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ORANGE : Droits de douane (suite)

30 juil. 2025 08:29

Les droits de douanes vont-ils retomber en pluie fine?

Une déclaration de la Maison-Blanche après l'accord sur les droits de douane sème le trouble sur la contribution des géants américains du streaming au financement des réseaux télécoms. Bruxelles reste évasif.

Dans un communiqué du 28 juillet, la Maison-Blanche affirme sans détour : « les Etats-Unis et l'Union européenne ont l'intention de s'attaquer aux obstacles injustifiés au commerce numérique. A cet égard, l'Union européenne confirme qu'elle n'adoptera ni ne maintiendra de redevances d'utilisation des réseaux. »

Autrement dit, l'UE aurait renoncé à imposer des « frais d'utilisation des réseaux », la fameuse « juste contribution » que les opérateurs télécoms européens réclament depuis des années aux géants américains du streaming et des réseaux sociaux, les Netflix et autres Disney, qui saturent leurs
infrastructures.

https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/droits-de-douan e-cet-imbroglio-entre-trump-et-lue-qui-inquiete-les-operateurs-telecoms-2

33 réponses

  • 30 juillet 2025 10:50

    C'est clair pour moi. Comme vont sauter le DSA (Digital Services Act) et le règlement en préparation sur l'IA (dont personne ne veut, y compris les Européens de l'IA). Si au moins ça permet d'avoir moins de réglementations en Europe, on aura au moins gagné ça, au détriment de la bureaucratie européenne.


  • 30 juillet 2025 12:24

    A mes yeux, les apparences sont trompeuses. Trump a besoin d'être flatté et est pris par le temps avec des élections. Alors on lui donne d'une main mais les européen ne sont pas si aveugles et faibles.

    Ces accords servent davantage des intérêts de posture politique dans l’immédiat (visibilité, relance diplomatique) que des engagements tangibles.

    L’UE semble accepter un accord incomplet légalement, mais garde ses marges de manœuvre sur les détails importants : numérique, télécoms, pharma, défense.

    Cela permet à Trump de revendiquer une victoire politique, tandis que Bruxelles gagne du temps pour préparer sa réponse interne (régulations numériques, contribution des plateformes au financement des réseaux, anti-coercion instrument, etc.)

    l’UE a joué la montre. Elle a consenti à un accord de principe pour éviter un choc commercial brutal, mais sans s’engager juridiquement sur les points sensibles. Cela permet à Trump de brandir une victoire diplomatique, tandis que Bruxelles garde la main sur les processus légaux internes pour ne pas être prise au dépourvu

    L’accord sur les terres rares entre les États‑Unis et l’Ukraine présente de nombreuses similitudes avec l’accord transatlantique ambigu sur les droits de douane et le numérique : une communication très volontaire vantant un succès diplomatique, mais des termes flous, avec une mise en œuvre repoussée dans le temps.

    Eviter une guerre commerciale immédiate en posant une déclaration publique, mais en réservant les engagements définitifs pour plus tard, notamment sur le numérique, les droits de douane ou les contributions des GAFA

    l’UE semble regarder au-delà de l'urgence politique imposée par Trump et ses échéances électorales. En acceptant un cadre superficiel pour l'instant, elle gagne du temps pour consolider sa position légale et stratégique, surtout sur les sujets numériques tout en évitant un conflit commercial direct dans l’immédiat.

    l’UE adopte clairement un style diplomatique plus proche de la méthode chinoise : progression derrière les coulisses, gestion de l’incertitude, et résistance vis-à-vis de l’affichage excessif, contrairement à la posture américaine de Trump.

    C’est un déploiement en sourdine, calibré pour laisser entendre un compromis tout en se réservant une marge de manœuvre maximale sur les termes finaux — surtout dans les domaines sensibles comme les télécoms, le numérique ou les droits douaniers.


  • 30 juillet 2025 14:02
    30 juillet 2025 12:24

    A mes yeux, les apparences sont trompeuses. Trump a besoin d'être flatté et est pris par le temps avec des élections. Alors on lui donne d'une main mais les européen ne sont pas si aveugles et faibles.

    Ces accords servent davantage des intérêts de posture politique dans l’immédiat (visibilité, relance diplomatique) que des engagements tangibles.

