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CAC 40 : « Israël est capital pour les États-Unis dans leur défense du monde libre »
« Israël est capital pour les États-Unis dans leur défense du monde libre »
À quelques jours de la reconnaissance de l’État de Palestine par la France à l’Onu, l’historien, grand spécialiste des États-Unis, revient sur la relation spéciale qu’entretiennent Israël et Les États-Unis. Ces derniers ont mis de nouveau leur veto au cessez-le-feu à Gaza. La guerre engagée par Israël contre le Hamas depuis l’attaque sanglante du mouvement islamiste le 7 octobre 2023 (1 200 morts) a tué au moins 64 222 personnes à Gaza, selon le ministère de la Santé de l’enclave. Quarante-sept otages seraient toujours détenus par le Hamas (dont vingt-cinq présumés morts). Toute résolution du conflit est dans l’impasse alors que l’État hébreu s’active pour redessiner la bande de Gaza et la Cisjordanie.
Alors qu’Israël a lancé, il y a quelques jours, son offensive terrestre sur Gaza ville dans le but d’exterminer le Hamas, une majorité de pays membres va probablement reconnaître l’État de Palestine aux Nations unies, lundi. Sauf les États-Unis, alliés et ami indéfectible des Israéliens. L’historien André Kaspi remonte aux racines de cette relation spéciale qui lie les deux pays. André Kaspi, historien, spécialiste des États-Unis, fondateur du Comité pour l’histoire du CNRS. Les États-Unis seront peut-être, lundi, le dernier pays à ne pas reconnaître l’État de Palestine au Conseil de sécurité des Nations unies. Pourquoi ne suivent-ils pas les autres pays ? La France a pris une initiative qui sera vraisemblablement suivie par le Royaume-Uni et d’autres. Les Nations unies vont se retrouver divisées entre ceux qui estiment urgent de reconnaître l’existence d’un État palestinien et les États-Unis qui pensent qu’il faut d’abord obtenir davantage de la diplomatie sur place, comme ce qu’a fait Donald Trump, en 2020, avec les accords d’Abraham qui ont permis à cinq États musulmans de reconnaître l’existence de l’État d’Israël. La position américaine est très dominante dans cette région du monde, influente auprès des Israéliens mais aussi auprès de beaucoup d’États arabes, à commencer par l’Arabie saoudite.
Les Américains se sont de nouveau opposés, jeudi, au cessez-le-feu à Gaza, où se tient une guerre terrible. Pourquoi s’entêtent-ils ? Au-delà de la volonté de rester influents dans cette région, les États-Unis pensent que les combats ne peuvent s’arrêter que si le Hamas, mouvement (1) hostile à Israël mais aussi aux États-Unis, reconnaît sa défaite, libère les derniers otages du 7 octobre 2023 et - ce qui est très important - cède la place à une autorité palestinienne qui soit bien plus forte que celle qui est actuellement incarnée par Mahmoud Abbas.
À quand remonte la relation spéciale entre les États-Unis et Israël ? Leurs liens très étroits n’ont pas toujours existé. Le président Truman a été le premier président à reconnaître l’existence de l’État d’Israël en 1948. Mais pendant très longtemps, le principal allié d’Israël était la France. Jusqu’à la rupture de 1967, quand le général de Gaulle a poussé la France à se tourner plutôt vers les pays arabes. Israël a alors trouvé un nouvel allié, bien plus puissant : les États-Unis, devenus depuis le principal appui des Israéliens, alliés mais aussi amis. Leurs liens sont aujourd’hui tellement étroits - politiques, militaires, économiques, culturels - qu’on peut dire qu’Israël est une sorte de représentant des USA au Moyen-Orient. Israël est donc très dépendant des États-Unis ? Pas totalement. Leur relation n’enlève rien à l’indépendance des Israéliens dont les décisions ne sont pas toujours en accord avec les États-Unis. Comme le bombardement qu’ils ont récemment mené au Qatar, pays ami des Américains. Entre cette superpuissance de 350 millions d’habitants et cet État hébreu minuscule de 10 millions d’habitants dont 2,5 millions d’Arabes, l’alliance est inégale mais utile à chacun. Ils ont les mêmes ennemis et considèrent qu’ils appartiennent exactement au même camp politique.
