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POXEL : GLP-1 dans Les Echos..

18 juil. 2024 17:04

" Wegovy : plus des trois quarts des obèses abandonnent le traitement avant deux ans


Les traitements anti- obésité de la famille des antidiabétiques GLP-1 font l'objet d'un engouement ; depuis cinq ans, 22 % des Américains obèses en ont pris. Mais selon l'étude d'un assureur-santé, une majorité lâche vite prise et regagne le poids perdu, probablement à cause des effets secondaires.

Salués comme le nouveau traitement anti-obésité miracle, les coupe-faim issus de la famille des antidiabétiques GLP-1 font l'objet d'un véritable engouement. Sur les cinq dernières années, un cinquième des Américains obèses en a pris pour perdre du poids. Et sur 41.000 d'entre eux, une récente étude comparative a mesuré, en un an, 15,3 % de perte de poids avec le Mounjaro de l'américain Eli Lilli et de 8,3 % avec l'Ozempic du danois Novo Nordisk. Mais moins de la moitié des patients continue le traitement au-delà d'un an et 85 % lâchent prise en moins de deux ans, selon le suivi d'un assureur américain…

L'étude de l'assureur Prime Therapeutics et de Magellan Rx Management a d'abord suivi un an des assurés prenant un coupe-faim de type GLP1, qu'il soit de l'ancienne génération injectable quotidiennement (le Victoza/Saxenda de Novo) ou la nouvelle injectable une fois par semaine (l'Ozempic/Wegovy de Novo). Un an après, seuls 32 % des patients continuaient le traitement. Deux tiers d'abandon, c'est beaucoup. Pis, « un an après l'arrêt du Wegovy, les gens ont regagné les deux tiers du poids qu'ils avaient perdu », notent l'étude.

C'est un vrai sujet de réflexion pour ceux, parmi les assureurs privés américains, qui prennent en charge le Wegovy malgré son coût - son prix officiel avant remise est d'un millier de dollars par mois outre-Atlantique -, dans l'espoir de réduire le coût élevé de toutes les pathologies liées à l'obésité.

Jusqu'à présent, on ignorait ce que devenaient les patients au-delà d'un an en vie réelle. C'était l'enjeu de l'étude parue le 10 juillet, qui a suivi 3.364 assurés obèses débutant leur traitement en 2021. Le changement de GLP-1 en cours de traitement était accepté (26 % des patients ont changé), par exemple pour passer à l'Ozempic/Wegovy à injection hebdomadaire. Les patients, d'un âge médian de 46,5 ans, étaient à 81 % des femmes. Tous médicaments anti-obésité GLP-1 confondus, seule une minorité a persisté dans le traitement. « Globalement, la persistance était de 47 % au bout de 180 jours, 28,9 % à un an et 14,8 % à deux ans », observe l'étude Prime/MRx.

La nouvelle génération à injection hebdomadaire est moins contraignante mais ça ne change guère la donne. Après deux ans, seuls 22 % des obèses sous Ozempic et 24 % de ceux sous Wegovy continuaient leur traitement (contre 7 % pour le Victoza et Saxenda).

« Les utilisateurs d'Ozempic et de Wegovy ont fait mieux […] mais seul 1 sur 4 prenait encore son traitement au bout de deux ans », remarque l'étude. Et tous médicaments confondus, seul 1 patient sur 7 persiste deux ans. « Ces résultats médiocres mettent en lumière le risque d'un gaspillage substantiel d'investissement dans les thérapies GLP-1 », conclut l'étude en estimant important, pour ne pas jeter l'argent par les fenêtres, d'obtenir des fabricants pharmaceutiques des contrats où le prix payé par l'assureur serait subordonné aux résultats atteints.

L'idée risque de faire son chemin, vu le coût de ces thérapies. En attendant, en Bourse la valeur de Novo et Lilly a explosé depuis deux ans tant les investisseurs voient de potentiel dans le marché émergent de l'obésité : jusqu'à une centaine de milliards de dollars de ventes annuelles en 2030, voire 130 milliards selon Goldman Sachs.

Le marché parie sur l'arrivée prochaine de coupe-faim oraux, plus aptes que les injectables à éviter les arrêts de traitement et la reprise du poids. Il est sur les starting-blocks. La preuve : Le suisse Roche, qui développe un coupe-faim GLP-1 oral quotidien, a annoncé qu'en phase 1 d'essai clinique sa formule orale permet 7,3 % de perte de poids en quatre semaines. Il n'en est qu'au début de son essai, mais à cette annonce, mercredi, le cours de Roche a gagné près de 6 %…

L'assureur n'analyse pas les causes du fort taux d'abandon. Mais c'est au moins en partie les effets secondaires, souvent pointés du doigt. Nausées, vomissements, diarrhées, etc., ils sont connus et concerneraient, estiment des médecins, 10 % des obèses français sous traitement. Sans parler de la fonte musculaire.

Un autre effet vient rallonger leur liste. La molécule semaglutide du Wegovy/Ozempic multiplierait par 7 le risque d'une forme rare de cécité (dite « Naion ») comparée à d'autres traitements, selon une étude américaine parue dans la revue « Jama Ophthalmology ». Mais le semaglutide étant connu depuis quinze ans et l'étude étant petite (710 diabétiques et 979 obèses), les médecins restent prudents.

« C'est une étude observationnelle, sur une population spécifique ayant consulté dans des centres d'ophtalmologie. Bien qu'elle suggère l'existence d'un nouveau risque rare mais grave, elle ne permet pas à elle seule d'établir un lien de causalité. Il faudra d'autres études, et de plus grande ampleur, pour confirmer ce risque », juge le pharmacologue Jean-Luc Faillie, expert des GLP-1. Pour lui, le rapport bénéfices-risques reste très positif pour les obèses. Mais pas pour perdre quelques kilos avant la plage.
Poxel semble posséder certains avantages concurrentiels dans ce domaine.. Son mode d'administration et des effets secondaires bien moindres.. Avec une perte sur la durée entre 5 et 10 % ça pourrait être top..

2 réponses

  • 18 juillet 2024 19:44

    effectivment on en reviendra du glp1 perte de masse musculaire ....y compris du muscle visage ( d'ou effet senoir acceleré )
    recidive de chirurgier lombaire...
    les patintes d'aujourdhui seront pour une bonne partie sous imeg ( apport coute tolerance efficacite )


  • 19 juillet 2024 08:45

    L IME sous tous ses avantages soit disant cachés et un cours d une faiblesse endémique …impossible avec ce que l on a bien voulu nous dire de comprendre …en plus un kuhn dont le charabia est digne du yéti voir de cromagnon …on a l impression que tout est bidon ….de la création de poxel à aujourd hui


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