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TOTALENERGIES : Total reste star française des profits

14 févr. 2008 08:45

Total reste la star française des profits

F. M.
14/02/2008 |
figaro

La major a dégagé 12,2 milliards de bénéfices et annonce un accroissement de ses investissements.
Les années se suivent et se ressemblent pour TOTAL. À peine la compagnie française a-t-elle annoncé, hier, de nouveaux superprofits, qu'elle a été aussitôt la cible de l'UFC-Que choisir. L'association de consommateurs réclamant une «contribution citoyenne» de la part d'un groupe dont le résultat net ajusté a atteint 12,2 milliards d'euros en 2007. Soit le plus gros bénéfice enregistré par une entreprise française l'année dernière.

Cette performance, si notable soit-elle, ne constitue toutefois pas un record absolu pour Total. Par ailleurs, elle était relativement attendue, le groupe dirigé par Christophe de Margerie ayant, comme la totalité de ses grands concurrents, profité à plein de l'inflation du baril. Celui-ci, pendant le dernier trimestre 2007, n'a cessé de flirter avec la barre fatidique des 100 dollars, franchie finalement au tout début de cette année.

Cependant, les bénéfices de Total n'ont pas grimpé avec la même intensité que la courbe du baril. À cela une bonne raison : les pays producteurs prélèvent une quote-part de plus en plus importante sur les revenus des grandes compagnies. Au Venezuela par exemple, cela a conduit Total à réduire sa part dans le consortium qui exploite le champ de Sincor. Avec, en contrepartie, une indemnisation de 834 millions de dollars octroyée par Caracas la semaine dernière.

De même, les profits des pétroliers sont atténués par une croissance soutenue des investissements. Ils atteindront 19 milliards de dollars chez Total en 2008, contre 16 milliards en 2007. Cet effort est rendu quasiment obligatoire par l'augmentation des coûts dans l'amont. Explorer puis développer un champ revient en effet de plus en plus cher. Plus de 60 dollars par baril dans certains champs contre moins de 10 dollars en Arabie saoudite.

Perspectives prometteuses
Toujours pour 2008, Total annonce une hausse «significative» de sa production. Sachant qu'en 2007 le groupe français s'est distingué de toutes les autres majors, y compris le leader incontesté du secteur ExxonMobil, en affichant une production en hausse, à hauteur de 2,3 millions de barils par jour (Mbj). Tandis que certains champs sont «montés en puissance» comme celui de Dalia en Angola, d'autres «ont réussi leur démarrage», à l'instar de Dolphin au Moyen-Orient, a souligné Christophe de Margerie.

Toujours dans l'amont, l'année 2008 s'annonce prometteuse avec l'entrée en production attendue de Jura, en mer du Nord, qui affiche plus de 170 millions de barils équivalents de réserves prouvées et probables. Par ailleurs, Total attend de connaître le résultat des études menées sur le champ de Stockman, en mer de Barents, «pour décider d'investir avec Gazprom dans une première phase de développement qui pourrait produire près de 24 milliards de mètres cubes de gaz par an», expliquait Yves-Louis Darricarrère, directeur général exploration-production au Figaro (lire nos éditions du 29 janvier). Ce dossier sera tranché fin 2009. D'ici là, Total aura peut-être posé d'autres jalons dans le nucléaire, après le contrat passé avec Abu Dhabi, aux côtés de Suez et Areva. Un domaine dans lequel le groupe pétrolier «veut apprendre» avant, un jour peut-être, de devenir à son tour opérateur nucléaire.

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