Pour les États-Unis, c’est aussi une stratégie économique ? D’un point de vue économique, ils ont tout intérêt à resserrer leurs liens avec les États arabes, notamment ceux qui produisent du pétrole. Mais aussi avec Israël qui dispose d’une technologie de pointe, de laboratoires de recherche, qui donnent une capacité d’action considérable à l’industrie américaine. N’y a-t-il pas des raisons plus profondes à leur relation spéciale ? Dans la reconnaissance immédiate de l’État d’Israël par les États-Unis s’est exprimée une sorte de remords de ne pas avoir fait plus pour sauver les juifs avant la 2e Guerre mondiale : l’Amérique avait alors une législation très stricte sur l’immigration et il était extrêmement difficile pour les juifs persécutés en Europe de s’y rendre. Mais c’était il y a longtemps. La Shoah reste en arrière-plan de la relation entre les deux pays mais n’en est plus l’élément décisif. Pour les Américains, l’existence de l’État d’Israël est capitale dans leur défense du monde libre : il se tient entre le bloc dominé par la Chine et la Russie et un bloc d’États plutôt du côté américain dans une région du monde très disputée. Les organisations juives américaines influencent-elles la politique américaine ? Les juifs ne sont que six millions aux États-Unis et la plupart d’entre eux ne votent pas ou votent démocrate, pas républicain [parti de Donald Trump]. Ceux qui contribuent à l’influence des juifs américains sont des organisations, comme l’American Jewish Committee, qui font systématiquement pression sur les responsables politiques. Mais la vraie force est celle des milieux protestants, et notamment des évangéliques qui pensent que l’existence d’Israël annonce des temps messianiques. Ils sont les porteurs de l’influence juive aux États-Unis sur les décideurs, et donc du soutien à Israël. Donald Trump y est très sensible car ils représentent une partie importante de son électorat. Un nombre croissant de juifs américains condamne la guerre à Gaza… Oui, notamment parmi les jeunes et les étudiants qui n’ont pas connu l’alliance étroite du XXe siècle et qui ont peut-être été sensibles à la protestation anti-israélienne dans les universités. Ces juifs américains critiquent la politique de Benyamin Netanyahou, le Premier ministre. Ils pensent qu’il va trop loin et qu’il faudrait donner la priorité à la libération des otages et non à l’écrasement du Hamas. Mais cela n’a guère d’influence sur Donald Trump puisqu’ils ne votent pas pour lui. L’administration américaine actuelle peut-elle changer de position envers Israël ? Elle exerce une influence sur le gouvernement israélien. Ce que veut Donald Trump avant tout, c’est la reddition du Hamas, l’arrêt des combats et après, la reconstruction de Gaza. Les Américains attendent des Palestiniens des changements indispensables à une paix solide : la disparition du Hamas, une nouvelle autorité palestinienne, une solution pour les Palestiniens… La reconnaissance de l’État de Palestine voulue par la France va-t-elle dans ce sens ? C’est une absurdité dont Emmanuel Macron est responsable. Il récompense le Hamas au moment où l’autorité palestinienne est corrompue, sans beaucoup de pouvoir. C’est une erreur gigantesque.
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35 réponses
- 20 septembre 2025 •12:48
André Kaspi : « Israël est capital pour les États-Unis dans leur défense du monde libre »
Article de Propos recueillis par Claire THÉVENOUX. •
Lien : https://urlr.me/n2sHty - 20 septembre 2025 •14:45
Donc c'est pour la liberté de peuple Gazavi qu'ils se donnent autant de mal jusqu'à liquidation des enfants ?
- 20 septembre 2025 •14:59
Ce sont les USA ET UK qui ont créé le monstre en 1947. Mauvais cadeau aux juifs et aux palestiniens.
- 20 septembre 2025 •16:04
"La reconnaissance de l’État de Palestine voulue par la France" : faux, ce n'est pas la France qui veut la reconnaissance, c'est Macron !
- 20 septembre 2025 •16:19
La défense du monde libre par la promotion du gêne ô cide ?
Ces extrémistes ont une vision très extrême de la défense ... - 20 septembre 2025 •17:0320 septembre 2025 •16:04
"La reconnaissance de l’État de Palestine voulue par la France" : faux, ce n'est pas la France qui veut la reconnaissance, c'est Macron !
trompes toi, 80% de français y pensent pareil et quand je dis français, je parle des français d'origine, pas ceux avec double nationalité
- 20 septembre 2025 •17:3220 septembre 2025 •16:04
"La reconnaissance de l’État de Palestine voulue par la France" : faux, ce n'est pas la France qui veut la reconnaissance, c'est Macron !
C'est vrai. En ajoutant que le président a changé d'avis. En première intention il avait annoncé qu'il allait reconnaître l'état palestinien une fois le hamas désarmé et les otages libérés, comme le souhaite une majorité de français Il a viré à 180 degrés . Le chauve a une lecture très déformée de la réalité
- 20 septembre 2025 •17:35
Reconnaître un état infiltré ou dirigé par un groupe armé ,meurtrier, extrémiste est erreur fondamentale
- 20 septembre 2025 •17:56
Le sondage le plus récent réalisé (BFMTV) révèle que 53% des Français approuvent ce choix.