    L’UE semble accepter un accord incomplet légalement, mais garde ses marges de manœuvre sur les détails importants : numérique, télécoms, pharma, défense.

    Cela permet à Trump de revendiquer une victoire politique, tandis que Bruxelles gagne du temps pour préparer sa réponse interne (régulations numériques, contribution des plateformes au financement des réseaux, anti-coercion instrument, etc.)

    l’UE a joué la montre. Elle a consenti à un accord de principe pour éviter un choc commercial brutal, mais sans s’engager juridiquement sur les points sensibles. Cela permet à Trump de brandir une victoire diplomatique, tandis que Bruxelles garde la main sur les processus légaux internes pour ne pas être prise au dépourvu

    L’accord sur les terres rares entre les États‑Unis et l’Ukraine présente de nombreuses similitudes avec l’accord transatlantique ambigu sur les droits de douane et le numérique : une communication très volontaire vantant un succès diplomatique, mais des termes flous, avec une mise en œuvre repoussée dans le temps.

    Eviter une guerre commerciale immédiate en posant une déclaration publique, mais en réservant les engagements définitifs pour plus tard, notamment sur le numérique, les droits de douane ou les contributions des GAFA

    l’UE semble regarder au-delà de l'urgence politique imposée par Trump et ses échéances électorales. En acceptant un cadre superficiel pour l'instant, elle gagne du temps pour consolider sa position légale et stratégique, surtout sur les sujets numériques tout en évitant un conflit commercial direct dans l’immédiat.

    l’UE adopte clairement un style diplomatique plus proche de la méthode chinoise : progression derrière les coulisses, gestion de l’incertitude, et résistance vis-à-vis de l’affichage excessif, contrairement à la posture américaine de Trump.

    C’est un déploiement en sourdine, calibré pour laisser entendre un compromis tout en se réservant une marge de manœuvre maximale sur les termes finaux — surtout dans les domaines sensibles comme les télécoms, le numérique ou les droits douaniers.

    La plupart des pays européens sont assez contents du deal, à commencer par l'Allemagne, les Pays-Bas, l'Italie...
    Il n'y a pratiquement qu'en France que ça s'agitte. Le France n'est pas l'Europe.

    Quand tu vois le ralentissement en Allemagne sur les trois mois de droits de douane déjà écoulés, tu comprends qu'ils négocient.


  • 30 juillet 2025 16:00

    adnstep ce n’est pas vrai que seule la France s’agite : d’autres pays (comme l’Espagne ou les associations industrielles allemandes) expriment des réserves, mais de façon plus mesurée ou technique. Il est vrai que l’opinion majoritaire est que l’accord est le moindre mal face à la menace d’un conflit commercial majeur.

    les critiques les plus virulentes proviennent de Paris c'est vrai mais cela ne signifie pas qu’il n’y a aucune inquiétude ailleurs.

    C'est un vrai combat politique et il nous faut savoir quels européens nous voulons être. Il se dit que en l'état, le deal ne sera pas formalisé car trop flou. L'UE joue la montre là où Trump n'a pas le temps.


  • 30 juillet 2025 17:08
    30 juillet 2025 16:00

    adnstep ce n’est pas vrai que seule la France s’agite : d’autres pays (comme l’Espagne ou les associations industrielles allemandes) expriment des réserves, mais de façon plus mesurée ou technique. Il est vrai que l’opinion majoritaire est que l’accord est le moindre mal face à la menace d’un conflit commercial majeur.

    les critiques les plus virulentes proviennent de Paris c'est vrai mais cela ne signifie pas qu’il n’y a aucune inquiétude ailleurs.

    C'est un vrai combat politique et il nous faut savoir quels européens nous voulons être. Il se dit que en l'état, le deal ne sera pas formalisé car trop flou. L'UE joue la montre là où Trump n'a pas le temps.

    En quoi l'Europe joue-t-elle la montre ? Les taux étaient à 30% depuis 3 mois, faisant des dégâts considérables sur l'économie Allemande, ils sont vite aller signer les 15%.

    Mais, bon, le "cercle de la Raison" a toujours raison, hein...


  • 30 juillet 2025 17:35

    En quoi l'Europe joue-t-elle la montre ? Aucun accord n'est formellement signé, les menaces pour aout repoussées et les élections se rapproche voire son temps de mandature se réduit. Il nous faut ne pas confondre le déclaratoire de l'un et le dilatoire de l'autre. Qui dit qu'il va s’arrêter là? Qui dit que l'UE est sans défense? Je ne crois pas un instant que c'est terminé.


