Pétrole et parapétrolier - page 90
Après avoir connu en 2020 leur pire chute depuis la première guerre du Golfe en 1991, les prix du pétrole sont repartis vigoureusement à la hausse en 2021, portés par une très forte croissance de la demande liée à la reprise économique et par la décision de l'Opep et de leurs alliés de maintenir inchangée leur politique de production. Début 2022, ce sont les tensions géopolitiques dans plusieurs pays venant interrompre la production d’or noir (en Angola, en Libye, au Nigeria, aux Emirats arabes unis) couplés à la forte demande qui poussent les prix à leur plus haut niveau depuis octobre 2014. Le Brent de la mer du Nord, référence internationale, s’échange désormais à 87 dollars après avoir grimpé à 88 dollars, tandis que le WTI se négocie au-dessus des 85 dollars. Dans un contexte de reprise couplé à l’absence d’investissements dans le secteur ces dernières années, de nombreux analystes s’attendent désormais à ce que les prix du pétrole dépassent les 90 dollars le baril, voire les 100 dollars. JP Morgan voit les cours du brut atteindre les 125 dollars en 2022, et même 150 dollars en 2023.
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PARIS, 1er juillet (Reuters) - Le Parlement devra être associé aux travaux relatifs à la réorganisation potentielle d'EDF EDF.PA qui aura notamment à préserver les missions de service public du groupe, selon les préconisations d'un rapport de l'Assemblée nationale publié mercredi
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Au fil des semaines, la liste des entreprises du SBF 120 obligées de s'adapter au contexte de crise sanitaire provoquée par la pandémie de Covid-19 s'est alllongée. Si certains groupes ont été contraints de répondre aux injonctions des régulateurs ou du gouvernement (notamment pour pouvoir recourir aux dispositifs d'aide), d'autres ont supprimé leurs dividendes au titre de l'année 2019 pour préserver leur trésorerie
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Paris le 24 juin 2020, Ecoslops est heureux d'annoncer la signature d'une seconde lettre d'intention pour un MiniP2R. Cet accord a été signé avec la société VALTECH ENERGY pour une unité dans le port de Kribi au Cameroun
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Le CAC 40 évolue sans direction claire pour cette première séance de la semaine… Il faut dire que l'augmentation du nombre de cas de Covid-19 dans le monde inquiète les investisseurs. Une deuxième vague pourrait en effet obliger les Etats à prendre de nouvelles mesures sanitaires ce qui entrainerait un ralentissement voire une nouvelle mise à l'arrêt de l'économie
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par Matthew Green et Simon Jessop LONDRES (Reuters) - Dans le cadre d'une campagne en faveur de la transition vers une économie décarbonée, un groupe d'investisseurs exhorte lundi les géants pétroliers à pleinement intégrer dans leurs comptes les risques environnementaux auxquels ils sont confrontés. Menée par plus de vingt fonds d'investissement et de pension détenant 1,8 milliard de livres sterling (1,99 milliard d'euros) d'actifs sous gestion, la campagne exhorte les entreprises à adopter des politiques environnementales responsables
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* Les géants pétroliers confrontés à leurs obligations comptables * BP, Shell et Total ouvrent la voie à une économie décarbonée * Mise en garde des investisseurs sur d'éventuelles surévaluations par Matthew Green et Simon Jessop LONDRES, 22 juin (Reuters) - Dans le cadre d'une campagne en faveur de la transition vers une économie décarbonée, un groupe d'investisseurs exhorte lundi les géants pétroliers à pleinement intégrer dans leurs comptes les risques environnementaux auxquels ils sont confrontés. Menée par plus de vingt fonds d'investissement et de pension détenant 1,8 milliard de livres sterling (1,99 milliard d'euros) d'actifs sous gestion, la campagne exhorte les entreprises à adopter des politiques environnementales responsables
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MOSCOU, 19 juin (Reuters) - Le président du fonds souverain russe, Kirill Dmitriev, ne voit pas d'intérêt à continuer de limiter au-delà de juillet la production mondiale de pétrole, alors que la demande se reprend progressivement après avoir brutalement chuté avec la crise du coronavirus, a-t-il dit au quotidien RBC Daily. Les déclarations de Kirill Dmitriev, qui est l'un des négociateurs principaux de Moscou dans les discussions sur le pétrole, montrent que la Russie ne souhaite pas prolonger en août l'accord de réduction de la production qui la lie actuellement avec l'Opep jusqu'à la fin juillet
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LONDRES (Reuters) - La demande de pétrole se remet lentement de la chute la plus forte de son histoire liée à la pandémie de coronavirus mais elle devrait être durablement pénalisée par la baisse du trafic aérien, prévient mardi l'Agence Internationale de l'Energie (AIE) qui ne prévoit pas de retour de la demande aux niveaux d'avant-crise avant 2022. "Nos premières prévisions pour 2021 montrent un bond de 5,7 millions de barils par jour (mbj) de la demande mondiale, pour atteindre 97,4 mbj, soit 2,4 mbj au-dessous du niveau de 2019", écrit l'AIE dans son rapport mensuel
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LONDRES, 16 juin (Reuters) - La demande de pétrole se remet lentement de la chute la plus forte de son histoire liée à la pandémie de coronavirus mais elle devrait être durablement pénalisée par la baisse du trafic aérien, prévient mardi l'Agence Internationale de l'Energie (AIE) qui ne prévoit pas de retour de la demande aux niveaux d'avant-crise avant 2022. "Nos premières prévisions pour 2021 montrent un bond de 5,7 millions de barils par jour (mbj) de la demande mondiale, pour atteindre 97,4 mbj, soit 2,4 mbj au-dessous du niveau de 2019", écrit l'AIE dans son rapport mensuel
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par Rania El Gamal, Alex Lawler et Vladimir Soldatkin DUBAI/LONDRES/MOSCOU, 8 juin (Reuters) - L'Arabie saoudite va augmenter sa production du brut au mois de juillet afin d'atteindre son quota fixé par l'Opep tout en mettant fin aux réductions volontaires supplémentaires face aux signes de reprise de la demande mondiale, a déclaré lundi le ministre saoudien de l'Energie, le prince Abdulaziz bin Salman. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole et d'autres grands producteurs emmenés par la Russie ont convenu samedi d'étendre d'un mois la réduction coordonnée de leur offre, prolongeant ainsi leur accord qui a permis au prix du brut de doubler sur les deux derniers mois en retirant du marché près de 10% de l'offre mondiale
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LONDRES (Reuters) - Le groupe pétrolier BP a annoncé lundi la suppression de 10.000 emplois, soit environ 15% de ses effectifs, en raison de la crise provoquée par la pandémie liée au nouveau coronavirus et de la volonté de son directeur général Bernard Looney de réorienter la "major" vers les énergies renouvelables
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LONDRES, 8 juin (Reuters) - Le groupe pétrolier BP BP.L a annoncé lundi la suppression de 10
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