((Traduction automatisée par Reuters à l'aide de l'apprentissage automatique et de l'IA générative, veuillez vous référer à l'avertissement suivant: https://bit.ly/rtrsauto))
(Ajout de détails et d'éléments de contexte)
Un syndicat représentant plus de 3.200 grévistes de Boeing a annoncé jeudi qu'il avait déposé une plainte pour pratique déloyale de travail contre l'avionneur américain auprès du National Labor Relations Board (Conseil national des relations de travail).
L'Association internationale des machinistes et des travailleurs de l'aérospatiale représente les membres qui assemblent des avions de combat et des munitions dans les usines de Boeing de la région de Saint-Louis.
Cette plainte marque une escalade dans les allers-retours entre les deux parties, qui n'ont pas réussi à trouver un accord pour mettre fin à une grève qui en est à son troisième mois.
Le syndicat a fait pression sur le fabricant d'avions pour obtenir un contrat similaire à celui qu'il avait conclu l'année dernière avec les travailleurs de la région de Seattle, qui prévoyait des cotisations plus élevées au régime de retraite.
Les travailleurs se sont mis en grève le 4 août, après avoir rejeté une deuxième offre de Boeing. Ils ont également rejeté une autre proposition qui prévoyait une augmentation générale des salaires de 24 % sur cinq ans et une prime de ratification de 4 000 dollars.
Les membres ont toutefois voté à 90 % en faveur d'une proposition de contrat de quatre ans présentée par le syndicat et que Boeing a refusé de prendre en considération.
"Boeing a rejeté sommairement de multiples propositions syndicales sans faire de contre-offres répondant aux préoccupations des membres, en violation flagrante de son obligation légale de négocier de bonne foi en vertu de la loi sur les relations de travail (National Labor Relations Act)", a déclaré le syndicat.
Boeing n'a pas répondu immédiatement à une demande de commentaire de Reuters.
La direction a déclaré que l'entreprise n'augmenterait pas son offre de manière significative, mais qu'elle développerait plutôt son projet de remplacer les grévistes par de nouvelles embauches jusqu'à la fin de l'année.
Cette décision a suscité des critiques de la part de certains sénateurs, notamment Ed Markey (Massachusetts) et Josh Hawley (Missouri), qui, avec Bernie Sanders, ont critiqué la position de Boeing dans les négociations lors d'une audition de la commission au début du mois.
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