- 20 septembre 2025 •19:01
Et quand je pense qu'il y a des personnes qui perturbent une course cycliste juste pour un gé no ci de, c'est honteux! Ca sert à quoi une télé si on peut même plus regarder les courses de vélo!
- 20 septembre 2025 •19:05
Simone Veil était pour la reconnaissance n'en déplaise à certains ! 😊
Faut être gonflé pour refuser aux autres ce qu'on exige pour soi ! - 20 septembre 2025 •19:0720 septembre 2025 •17:35
Reconnaître un état infiltré ou dirigé par un groupe armé ,meurtrier, extrémiste est erreur fondamentale
fallait le reconnaitre après l'assassinat de Begin alors au lieu de le laisser se faire assassiner par un terroriste israélien !
- 20 septembre 2025 •19:27
les états unis défenseur du monde libre ?
euh....., leur abandon de l'Afghanistan et leur guerre d'Irak ça a rendu le monde plus libre ? - 20 septembre 2025 •22:16
53% des français. Bah voyons, ça fait bien longtemps qu'on ne m'appele plus pour un sondage, je ne dois plus correspondre au panier représentatif,sans doute trop blanc, trop à droite, trop anti consensus. Y'avait qu'à, il fallait que, avec vos supputations rien n'est concret. 53% des "français" vont donc reconnaître un état dont les frontières ne sont pas reconnues, un état dont les institutions n'existent pas, un état sans constitution, un état dont tous les rouages sont infiltrés par une organisation terroriste et criminelle. En conclusion un état qui n'existe pas en qualité d'état
- 20 septembre 2025 •22:3620 septembre 2025 •17:35
Reconnaître un état infiltré ou dirigé par un groupe armé ,meurtrier, extrémiste est erreur fondamentale
Tu parles de la Russie...
Nous sommes d'accord. - 20 septembre 2025 •22:49
La France, les français n'ont pas les pieds sur terre. Trop d'idéologie au détriment de la réalité du terrain. La France fait confiance au Liban, infiltré par hzb, la France fait confiance à l'Iran au sujet de la non prolifération nucléaire, il ne reste plus qu'à faire confiance au hamas et la France aura faux 100% sur toute la ligne
- 21 septembre 2025 •09:0220 septembre 2025 •22:36
Tu parles de la Russie...
Nous sommes d'accord.y en a tellement 😱
Dès que t'es victime ou que tu te déclares comme telle, ça devrait te donner le droit de t'en prendre à l'ensemble de la communauté dont est issu le(s) coupables(s) !
Du même niveau que le prof qui punit la classe entière s'il ne trouve pas le coupable ni de délateur - 21 septembre 2025 •11:05
Oui monsieur Hyphnos.
on peut reconnaitre un état infiltré par des terroristes, et les cas sont nombreux
la France a bien fait la paix avec le FLN considéré à l'époque que groupe terroriste.
donc ne vient pas raconter des bêtises sur forum. - 21 septembre 2025 •11:12
je lis les post et j 'ai 1 grand 😃 : la démocratie règne !!! Ce qui serait intéressant c est de connaitre vos ages!!
en tout cas depuis 60 ans la diplomatie française donc celle de nos élites c est succès total:
On a remis khomeiny au pouvoir en Iran,
La gauche ne s'est pas offusquer pour les 2/3 millions de mort de Pol Pot (j 'ai pas souvenir de la droite)
On a foutu le B. en Libye
On a été bon pour Mandela, au moins c 'est toujours ça !!!
Bref je me demande qui aura raison dans 20 ans - 21 septembre 2025 •11:26
Hello Ataman
C'est bien Giscard qui a accueilli Khomeiny ? - 21 septembre 2025 •11:51
bonne lecture pour ceux qui ne connaissent pas certains d'étails sur l'hsitoire de Israel .
un petit cours d'histoire surtout pour Hyphnonnnnnns qui ne veut pas de la reconnaissance de l'état de Palestine avec la présence du Hamas
Avant la création de l’état Israel, certains groupes sionistes en Palestine ont mené des actions violentes contre les autorités britanniques, et ces actions ont été qualifiées de "terrorisme" par les Britanniques. Cela s'inscrit dans le contexte complexe de l'histoire de la région, durant la période du mandat britannique en Palestine (1917-1948).
Après la Première Guerre mondiale, le Royaume-Uni a obtenu le mandat de la Société des Nations pour administrer la région de la Palestine, qui faisait auparavant partie de l'Empire ottoman. Pendant cette période, le mouvement sioniste, qui prônait la création d'un foyer national juif en Palestine, a cherché à établir un État juif, ce qui a souvent mis les autorités britanniques dans une position difficile, car elles tentaient aussi de gérer les tensions avec la population arabe locale.
