2:
-Les autres sous les 5%? Monsieur Salle confirme leur présence donc: Quid des BSA de ceux qui ont vendu à Barclays ses titres, des fonds très actifs pour le plan de sauvegarde et PRF, impossible qu’ils aient vendu à perte au moment du 6/18 Décembre sans intention de se refaire, j’ai nommé Boussard et Gavaudan.
S’ils sont confirmés toujours présents sous les 5%, dixit monsieur Salle, nous pouvons supposer que BG possèdent autant de BSA que DE Shaw, soit un possible BG avec 4,9% et capable de les dépasser s’il exerce ses BSA.
Ils est donc possible que 56% du capital sur les 86,5% du PRF soient en fait connu de tous.
-Les non participant (PRU 660€) ont vendu presque tous leurs titres depuis le 13 Mai? Possession connue: 9,9% (après vente de la BCE qui possédait 3,6% du capital)
Monsieur Salle parle des fonds de dette, pouvons-nous supposer que certaines banques ont vendu aux non-participants et EPEI? CA par exemple? CA ayant fort à faire pour soutenir WDL dans sa restructuration, pourrait avoir cédé hors marché ses titres à sa rivale BeNuts ou à EPEI. Cela expliquerait certaines infos dépassées de certains informés par BeNuts du temps de la bataille des repreneurs. Sauf que c’est une information d’une phase ancienne, pas actualisée. Sans oublier que One Point avait encore une part substantielle du capital au moment de sa dernière déclaration, cette part déclarée aurait été vendue à son rival, qui aurait souscrit à l’AK DPS? Auquel cas, sur les 8% de flottant, EPEI aurait souscrit en partie aux DPS et le reste était entre les mains quelques PP, et aurait pu monter à 4,9% du capital à prix cassé sous les radars suite au 6 Décembre? Celui-ci pourrait se retirer actuellement puisque sa participation en lissé était inférieure au cours actuel. Partant donc avec presque 15%, avec les manigances que l’on connaît de ce camps, ils pourraient y avoir eu des ventes entendues à prix d’ami (la période des 20€) au point que cette partie atteigne presque les 20%? Toutefois, cela a clairement un coût pour les banques non participantes, seul le repreneur se retire sans pertes, le reste finit en slip.
Je pose ces questions car les BSA deviennent un outil très précieux: la capacité de créer un flottant (car finalement, les 8% ressemblent à une illusion dans ma description, et donc il y aurait au moins la moitié à créer) et par la même occasion, diluer ce camps s’ils cherchent pas le recovery mais uniquement la commandite en rachetant des participants peu motivés à rester au capital, et donc des rachats à des banques comme CA pour empêcher la bonne exécution du plan Genesis.
Cela expliquerait l’existence de ces BSA et surtout pourquoi la moitié a été exécuté, car ces fonds sont gavés de cash, la triple culbute leur suffisant donc n’avaient aucune raison d’en réclamer et ni aucune raison de les exercer avant fin 2026 si ce n’est pour contre-carrer à moindre frais certaines intentions. En effet, en exerçant leurs BSA, les participants peuvent restaurer du flottant au bénéfice d’Atos et surtout diluer la position de ceux qui louvoient en face. Et surtout, rien ne confirme que les BSA ont été vidés sur un marché au risque d’être capté par le camps d’en face. Je m’explique après à ce sujet.
Donc au total, un flottant maintenu à 10% grâce à monsieur Salle, le CA, les PP souscripteurs aux fonds propres et les BSA.
Des participants toujours présents autour de 70%
Et des non-participants qui voulaient la découpe et la cession des actifs à prix cassé autour des 20%, n’ayant jamais réussi à s’approprier les 10% manquants, car d’un côté les PP DPS n’ont pas vendu malgré la désinformation, de l’autre la part créée par les BSA a été sécurisée chez par Atos pour l’incentive des salariés.
20% sur 19 millions de titres, cela amène à 3,8 millions de titres, pile dans la fourchette entre 3,5 et 4 millions évoqué par ailleurs.
25 Juin, achat net au fix, 3,5 millions d’échanges depuis le 13 Mai sur Euronext, sans compter les autres plateformes.