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Retour au sujet ATOS

ATOS : Article ATOS Philippe Salle

06 juin 2025 19:30

Philippe Salle : « Atos reviendra au Cac 40 »

19 réponses

  • 06 juin 2025 19:32

    Bonjour M. Salle, avez-vous hésité lorsque vous avez été contacté par le conseil d'administration d'Atos ? Même pour l'homme de défis que vous êtes, la mission s'annonce ardue…

    Non, je n'ai pas hésité. C'est peut-être le défi le plus compliqué de ma carrière effectivement, mais il n'y a jamais eu d'hésitation. Cela faisait sept ans que j'étais du côté d'Emeria/Foncia et j'y avais réalisé tout ce que je pensais pouvoir faire. Et puis, je pense que de toute façon, le pouvoir au sein d'une entreprise use donc il faut savoir passer le relais.

    Comment avez-vous trouvé les équipes à votre arrivée ? Fatiguées, on imagine, après trois ans d'incertitudes et de craintes quant à l'avenir de la société ?

    Elles étaient à la fois inquiètes et sonnées, car il est vrai que la société a pris un coup, Atos a perdu deux milliards d'euros de revenus en deux ans, mais les équipes étaient soulagées, car la restructuration financière était terminée depuis décembre. Une des forces rapidement identifiées est qu'elles sont très attachées à l'entreprise et que les salariés sont restés fidèles, en particulier le « top 3.000 » sur lequel le taux de turnover est resté très limité, autour de 6 %.

    Atos a connu de nombreux patrons ces dernières années. Comptez-vous vous installer dans la durée contrairement à vos prédécesseurs ?

    Absolument. Rester sept ou huit ans comme chez Emeria, faire deux mandats de quatre ans, me semble bien. Ensuite, je n'aurai plus l'âge pour être PDG, il faudra que quelqu'un de plus jeune prenne la relève. Nous pourrons recruter un nouveau PDG ou je pourrai en former un en interne, là où il y a des candidats potentiels. Mais ce sera le sujet de mon deuxième mandat.

    D'ici là, vous avez une mission : redresser la barre. Comment allez-vous vous y prendre ?

    La société sera redressée bien avant la fin de mon premier mandat, certainement d'ici la fin de l'année prochaine.

    Cela passera par le plan stratégique baptisé « Genesis », prévoyant un chiffre d'affaires compris entre 9 et 10 milliards d'euros à horizon 2028, assorti d'une marge opérationnelle d'environ 10 %. Ces objectifs semblent réalistes, même si vous partez de loin sur la rentabilité (marge opérationnelle de 2,1 % en 2024). Quels leviers avez-vous identifiés pour y parvenir ?

    Les leviers à activer sont à la fois simples et nombreux. Cela passera par une amélioration de l'efficacité de nos coûts directs et indirects. Sur le premier point, l'objectif principal sera d'augmenter le taux d'activité de nos ingénieurs, le billability rate. L'objectif sera de porter notre taux de facturation à 85 %, alors que nous sommes aujourd'hui aux alentours de 77 % ou 78 %. Trois points de pourcentage rapportent environ un point de marge donc cela nous rapportera environ trois points de marge. Ensuite, nous allons travailler sur les coûts indirects, à savoir les fonctions support. Nous allons réduire nos effectifs d'environ 1.000 personnes pour gagner encore un point de marge. Puis le move to offshore et le move to agentic soit la délocalisation et le recours à des agents d'IA rapportera également entre un et deux points. Nous cherchons également à réduire nos frais non personnels à hauteur d'une centaine de millions d'euros, donc encore un point se balade ici. Et, enfin, la croissance de nos activités nous rapportera également quelques points.

    Vous avez également abandonné le projet de scission et opté pour une large réorganisation opérationnelle. Pouvez-vous détailler celle-ci ?

    Nous avons décidé de conserver deux marques, Atos et Eviden, car le monde des services et celui du logiciel sont très différents. Ce ne sont ni les mêmes façons de travailler ni les mêmes forces commerciales. Il y aura six lignes de métiers au sein d'Atos (Cloud & infrastructure, Services de cybersécurité, Données et IA, Applications digitales, Plateformes intelligentes et Environnement de travail numérique). Nous opérerons à partir de six pôles régionaux. De son côté, Eviden sera organisé autour de trois lignes de produits : Cybersécurité, Systèmes critiques et Vision par ordinateur basée sur l'IA, puisque nous allons céder l'activité de supercalculateurs à l'Etat (pour 300 millions d'euros, auxquels s'ajoutent 110 millions de compléments de prix).

    S'agit-il de la dernière cession ?