Dans ce contexte, plusieurs groupes militants juifs ont mené des attaques contre les Britanniques, notamment :
1.Le groupe Stern (ou Lehi) : Fondé en 1940 par Avraham Stern, ce groupe a mené des actions violentes contre les autorités britanniques, allant jusqu'à des assassinats de responsables britanniques. Le Lehi se considérait comme une organisation de résistance et non comme des terroristes, mais leurs méthodes étaient souvent qualifiées de terrorisme par les Britanniques.
2.L'Irgun (ou Etzel) : Ce groupe, dirigé par Menachem Begin, a également mené une série d'attentats contre des cibles britanniques. L'Irgun a notamment organisé l'attentat contre l'hôtel King David à Jérusalem en 1946, qui a tué 91 personnes, principalement des civils, et qui reste l'une des attaques les plus célèbres de cette période.
Ces actions étaient souvent motivées par l'opposition à la politique britannique, notamment les restrictions sur l'immigration juive en Palestine et l'attitude perçue comme favorable aux Arabes.
Cependant, ces attaques ont également été marquées par des violences envers des civils et des membres de l'administration britannique, ce qui a alimenté le débat sur l'utilisation du terme "terrorisme" pour décrire leurs actions.
Les Britanniques, de leur côté, ont mené une politique de répression violente, avec des arrestations massives et des exécutions, ce qui a exacerbé les tensions. Finalement, après la Seconde Guerre mondiale, la pression internationale et les violences internes ont poussé les Britanniques à abandonner leur mandat sur la Palestine en 1948, donnant ainsi lieu à la création de l'État d'Israël.
L'histoire est complexe, et la façon dont elle est interprétée peut varier selon le point de vue. Pour les partisans de l'indépendance juive, ces actions étaient une forme de lutte pour la liberté. Pour les Britanniques et certains observateurs externes, elles étaient des actes terroristes.
Les groupes militants juifs comme l'Irgun (Etzel) et le Lehi (Stern) ont mené plusieurs attaques violentes pendant la période du mandat britannique en Palestine, et certains de ces actes ont tué des civils innocents. Cependant, il est difficile d’établir un nombre exact de victimes innocentes, car les événements étaient souvent complexes et les objectifs des attaquants variaient. Voici quelques exemples notables d'attentats et leurs conséquences en termes de pertes humaines :
1. L'attentat de l'hôtel King David (1946)
•Date : 22 juillet 1946
•Groupe responsable : L'Irgun (Etzel)
•Description : L'Irgun a fait exploser une section de l'hôtel King David à Jérusalem, qui servait de quartier général aux autorités britanniques en Palestine. L'explosion a tué 91 personnes, dont des civils de diverses nationalités, des Britanniques, des Arabes, et des Juifs. Bien que l'Irgun ait averti les autorités britanniques avant l'attaque, l'explosion a quand même fait un grand nombre de victimes innocentes.
•Victimes : Environ 91 morts, dont une majorité de civils innocents, et plus de 40 blessés.
2. L'attentat de la gare de Lydda (1947)
•Date : 1947
•Groupe responsable : L'Irgun
•Description : L'Irgun a attaqué la gare de Lydda (actuellement Lod) pour perturber les transports des autorités britanniques et des Arabes. L'attaque a tué des civils innocents, bien que les détails exacts sur le nombre de victimes restent flous.
•Victimes : Bien que le nombre exact ne soit pas clair, il est estimé qu'une trentaine de civils ont été tués pendant cet incident.
3. L'attentat de la rue Jaffa à Tel Aviv (1947)
•Date : 1947
•Groupe responsable : Le Lehi (Stern)
•Description : Un autre attentat a eu lieu à Tel Aviv, où des membres du Lehi ont tué des civils et des soldats britanniques lors d'une attaque sur la rue Jaffa. Cette attaque visait à affaiblir l'autorité britannique, mais a fait des victimes parmi les innocents.
•Victimes : Plusieurs civils et soldats ont été tués, mais le nombre exact de victimes innocentes reste difficile à déterminer.
4. Les attaques sur les infrastructures britanniques
•Diverses dates : Entre 1945 et 1947
•Groupes responsables : L'Irgun et le Lehi
•Description : Des attaques ciblant des installations britanniques (routes, ponts, postes de police, etc.) ont souvent eu des répercussions sur les civils. Bien que l'objectif était généralement de déstabiliser le contrôle britannique, ces attaques ont parfois tué des innocents, que ce soit des Juifs, des Arabes ou des Britanniques.
•Victimes : Le nombre exact de civils tués varie, mais ces actions ont souvent causé des pertes collatérales parmi la population civile.
