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AIR LIQUIDE : air liquide et captage du CO2

23 juin 2009 10:38

http://www.greenunivers.com/2009/06/ifp-8238-8238/

L’Institut français du pétrole a signé un accord de coopération avec l’énergéticien italien Enel pour tester sa technologie de captage post-combustion première génération du CO2 sur la centrale thermique à charbon de Brindisi, dans le sud de l’Italie. C’est la première fois que l’institut de recherche français va déployer son procédé avec un industriel à un stade de pré-industrialisation.

De nombreux instituts de recherche et industriels se sont lancés dans la bataille des technologies de stockage et captage du CO2. Alstom vient ainsi tout juste de signer un accord avec le groupe norvégien StatoilHydro pour une expérimentation sur une centrale électrique au gaz à Mongstad, en Norvège. Et de nombreux autres fournisseurs d’énergie et industriels, comme Toshiba, investissent des sommes considérables dans ce domaine. Ces technologies sont encore extrêmement coûteuses, mais selon une étude du cabinet McKinsey, elles pourraient devenir viables sur le plan économique en 2030.

Enel est en train de construire un centre pilote de captage du CO2 de 2,25 tonnes/h pour traiter une partie du flux de Brindisi. Il doit entrer en fonction début 2010. Le procédé de l’IFP sera ainsi expérimenté in situ et comparé à d’autres technologies.

La technologie de captage du CO2 par solvant de l’IFP a déjà été testé au Danemark dans le cadre du projet européen Castor. Depuis, l’institut travaille à une réduction des coûts opérationnels et à une amélioration du procédé, notamment pour réduire la teneur en ammoniac des fumées.

L’IFP est par ailleurs partenaire du projet de Total pour l’unité de stockage du CO2 qui va être mise en service dans quelques jours à Lacq, dans les Pyrénées-Atlantiques, avec également le BRGM et Air Liquide.

1 réponse

  • 23 juin 2009 11:10

    C’est un sujet d’importance. Tout le monde y travaille. Deux techniques sont en expérimentation. La première utilise un solvant (à base d’ammoniaque) pour capter le CO2 (procédé post combustion) et la seconde remplace l’air dans pendant la combustion par de l’oxygène pur (procédé oxycombustion). Ces deux procédés sont en cours d’optimisation car économiquement la note est salée. Air Liquide est concernée dans les deux procédés pour liquéfier le CO2 capté car c’est sous cette forme qu’il est stocké dans le sous-sol. Cela pose aussi la question de la disponibilité des sites de stockage en quantité et qualité suffisante. Il faut par exemple éviter que le CO2 ne se transforme en acide par réaction chimique avec le réservoir. Il faut aussi être certain de la stabilité géologique de tels réservoirs. Curieusement cet enfouissement semble poser moins de problèmes aux Verts que l’enfouissement des déchets nucléaires.

    Enfin dans le deuxième procédé Air Liquide peut être concerné aussi par la production de l’oxygène (à condition que ce soit un procédé ne produisant pas de CO2 !).

    Bref c’est un sujet qui bouge. Alstom pour l’instant est sur le procédé N°1.

    Le potentiel est énorme. Pensez aux réserves de charbon et au parc de centrales à adapter ou plutôt remplacer.

    Mais ce n’est pas encore pour tout de suite sur le plan industriel et la concurrence est énorme !

    Un sujet à surveiller. Et d’autres procédés sont peut-être envisageables.


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