  • 30 juillet 2025 22:06

    Les Brésiliens viennent de se prendre 50% dans les dents. Ambiance samba...


  • 31 juillet 2025 08:06
    30 juillet 2025 22:06

    Les Brésiliens viennent de se prendre 50% dans les dents. Ambiance samba...

    Les US ne peuvent décider de tout. Le Canada est aussi menacé pour oser rejoindre une cohorte de plus de 140 nations. Les Chinois ont été très frontal, et rien n'est résolu. L'UE a fait du vent. Tout cela aura un prix.


  • 31 juillet 2025 09:55

    Les marchandises sud-coréennes seront soumises, à leur entrée aux Etats-Unis, à un droit de douane de 15 %, similaire au taux appliqué aux produits japonais et européens. Le président américain assure aussi que Séoul va « investir » 350 milliards de dollars aux Etats-Unis, dans un plan aussi confus que ceux évoqués avec Tokyo et Bruxelles.


  • 31 juillet 2025 09:57

    Comme à son habitude, Donald Trump a tenu à être le premier à annoncer triomphalement le pacte, sur son réseau Truth Social. « Nous avons convenu d'un tarif douanier de 15 % pour la Corée du Sud. Les Etats-Unis ne seront, eux, soumis à aucun tarif douanier », s'est félicité le président américain, qui omet de préciser que la plupart des marchandises américaines entrant en Corée du Sud n'étaient déjà plus soumises à aucun droit de douane, depuis la signature d'un accord de libre échange entre les deux nations.


  • 31 juillet 2025 09:58

    Si l'UE avait ce qui sert a se reproduire, elle commencerait par mettre 100% de droits de douanes sur les colis venant de Chine, et 50% sur les voitures (y compris les chinoises assemblées en Turquie). Mais les chinois ne daignent même pas se déplacer en Europe lors des rencontres bilatérales, c'est dire comment ils considèrent les Européens.


  • 31 juillet 2025 10:07
    30 juillet 2025 08:29

    Les droits de douanes vont-ils retomber en pluie fine?

    Une déclaration de la Maison-Blanche après l'accord sur les droits de douane sème le trouble sur la contribution des géants américains du streaming au financement des réseaux télécoms. Bruxelles reste évasif.

    Dans un communiqué du 28 juillet, la Maison-Blanche affirme sans détour : « les Etats-Unis et l'Union européenne ont l'intention de s'attaquer aux obstacles injustifiés au commerce numérique. A cet égard, l'Union européenne confirme qu'elle n'adoptera ni ne maintiendra de redevances d'utilisation des réseaux. »

    Autrement dit, l'UE aurait renoncé à imposer des « frais d'utilisation des réseaux », la fameuse « juste contribution » que les opérateurs télécoms européens réclament depuis des années aux géants américains du streaming et des réseaux sociaux, les Netflix et autres Disney, qui saturent leurs
    infrastructures.

    https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/droits-de-douan e-cet-imbroglio-entre-trump-et-lue-qui-inquiete-les-operateurs-telecoms-2

    Du coup, ça met les opérateurs européens en position de force pour réclamer des fusions : seuls des géants télécoms européens pourront résister aux gafam.


  • 31 juillet 2025 10:15

    Les européens se soumettent à acheter 750 milliards de petrole et de gaz à prix fort , alors que les russes nous les bradaient ... pompon pour les allemands
    J'ai pas tres bien compris non plus cette promesse d'investir 600 milliards chez eux ???


  • 31 juillet 2025 10:21
    31 juillet 2025 10:15

    Les européens se soumettent à acheter 750 milliards de petrole et de gaz à prix fort , alors que les russes nous les bradaient ... pompon pour les allemands
    J'ai pas tres bien compris non plus cette promesse d'investir 600 milliards chez eux ???

    "J'ai pas tres bien compris non plus cette promesse d'investir 600 milliards chez eux ???"

    Il y a les promesses et les faits:

    Après avoir hésité avec les Etats-Unis et le Canada, le groupe aéronautique français Safran annonce ce jeudi avoir choisi la région Auvergne-Rhône-Alpes pour sa future usine de freins carbone. Une fin heureuse d'une feuilleton de plus de cinq ans autour du plus important investissement industriel programmé par le motoriste depuis des décennies.