5. Le massacre de Deir Yassin (1948)
•Bien que cet incident ne concerne pas directement l'Irgun ou le Lehi dans le cadre de leurs luttes contre les Britanniques, il est un exemple marquant de violences pendant cette période. En avril 1948, des membres de l'Irgun et du Lehi ont participé à l'attaque du village arabe de Deir Yassin, tuant entre 100 et 250 civils arabes, y compris des femmes et des enfants. Ce massacre a eu un impact psychologique majeur sur les Arabes de Palestine et a contribué à l'exode massif de la population arabe.
Histoire est là..
Merci les sources Internet - 21 septembre 2025 •12:2921 septembre 2025 •11:26
Hello Ataman
C'est bien Giscard qui a accueilli Khomeiny ?😄 tout a fait!! c est pour ça que je te dis que je suis inquiet des décisions de nos élites depuis 50 ans!!
on pourrait même pousser plus loin!!!
En gros on est pas gouverner par des flèches depuis 1 bon moment!!!! - 21 septembre 2025 •12:33
en tout cas je nous souhaite que ce ne soit pas la frange islamique "dur" qui commande parce que on va pas rigoler,
et la gauche LGBT en premier ...
Je répète moi j 'ai acheter des valeurs Défense😄...
On va pas s 'ennuyé quand y vont tous demandé des Visas à
Donald - 21 septembre 2025 •14:0321 septembre 2025 •11:51
bonne lecture pour ceux qui ne connaissent pas certains d'étails sur l'hsitoire de Israel .
un petit cours d'histoire surtout pour Hyphnonnnnnns qui ne veut pas de la reconnaissance de l'état de Palestine avec la présence du Hamas
Avant la création de l’état Israel, certains groupes sionistes en Palestine ont mené des actions violentes contre les autorités britanniques, et ces actions ont été qualifiées de "terrorisme" par les Britanniques. Cela s'inscrit dans le contexte complexe de l'histoire de la région, durant la période du mandat britannique en Palestine (1917-1948).
Après la Première Guerre mondiale, le Royaume-Uni a obtenu le mandat de la Société des Nations pour administrer la région de la Palestine, qui faisait auparavant partie de l'Empire ottoman. Pendant cette période, le mouvement sioniste, qui prônait la création d'un foyer national juif en Palestine, a cherché à établir un État juif, ce qui a souvent mis les autorités britanniques dans une position difficile, car elles tentaient aussi de gérer les tensions avec la population arabe locale.
Dans ce contexte, plusieurs groupes militants juifs ont mené des attaques contre les Britanniques, notamment :
1.Le groupe Stern (ou Lehi) : Fondé en 1940 par Avraham Stern, ce groupe a mené des actions violentes contre les autorités britanniques, allant jusqu'à des assassinats de responsables britanniques. Le Lehi se considérait comme une organisation de résistance et non comme des terroristes, mais leurs méthodes étaient souvent qualifiées de terrorisme par les Britanniques.
2.L'Irgun (ou Etzel) : Ce groupe, dirigé par Menachem Begin, a également mené une série d'attentats contre des cibles britanniques. L'Irgun a notamment organisé l'attentat contre l'hôtel King David à Jérusalem en 1946, qui a tué 91 personnes, principalement des civils, et qui reste l'une des attaques les plus célèbres de cette période.
Ces actions étaient souvent motivées par l'opposition à la politique britannique, notamment les restrictions sur l'immigration juive en Palestine et l'attitude perçue comme favorable aux Arabes.
Cependant, ces attaques ont également été marquées par des violences envers des civils et des membres de l'administration britannique, ce qui a alimenté le débat sur l'utilisation du terme "terrorisme" pour décrire leurs actions.
Les Britanniques, de leur côté, ont mené une politique de répression violente, avec des arrestations massives et des exécutions, ce qui a exacerbé les tensions. Finalement, après la Seconde Guerre mondiale, la pression internationale et les violences internes ont poussé les Britanniques à abandonner leur mandat sur la Palestine en 1948, donnant ainsi lieu à la création de l'État d'Israël.
L'histoire est complexe, et la façon dont elle est interprétée peut varier selon le point de vue. Pour les partisans de l'indépendance juive, ces actions étaient une forme de lutte pour la liberté. Pour les Britanniques et certains observateurs externes, elles étaient des actes terroristes.
