ORANGE : Pourquoi cette baisse ?

M1874972

07 juillet 2025 •11:26

????

M1874972

07 juillet 2025 •11:27

Prise de bénéfices !

s.ii

07 juillet 2025 •11:50

Quelque chose à 10h42 mais je ne sais pas encore quoi.

razu

07 juillet 2025 •12:07

C'est Trump : il a dit qu'il ne mettait plus de Orange sur le visage

M3567833

07 juillet 2025 •12:09

Sans aucun doute quelqu’un voulant passer les fêtes du 14 juillet tranquille. Après tout, peut-être une bonne idée...

cmerulla

07 juillet 2025 •12:21

Même réaction avec Engie à 10h41

lmanz777

07 juillet 2025 •12:39

Trumpy a envoyé la big beautiful bill🤑

2p3rs

07 juillet 2025 •12:43

matlord comme il n'y a pas beaucoup d'acteurs sur le marché, certains tentent des coups :-) genre prise de benef avec Aller Retour ...

landro78

07 juillet 2025 •12:47

Vu le cac, c'est pas ce qui se passe au niveau économie mondiale qu'on trouve l'explication.
Il faut chercher autre chose sur la raison du décrochement de spécu sur orange.
Peut être côté SFR dont la stratégie se décante.

adnstep

07 juillet 2025 •12:58

C'est la faute à Bryan.

adnstep

07 juillet 2025 •12:58

Du coup, on va voir disparaître 52pat pendant quelques temps...

-Paul-

07 juillet 2025 •13:52

adnstep

07 juillet 2025 •12:58

C'est la faute à Bryan.

Bryan?


Zach Bryan?



Zach Bryan - Something In The Orange?

-Paul-

07 juillet 2025 •13:53

youtube.com/watch?v=lA8F9sIhGdg&ab_channel=ZachBryan

corsaire67

07 juillet 2025 •13:58

Pour moi c est lié aux négociations sur le partage de SFR et le retour a 3 opérateurs .Orange n étant pas a la manœuvre. Il y aurait une crainte qu un autre opérateur soit en leadership

corsaire67

07 juillet 2025 •14:05

Mais il y aurait un plan d économie dans l air donc elle devrait rebondir

FTYE007

07 juillet 2025 •14:11

MAGA=Make America Gangsters Again

Elias3131

07 juillet 2025 •14:23

Je pense que ça spécule pas mal en ce moment... d'où ces soubresauts....

Mais c'est ça la bourse non?

Faut avoir le cœur bien accroché!

Coucou-merevoilou

07 juillet 2025 •14:52

1°) l'absence de Paulo qui serait en vacance sans internet ni mobile.....
2°) j'espère que mon copié collé fonctionnera bien : source internet le journal de l'économie, je ne sais pas ce que ça vaut....

Le monde des télécoms en France bouillonne avec la possible disparition de SFR, un acteur majeur dirigé par Patrick Drahi. Face à une dette de presque 16 milliards d’euros, l’opérateur pourrait être découpé et vendu pour environ 23 milliards d’euros d’ici la fin de l’année. Ce montage, qui englobe la vente des réseaux, des boutiques et des services professionnels, pourrait bien redessiner le marché des télécoms français.

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Un secteur en pleine refonte
La disparition éventuelle de SFR se profile alors que le secteur des télécoms français est en plein changement. Les discussions sont suivies de près par les abonnés, les professionnels du domaine et les régulateurs. Free, Bouygues et Orange s’affrontent pour se partager les atouts de l’ancien SFR, illustrant leurs stratégies concurrentielles.

Free a clairement fait savoir qu’il voulait capter une part importante de la clientèle mobile de SFR, notamment grâce à son offre gratuite. Quant à Bouygues, il semble pressenti pour racheter l’infrastructure réseau, partageant déjà 15 000 antennes avec SFR via la co-entreprise Crozon. Ce montage pourrait lui coûter entre 200 et 300 millions d’euros en supplément. Orange, lui, reste en retrait pour ne pas enfreindre les règles de la concurrence, mais garde un œil sur la situation.

Ce que ça change pour les abonnés
Pour les approximativement 20 millions d’abonnés mobiles et les six millions d’internautes hors fibre qui utilisent SFR, la transition numérique risquerait d’être compliquée. Les contrats seront transférés vers un autre opérateur sans que les abonnés aient vraiment leur mot à dire, ce qui pourrait entraîner des frais de résiliation. Free et Bouygues se disputent cette manne, sachant que Free détient déjà 25 % du marché Internet contre 32 % pour Orange.

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La répartition des abonnés fibre se fera probablement sur des critères géographiques, ce qui ajoute sa petite dose de complexité. Les changements d’offres et de tarifs pourraient également toucher directement les utilisateurs.

Des enjeux financiers et humains
Au-delà des aspects technologiques, le démantèlement de SFR soulève à la fois des enjeux financiers et sociaux. L’opération concerne notamment 300 boutiques en direct, un nombre égal de franchisés, 2 000 salariés ainsi que des milliers d’emplois dans les centres d’appel d’Intelcia. Certains syndicats redoutent qu’il ne s’agisse en réalité d’un plan social déguisé.

SFR Business, qui rapporte plus de 400 millions d’euros de marge par an et qui pourrait atteindre une valeur de 3 milliards d’euros, pique également l’intérêt de Free, qui souhaite renforcer son offre pour les entreprises. Par ailleurs, Ardian, un fonds d’investissement, pourrait entrer en scène en rachetant l’infrastructure dans le but de simplifier les négociations.

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Une surveillance réglementaire stricte
L’Autorité de la concurrence veille à ce qu’aucun acteur ne dépasse une part de marché de 40 % sur un segment donné. Cette vigilance rend le dossier encore plus délicat pour Orange, Free et Bouygues.

Les discussions devraient se conclure avant la fin de l’année, avec une migration progressive des contrats une fois l’accord validé officiellement. Ce remaniement inattendu du secteur incite chacun – consommateurs comme professionnels – à rester attentifs aux communications officielles tout en gardant leurs contrats actuels.

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-Paul-

07 juillet 2025 •15:07

Coucou-merevoilou tu me réveilles dans ma sieste ! Il est naturel pour les 3 d'imaginer un démantèlement. Faut être préparé à toutes éventualités et avoir des plans. Quelques uns sont payés fort bien pour cela.

Cela reste l'hypothèse la moins probable. Il y a d'autres solutions que la découpe. Le mouvement du jour n'est pas lié à ces rumeurs qui datent déjà de plusieurs jours.

adnstep

07 juillet 2025 •17:41

Vente à la découpe ou vente aux influenceurs étrangers ? Macron n'est plus vraiment à la manœuvre, on ne sait pas trop ce qu'en pense Bayrou. A moins que MSVC (Mon Successeur Verra Ça).