  • 31 juillet 2025 10:23

    oups.. Après avoir hésité entre les Etats-Unis et le Canada


  • 31 juillet 2025 10:25

    "Un accord, mais deux visions différentes, voire contradictoires… Le récent accord sur les tarifs douaniers entre l'Union européenne et les Etats-Unis offre un spectacle diplomatique digne des meilleures comédies de Shakespeare - chacun joue dans sa propre pièce, sur la même scène !" (Les Echos du 31-07-2025)


  • 31 juillet 2025 11:01
    31 juillet 2025 10:15

    Les européens se soumettent à acheter 750 milliards de petrole et de gaz à prix fort , alors que les russes nous les bradaient ... pompon pour les allemands
    J'ai pas tres bien compris non plus cette promesse d'investir 600 milliards chez eux ???

    Ça, c'est les variables d'ajustement pour permettre aux négociateurs européens d'annoncer des victoires. L'UE n'a aucune compétence sur les achats d'énergie, me semble-t-il, quand aux investissements, c'est l'affaire des entreprises. Et, oui, quand on élève des barrières douanières, ça favorise l'implantation d'usines sur place, si le marché est assez grand. Même si ce sont simplement des usines d'assemblage. Du coup, le flux d'investissements vers les USA, qui est déjà positif, pourrait se renforcer.


  • 31 juillet 2025 11:08

    Le flux annuel d'investissement des entreprises européennes vers les USA est de 100 milliards actuellement.


  • 31 juillet 2025 12:33
    31 juillet 2025 10:21

    "J'ai pas tres bien compris non plus cette promesse d'investir 600 milliards chez eux ???"

    Il y a les promesses et les faits:

    Après avoir hésité avec les Etats-Unis et le Canada, le groupe aéronautique français Safran annonce ce jeudi avoir choisi la région Auvergne-Rhône-Alpes pour sa future usine de freins carbone. Une fin heureuse d'une feuilleton de plus de cinq ans autour du plus important investissement industriel programmé par le motoriste depuis des décennies.

    Ça, ça tenait plus au bras de fer avec l'ancien patron d'EDF. L'État a tranché en faveur des entreprises, et donc il n'y a plus de raison d'aller chercher de l'énergie moins chère au Canada.


  • 31 juillet 2025 12:47

    adnstep

    Le cheminement de la construction de l'udine Safran a été plus long que ça. A l'origine Safran souhaitait s'installer à Rennes. La maire y était favorable mais pas la majorité écologique y était farouchement opposée et le projet n'a pu aboutir.


  • 31 juillet 2025 13:16
    31 juillet 2025 12:33

    Ça, ça tenait plus au bras de fer avec l'ancien patron d'EDF. L'État a tranché en faveur des entreprises, et donc il n'y a plus de raison d'aller chercher de l'énergie moins chère au Canada.

    une bonne nouvelle, on peut trouver des solutions, on n'est pas obligé de toujours baisser "la tête".


  • 31 juillet 2025 13:42

    Les médias qui mentent tout le temps nous disent que l'Europe a reçu un coup de poignard... Mais en réalité il faut lire entre les lignes. Le coup de poignard c'est pour le peuple américain qui va payer les surtaxes. Ça nous promet une belle inflation et une grosse baisse de la consommation. La bulle nasdasq Dow Jones risquer d'éclater pour le plus grand bonheur des HF. Et en plus dans le même temps ils feront monter après avoir ramassé le CAC depuis un an à la baisse... Du coup ils gagnent sur tous les tableaux en sortant les us et en revendant à la hausse l'Europe. Voilà pour qui bosse réellement Trump. Les citoyens américains sont les dindons de la farce.


  • 31 juillet 2025 18:29
    31 juillet 2025 13:16

    une bonne nouvelle, on peut trouver des solutions, on n'est pas obligé de toujours baisser "la tête".

    Encore faut-il avoir des centrales nucléaires et ne pas avoir cédé aux lobbies escrolos. Si on avait gardé Fessenheim, ça aurait été encore mieux.😉


  • 31 juillet 2025 20:22
    31 juillet 2025 12:47

    adnstep

    Le cheminement de la construction de l'udine Safran a été plus long que ça. A l'origine Safran souhaitait s'installer à Rennes. La maire y était favorable mais pas la majorité écologique y était farouchement opposée et le projet n'a pu aboutir.