Les groupes militants juifs comme l'Irgun (Etzel) et le Lehi (Stern) ont mené plusieurs attaques violentes pendant la période du mandat britannique en Palestine, et certains de ces actes ont tué des civils innocents. Cependant, il est difficile d’établir un nombre exact de victimes innocentes, car les événements étaient souvent complexes et les objectifs des attaquants variaient. Voici quelques exemples notables d'attentats et leurs conséquences en termes de pertes humaines :
1. L'attentat de l'hôtel King David (1946)
•Date : 22 juillet 1946
•Groupe responsable : L'Irgun (Etzel)
•Description : L'Irgun a fait exploser une section de l'hôtel King David à Jérusalem, qui servait de quartier général aux autorités britanniques en Palestine. L'explosion a tué 91 personnes, dont des civils de diverses nationalités, des Britanniques, des Arabes, et des Juifs. Bien que l'Irgun ait averti les autorités britanniques avant l'attaque, l'explosion a quand même fait un grand nombre de victimes innocentes.
•Victimes : Environ 91 morts, dont une majorité de civils innocents, et plus de 40 blessés.
2. L'attentat de la gare de Lydda (1947)
•Date : 1947
•Groupe responsable : L'Irgun
•Description : L'Irgun a attaqué la gare de Lydda (actuellement Lod) pour perturber les transports des autorités britanniques et des Arabes. L'attaque a tué des civils innocents, bien que les détails exacts sur le nombre de victimes restent flous.
•Victimes : Bien que le nombre exact ne soit pas clair, il est estimé qu'une trentaine de civils ont été tués pendant cet incident.
3. L'attentat de la rue Jaffa à Tel Aviv (1947)
•Date : 1947
•Groupe responsable : Le Lehi (Stern)
•Description : Un autre attentat a eu lieu à Tel Aviv, où des membres du Lehi ont tué des civils et des soldats britanniques lors d'une attaque sur la rue Jaffa. Cette attaque visait à affaiblir l'autorité britannique, mais a fait des victimes parmi les innocents.
•Victimes : Plusieurs civils et soldats ont été tués, mais le nombre exact de victimes innocentes reste difficile à déterminer.
4. Les attaques sur les infrastructures britanniques
•Diverses dates : Entre 1945 et 1947
•Groupes responsables : L'Irgun et le Lehi
•Description : Des attaques ciblant des installations britanniques (routes, ponts, postes de police, etc.) ont souvent eu des répercussions sur les civils. Bien que l'objectif était généralement de déstabiliser le contrôle britannique, ces attaques ont parfois tué des innocents, que ce soit des Juifs, des Arabes ou des Britanniques.
•Victimes : Le nombre exact de civils tués varie, mais ces actions ont souvent causé des pertes collatérales parmi la population civile.
5. Le massacre de Deir Yassin (1948)
•Bien que cet incident ne concerne pas directement l'Irgun ou le Lehi dans le cadre de leurs luttes contre les Britanniques, il est un exemple marquant de violences pendant cette période. En avril 1948, des membres de l'Irgun et du Lehi ont participé à l'attaque du village arabe de Deir Yassin, tuant entre 100 et 250 civils arabes, y compris des femmes et des enfants. Ce massacre a eu un impact psychologique majeur sur les Arabes de Palestine et a contribué à l'exode massif de la population arabe.
Histoire est là..
Merci les sources InternetJ'ajouterais aussi que Hamas a était soutenu et subventionné par Israël après l'assassinat Yitzhak Rabin en 1995
- 21 septembre 2025 •15:57
Vous avez tous la mémoire courte.
A force d'écouter TIK TOK vous avez oublié les notions d'histoire géographie apprises au Lycée.
Réaliser les livres d'histoire. La reconnaissance de la Palestine à été proposée à la Palestine en 1948 par l'ONU, les Palestiniens n'ont pas voulu car ils s'estimaient lésés car une grande partie de leur territoire avait été anneexée par les projets des anglais.
Je trouve dommage qu'ils aient refusé à l'époque. Ça aurait évité tout ce massacre.
L'ONU n'intervient pas car la Palestine n'est pas un état aujourd'hui à cause de ça.
C'est ce que craignent les USA et Israël.
Si reconnaissance de l'état Palestine, alors l'ONU peut défendre la Palestine - 21 septembre 2025 •16:36
J'ai hâte que l'onu prenne la défense de l'Ukraine
- 21 septembre 2025 •16:36
Levons tous le bras droit, et disons "je le jure"
- 21 septembre 2025 •17:03
Message supprimé
Donc pour le président, le problème, c'est la négation d'Israël . Ce qui élargit la question aux états qui ne reconnaissent pas Israël .Il faudrait sans doute commencer par le début
- 21 septembre 2025 •17:07
Moi, à la différence de VOUS, je suis pour une solution globale, et ne pas traiter les problèmes 1 à 1 et dans le désordre.
