Poxel a vu sa valeur chuter, suite au deal avec Orbimed, alors même que ce fond d'investissement a mis sur la table 50 millions de dollars, que les meilleurs cabinets d'avocats Parisiens, et New-Yorkais se sont emparés du dossier. Le timing n'est pas anodin : Orbimed a pris sa décision finale, très probablement après avoir acté l'efficience du médicament sur les diabétiques atteints d'insuffisance rénale. Ce marché est colossal, et n'a jusqu'à présent pas été pris en charge correctement par d'autres médicaments dédiés au diabète. Dans le même temps le CEO de POXEL, n'est pas un entrepreneur, mais un cadre de l'industrie pharmaceutique qui se retrouve a la tête d'un spin off. Sa culture n'est pas une culture de développement d'une société, de création de valeur pour ses actionnaires mais une culture de deal maker issu du monde de la pharma entouré en cela au sein du conseil d'administration de décideurs de premiers plans issus du monde de la pharma. Il n'ya jamais eu d'AK, de mobilisation des actionnaires autour d'un projet de développement de la société..Des deals toujours et encore des deals...avec des sociétés financières : ipf, iris et maintenant Orbimed. Cela a un moment ou la valeur unique de l'imeglemine pour les diabétiques atteints d'insuffisance rénal est validée par une étude financée par sumitomo. Il serait intéressant de pointer toutes les dépenses réalisées autour de ce médicament par Merck, Sumitomo, l'argent dépensé par Poxel et autres acteurs du secteur autour de cette molécule..Orbimed sort du bois peu de temps après la sortie de l'étude sur l'effet de l'imeglime sur les insuffisants rénaux atteints du diabète. Le besoin est énorme, le marché est colossal et dans le même temps des fiducies sont crées permettant un meilleure prise de contrôle hors champ..Au fil du temps, de fait, Poxel devient une coquille vide et pourrait devenir une épave boursière avec transfert progressif de ses actifs vers des fiducies ou autres montages juridique, financiers créatifs. Il est étonnant que d'un seul coup, un seul, les discussions entamées en Chine, ne sont plus des discussions avancées mais des discussions en cours...on verra tout cela au fil du temps, le temps que la créativité des uns et des autres participe a imaginer un schéma financier permettant aux acteurs financiers contrôlant le dossier de générer un maximum de valeur...au détriment des investisseurs longs termes de la société, des institutionnels qui se retrouvent dilués, lessivés. Une biotech, c'est une équipe, un chef d'entreprise qui a inventé un produit, qui y croit, qui s'engage et qui parfois ne se paye pas, la nous avons affaire a un ceo qui s'attribue des actions, se paye très correctement, car il vit encore dans l'univers des labo, entourés d'anciens dirigeants de labo américains qui le couve et qui participent des choix stratégiques. Poxel n'est pas une biotech, mais un spin off issu de merck serano....La supercherie sémantique et d'affichage est réelle, la lutte contre le diabète est une nécessité et nombre de PPS on cru en ce projet d'intérêt général présenté, le marché est également gigantesque. Après avoir constaté le transfert des actifs diabète de Merck serano dans Poxel, allons nous assister a un transfert de la totalité de la valeur des brevets de Poxel via des montages juridiques et financiers au détriment des PPS, des investisseurs institutionnels qui on cru en ce spin off, dirigé et crée par des durs du secteur pharmaceutique. Seul un ou plusieurs partenariats signés dans de brefs délais, dont la chine, peuvent créer un électrochoc et relancer poxel, ainsi que l'arrêt des financements dilutifs. Sinon, le temps passant, POXEL deviendra une épave boursière et une pépite pour les fonds d'investissements spéculatifs et autres financiers qui auront dealés avec le CEO de POXEL, ancien cadre dirigeant d'un des plus grand laboratoire pharma mondial.