VALLOUREC : DEUX articles INVESTIR de Ce Soir

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12 octobre 2007 •21:29

Les parapétrolières n’ont pas de souci à se faire
Le haut de cycle s’étire en longueur pour le plus grand bénéfice
des entreprises du secteur. L’Institut français du pétrole le confirme dans son étude annuelle.

Un ralentissement, mais pas de retournement. La tendance
reste bonne dans le secteur parapétrolier. Après une croissance
des investissements pétroliers dans le monde en exploration-production
de 20 % entre 2005 et 2006, la hausse devrait être de 13 % cette
année et se situer entre 10 % et 15 % en 2008, pour atteindre de
340 à 350 milliards de dollars. Cette bonne tendance s’explique au
premier chef par la bonne tenue des cours du pétrole. L’IFP estime
que ces derniers devraient progresser en 2007 au même rythme qu’en
2006 et que les cours du gaz, sans retrouver le pic de 2005, devraient
également grimper cette année. Quant à la baisse du dollar, elle
soutient la demande pour les investissements.
Explications :
le pouvoir d’achat, par exemple, au Moyen-Orient a stagné en dollars
au cours des deux dernières années, ce qui incite les pays de la
zone à investir davantage pour produire plus (l’Arabie saoudite se
donne comme objectif de porter sa production à 12,5 millions de barils
par jour en 2012 contre 9,2), ce qui est bon signe pour les services
pétroliers.
La flambée des coûts est à l’origine du ralentissement du rythme
de hausse des dépenses d’investissement.
Les compagnies pétrolières dont les coûts de développement
des projets ont augmenté de 80 % depuis 2005 lèvent le pied et
des retards de six à sept mois sont constatés un peu partout dans le
monde sur les développements de champs. Il existe des tensions sur
les équipements (il y a un manque d’appareils de forage) et aussi sur
les ressources humaines (par exemple, on ne trouve plus de soudeurs),
ce qui risque de faire encore monter les prix, estime l’IFP. Les
marchés de la sismique, des équipements offshore et du raffinage
sont très bien orientés à moyen terme, car la demande (Asie,
Moyen-Orient, Russie, etc.) dépasse encore largement l’offre. On
peut donc en conclure que le cycle haussier se prolonge pour les compagnies de services pétroliers, telles que CGG Veritas, Technip,
Bourbon ou Vallourec, dont nous venons de relever les estimations
de bénéfice pour cette année, ainsi que les objectifs de cours. La petite
société Heurtey Petrochem, spécialisée dans les fours pour
l’industrie du raffinage et de la pétrochimie, peut aussi figurer en
portefeuille, d’autant qu’elle pourrait susciter les convoitises d’une
plus grande compagnie, à l’instar d’Entrepose Contracting, rachetée
par Vinci. Sylvie Aubert ■

NOTRE CONSEIL
Nous restons à l’achat sur ces valeurs, avec un objectif de 260 €
pour CGG Veritas (code mnémo :GA), de 77 € sur Technip (TEC), de
55 € sur Bourbon (GBB) et de 250 € sur Vallourec (VK). Nous visons 29€
pour Heurtey Petrochem (ALHPC).

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12 octobre 2007 •21:53

Oui et dans son cas c'est tout bon et les prochains chiffres le souligneront !!!

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12 octobre 2007 •22:00

C'est, il faut tout de même le dire, la moins valorisée de son secteur et elle en a encore sous le pied !

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12 octobre 2007 •23:09

au delà de l'analyse du passé, je vois 2 facteurs interessants dans ces articles, et donc dans leur diffusion sur ce forum
1 - celui qui a prouvé qu'il était capable.........peut recommencer
2 - la citation des 9 autres sociétés, pau connues du boursicoteur moyen, à part satzigger peut-etre, sur ces 9 autres je suis partantes

suis-je la seule ?

qqun a -t-il des infos sur ces sociétés ?

the jazz lady

82554976

14 octobre 2007 •10:12

cité alors qu'il revendique la place de second fabricant mondial de tubes sans soudure ???