Oui je suis pour la reconnaissance de la Palestine, sous conditions de la reconnaissance d' Israël par l'Iran simultanément, et sous la conditions d'un traité de paix signé par toutes les parties . Alors un grand OUI. Mais non à un bidouillage de façade ! - 21 septembre 2025 •18:0420 septembre 2025 •12:43
« Israël est capital pour les États-Unis dans leur défense du monde libre »
À quelques jours de la reconnaissance de l’État de Palestine par la France à l’Onu, l’historien, grand spécialiste des États-Unis, revient sur la relation spéciale qu’entretiennent Israël et Les États-Unis. Ces derniers ont mis de nouveau leur veto au cessez-le-feu à Gaza. La guerre engagée par Israël contre le Hamas depuis l’attaque sanglante du mouvement islamiste le 7 octobre 2023 (1 200 morts) a tué au moins 64 222 personnes à Gaza, selon le ministère de la Santé de l’enclave. Quarante-sept otages seraient toujours détenus par le Hamas (dont vingt-cinq présumés morts). Toute résolution du conflit est dans l’impasse alors que l’État hébreu s’active pour redessiner la bande de Gaza et la Cisjordanie.
Alors qu’Israël a lancé, il y a quelques jours, son offensive terrestre sur Gaza ville dans le but d’exterminer le Hamas, une majorité de pays membres va probablement reconnaître l’État de Palestine aux Nations unies, lundi. Sauf les États-Unis, alliés et ami indéfectible des Israéliens. L’historien André Kaspi remonte aux racines de cette relation spéciale qui lie les deux pays. André Kaspi, historien, spécialiste des États-Unis, fondateur du Comité pour l’histoire du CNRS. Les États-Unis seront peut-être, lundi, le dernier pays à ne pas reconnaître l’État de Palestine au Conseil de sécurité des Nations unies. Pourquoi ne suivent-ils pas les autres pays ? La France a pris une initiative qui sera vraisemblablement suivie par le Royaume-Uni et d’autres. Les Nations unies vont se retrouver divisées entre ceux qui estiment urgent de reconnaître l’existence d’un État palestinien et les États-Unis qui pensent qu’il faut d’abord obtenir davantage de la diplomatie sur place, comme ce qu’a fait Donald Trump, en 2020, avec les accords d’Abraham qui ont permis à cinq États musulmans de reconnaître l’existence de l’État d’Israël. La position américaine est très dominante dans cette région du monde, influente auprès des Israéliens mais aussi auprès de beaucoup d’États arabes, à commencer par l’Arabie saoudite.
Les Américains se sont de nouveau opposés, jeudi, au cessez-le-feu à Gaza, où se tient une guerre terrible. Pourquoi s’entêtent-ils ? Au-delà de la volonté de rester influents dans cette région, les États-Unis pensent que les combats ne peuvent s’arrêter que si le Hamas, mouvement (1) hostile à Israël mais aussi aux États-Unis, reconnaît sa défaite, libère les derniers otages du 7 octobre 2023 et - ce qui est très important - cède la place à une autorité palestinienne qui soit bien plus forte que celle qui est actuellement incarnée par Mahmoud Abbas.
À quand remonte la relation spéciale entre les États-Unis et Israël ? Leurs liens très étroits n’ont pas toujours existé. Le président Truman a été le premier président à reconnaître l’existence de l’État d’Israël en 1948. Mais pendant très longtemps, le principal allié d’Israël était la France. Jusqu’à la rupture de 1967, quand le général de Gaulle a poussé la France à se tourner plutôt vers les pays arabes. Israël a alors trouvé un nouvel allié, bien plus puissant : les États-Unis, devenus depuis le principal appui des Israéliens, alliés mais aussi amis. Leurs liens sont aujourd’hui tellement étroits - politiques, militaires, économiques, culturels - qu’on peut dire qu’Israël est une sorte de représentant des USA au Moyen-Orient. Israël est donc très dépendant des États-Unis ? Pas totalement. Leur relation n’enlève rien à l’indépendance des Israéliens dont les décisions ne sont pas toujours en accord avec les États-Unis. Comme le bombardement qu’ils ont récemment mené au Qatar, pays ami des Américains. Entre cette superpuissance de 350 millions d’habitants et cet État hébreu minuscule de 10 millions d’habitants dont 2,5 millions d’Arabes, l’alliance est inégale mais utile à chacun. Ils ont les mêmes ennemis et considèrent qu’ils appartiennent exactement au même camp politique.