    Il me semble que ce n'est pas la même usine. A Rennes, pièces de moteurs d'avions, l'autre c'est des freins carbones.


  • 31 juillet 2025 21:36

    adnstep

    En effet:

    Safran prévoyait de fabriquer des aubages de turbine pour ses programmes de motorisation majeurs à Rennes. Ces pièces sont destinées à des moteurs militaires, comme le M88 utilisé dans les avions Rafale, et à des moteurs civils, comme le LEAP de CFM International utilisé dans les avions de type Airbus A320neo et Boeing 737 MAX.

    Mille excused.
    Hino


  • 01 août 2025 00:30

    De toute façon, l'industrie aéronautique, c'est à peu près la seule qui nous reste, et où on damme le pion aux teutons. Qui essayent de tout faire depuis 30 ans pour nous piquer les usines et les emplois.😂😂. Gardez moi de mes amis, mes ennemis je m'en charge.


  • 01 août 2025 07:29

    adnstep

    Pas besoin des allemands dans ce cas précis. Si le projet d'implantation de Safran a échoué à Rennes, c'est bien à cause de considérations politico-idéologiques régionales franco-françaises.


  • 01 août 2025 08:02

    Aéronautique, défense, agroalimentaire, boissons, électricité et les biens de consommation haut de gamme., y a des atouts en France. la France a montré une bonne dynamique ces dernières années, notamment en termes de montants levés et de concentration sur les technologies d'avenir comme l'IA. On aime bien se dévaloriser. L'herbe est toujours plus verte ailleurs.


  • 01 août 2025 12:17

    https://www.ege.fr/infoguerre/2012/10/avec-un-allie-economique-comme-allemagne-n ous-avons-plus-besoin-ennemi


  • 01 août 2025 12:33
    01 août 2025 12:17

    https://www.ege.fr/infoguerre/2012/10/avec-un-allie-economique-comme-allemagne-n ous-avons-plus-besoin-ennemi

    2012!?

    Emmanuel Todd, en 2012, dénonçait la relance keynésienne inefficace en économie ouverte, l’euro comme piège mortel, et l’hégémonie allemande comme destructrice pour l’Europe. En 2025, son diagnostic sur les déséquilibres commerciaux et la nécessité d’un protectionnisme industriel s’est avéré pertinent.

    Cependant, il s’est trompé sur deux points majeurs :

    L’euro ne s’est pas effondré, mais a survécu grâce à une adaptation pragmatique (BCE plus interventionniste, projets industriels européens ciblés).

    L’Allemagne n’a pas eu de "plan" d’hégémonie : sa puissance industrielle a été fragilisée (Ukraine, énergie, dépendance asiatique).

    Le futur accord UE-USA de 2025 illustre justement cette évolution : au lieu d’une rupture brutale (comme Todd l’espérait), l’Europe cherche à reconstruire sa souveraineté économique via des partenariats souples et sectoriels.

    En somme : Todd avait raison sur les problèmes, mais tort sur les issues.


  • 01 août 2025 12:43

    "l’Europe cherche à reconstruire sa souveraineté économique via des partenariats souples et sectoriels."

    J'ai l'impression d'entendre les ministres de Macron 😂😂😂. Bien imité.


  • 01 août 2025 14:47
    01 août 2025 12:43

    "l’Europe cherche à reconstruire sa souveraineté économique via des partenariats souples et sectoriels."

    J'ai l'impression d'entendre les ministres de Macron 😂😂😂. Bien imité.

    Je comprends ton scepticisme.

    Néanmoins, l'UE a bien gagné du temps. Il a signé plusieurs décrets afin de taxer davantage les produits venus de plus de 90 etats.La brutalité est inouï. Les réactions sont violentes. Et encore, il revient à la charge. Il ordonne aux laboratoires de baisser le prix des médicaments et met l'Europe sous tension. C'est une vrai guerre. Seul, on se fera manger. On a pas le choix.


  • 01 août 2025 15:48

    L'Angleterre est seule et elle se fait moins manger. La France, seule, pourrait au moins jouer quelques atouts. Là, on va surtout jouer la partie de l'Allemagne.


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