à venir.
En grosse perte sur l'action comme vous tous, je tenais au moins à témoigner de mon écoeurement, comme l'ont fait 3 ou 4 actionnaires lors de la dernière AG, le 17.05, alors que les jeux étaient déjà faits, qu' RB devait être viré, et que ces mêmes personnes ce sont vues éconduites sur ces mêmes questionnements, et que le conseil s'est vu octroyer des votes de confiance à plus de 90% sur toutes les résolutions.
Le temps pressait déjà en juillet 2021, un an plus tard, on prend des mesures d'éloignement des problèmes, sur 4 exercices, au lieu de les régler.