Pour les États-Unis, c’est aussi une stratégie économique ? D’un point de vue économique, ils ont tout intérêt à resserrer leurs liens avec les États arabes, notamment ceux qui produisent du pétrole. Mais aussi avec Israël qui dispose d’une technologie de pointe, de laboratoires de recherche, qui donnent une capacité d’action considérable à l’industrie américaine. N’y a-t-il pas des raisons plus profondes à leur relation spéciale ? Dans la reconnaissance immédiate de l’État d’Israël par les États-Unis s’est exprimée une sorte de remords de ne pas avoir fait plus pour sauver les juifs avant la 2e Guerre mondiale : l’Amérique avait alors une législation très stricte sur l’immigration et il était extrêmement difficile pour les juifs persécutés en Europe de s’y rendre. Mais c’était il y a longtemps. La Shoah reste en arrière-plan de la relation entre les deux pays mais n’en est plus l’élément décisif. Pour les Américains, l’existence de l’État d’Israël est capitale dans leur défense du monde libre : il se tient entre le bloc dominé par la Chine et la Russie et un bloc d’États plutôt du côté américain dans une région du monde très disputée. Les organisations juives américaines influencent-elles la politique américaine ? Les juifs ne sont que six millions aux États-Unis et la plupart d’entre eux ne votent pas ou votent démocrate, pas républicain [parti de Donald Trump]. Ceux qui contribuent à l’influence des juifs américains sont des organisations, comme l’American Jewish Committee, qui font systématiquement pression sur les responsables politiques. Mais la vraie force est celle des milieux protestants, et notamment des évangéliques qui pensent que l’existence d’Israël annonce des temps messianiques. Ils sont les porteurs de l’influence juive aux États-Unis sur les décideurs, et donc du soutien à Israël. Donald Trump y est très sensible car ils représentent une partie importante de son électorat. Un nombre croissant de juifs américains condamne la guerre à Gaza… Oui, notamment parmi les jeunes et les étudiants qui n’ont pas connu l’alliance étroite du XXe siècle et qui ont peut-être été sensibles à la protestation anti-israélienne dans les universités. Ces juifs américains critiquent la politique de Benyamin Netanyahou, le Premier ministre. Ils pensent qu’il va trop loin et qu’il faudrait donner la priorité à la libération des otages et non à l’écrasement du Hamas. Mais cela n’a guère d’influence sur Donald Trump puisqu’ils ne votent pas pour lui. L’administration américaine actuelle peut-elle changer de position envers Israël ? Elle exerce une influence sur le gouvernement israélien. Ce que veut Donald Trump avant tout, c’est la reddition du Hamas, l’arrêt des combats et après, la reconstruction de Gaza. Les Américains attendent des Palestiniens des changements indispensables à une paix solide : la disparition du Hamas, une nouvelle autorité palestinienne, une solution pour les Palestiniens… La reconnaissance de l’État de Palestine voulue par la France va-t-elle dans ce sens ? C’est une absurdité dont Emmanuel Macron est responsable. Il récompense le Hamas au moment où l’autorité palestinienne est corrompue, sans beaucoup de pouvoir. C’est une erreur gigantesque.Je ne savais pas que Poutine faisait partie du monde libre…
- 21 septembre 2025 •22:0921 septembre 2025 •15:57
Vous avez tous la mémoire courte.
A force d'écouter TIK TOK vous avez oublié les notions d'histoire géographie apprises au Lycée.
Réaliser les livres d'histoire. La reconnaissance de la Palestine à été proposée à la Palestine en 1948 par l'ONU, les Palestiniens n'ont pas voulu car ils s'estimaient lésés car une grande partie de leur territoire avait été anneexée par les projets des anglais.
Je trouve dommage qu'ils aient refusé à l'époque. Ça aurait évité tout ce massacre.
L'ONU n'intervient pas car la Palestine n'est pas un état aujourd'hui à cause de ça.
C'est ce que craignent les USA et Israël.
Si reconnaissance de l'état Palestine, alors l'ONU peut défendre la PalestineComme je n'ai pas été à l'école en occident, est-ce que tu peux nous trouver un article sur le sujet. Surtout l'article de ONU avec la géographie proposée à l'époque.
Merci - 21 septembre 2025 •23:1720 septembre 2025 •19:01
Et quand je pense qu'il y a des personnes qui perturbent une course cycliste juste pour un gé no ci de, c'est honteux! Ca sert à quoi une télé si on peut même plus regarder les courses de vélo!
Vision simpliste et cynique des choses.
- 21 septembre 2025 •23:31
Quel courage de censurer pour hors sujet un post qui est au cœur du sujet. Très courageux… de loin et anonymement…
- 22 septembre 2025 •08:4220 septembre 2025 •19:01
Et quand je pense qu'il y a des personnes qui perturbent une course cycliste juste pour un gé no ci de, c'est honteux! Ca sert à quoi une télé si on peut même plus regarder les courses de vélo!
Il y en a un (zo zo) qui a pris mon message au 1er degré!
- 22 septembre 2025 •08:5421 septembre 2025 •18:04
Je ne savais pas que Poutine faisait partie du monde libre…
Hors de la sphère politique, les russes ont + de libertés qu'en France !
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