    En termes d'activités, oui, c'est la dernière. Mais nous allons céder quelques pays. Aujourd'hui, nous sommes actifs dans 80 pays, ce n'est pas raisonnable. Dans beaucoup d'entre eux, nous ne gagnerons pas le combat, nous ne serons jamais dans une position de leader, donc cela n'a pas de sens de rester.

    Les acquisitions seront donc ciblées sur certaines zones géographiques ?

    Oui, nous aimerions dépenser aux alentours d'un milliard d'euros dans des acquisitions ciblées, qui ajouteront entre 500 millions et un milliard de chiffre d'affaires à horizon 2028. Nous allons concentrer nos efforts sur certains pays européens et sur les Etats-Unis.

    Comment va se traduire la réorganisation des effectifs ?

    L'objectif est d'atteindre 60.000 salariés l'an prochain (contre 74.000 fin mars). L'activité Supercalculateurs représente 2.500 personnes. La fermeture de certains pays concernera environ 7.000 salariés supplémentaires. Il y aura également des plans de départ ainsi que des mises à la retraite. Nous avons également entre 14 % et 15 % de turnover chaque année donc nous jouerons là-dessus pour ajuster nos effectifs, en recrutant un peu moins que le nombre de départs.

    L'IA est également au coeur de votre plan stratégique…

    Oui, tous nos salariés seront formés à l'IA d'ici l'année prochaine, et nous porterons cette ligne de métier de 2.000 à 10.000 collaborateurs à horizon 2028. L'idée principale est de capitaliser sur notre expertise en la matière pour proposer à nos clients des offres à plus forte valeur ajoutée. Nous en sommes toutefois encore à un stade précoce, le marché n'est pas encore mature. Nous avons un peu de retard à l'allumage sur le move to agentic (MTA), [soit le recours à des agents d'IA autonomes] mais nous allons pouvoir jouer cette partie car le jeu n'a pas vraiment commencé. Le MTA va faire bouger les lignes sur pas mal de métiers dans les prochaines années, et notre rôle sera de conseiller nos clients sur la meilleure manière de l'implémenter.

    Un autre sujet brûlant, pour Atos, concerne l'évolution du cours de Bourse. Comment comptez-vous regagner la confiance de vos actionnaires, et plus largement du marché ?

    La vérité est qu'effectivement, beaucoup de nos actionnaires ont été ruinés ces dernières années. Sur les marchés, la confiance et la réputation se perdent en deux temps trois mouvements mais se regagnent étape par étape. Il faut que les actionnaires me fassent confiance et regardent ce que nous allons faire trimestre après trimestre. Il ne faut pas avoir les yeux rivés sur le cours, qui ne fera que transcrire les actions que nous allons mettre en oeuvre via Genesis ces prochaines années. Mais théoriquement, Atos devrait avoir une capitalisation boursière largement supérieure à celle d'aujourd'hui. Personnellement, je pense qu'Atos reviendra au sein du Cac 40, cela prendra un peu de temps mais c'est faisable.

    Un point sur la structure capitalistique. L'actionnariat est actuellement très éclaté post-restructuration financière, est-ce un problème selon vous ?

    L'actionnariat est effectivement éclaté, nous avons deux actionnaires à 9 %, un fonds américain (D.E Shaw) et un britannique (Melqart) puis plusieurs fonds de dette aux alentours de 5 %. Ce sont des investisseurs de court terme qui sortiront rapidement du capital, sans doute d'ici la fin de l'année prochaine. Mais je ne sais pas si nous avons besoin d'un actionnaire de référence sachant que l'Etat a toujours sa golden share (liée au prêt de 50 millions d'euros accordé l'année dernière), lui permettant de nous forcer à céder certaines activités stratégiques si un actionnaire dépasse 10 % du capital.

    Vous avez personnellement participé à la dernière augmentation de capital à hauteur de 9 millions d'euros, mais comptez-vous également associer les dirigeants et les autres salariés au capital ?

    Oui, les cadres dirigeants vont être incentivés [motivés], tout comme une partie des commerciaux. J'avais négocié avec les actionnaires un plan, voté en janvier, permettant d'allouer 10 % du capital aux salariés et dirigeants de la société. Ce plan d'actionnariat, via une distribution d'actions gratuites, est uniquement lié à l'évolution du cours de Bourse. Pour toucher 100 % de ces actions, il faut que le cours soit multiplié par quatre sur les quatre prochaines années. En dessous de deux fois, nous ne toucherons rien.


  • 06 juin 2025 19:39

    La question qui dérange
    Avez-vous perdu la confiance de vos clients ?

    Pas tellement, non. Atos dispose d'une base très forte de clients, c'est d'ailleurs la deuxième grande force que j'ai identifiée en arrivant (au-delà de la fidélité des équipes). Je me suis rendu compte que nos clients veulent un Atos fort car ils ont besoin d'avoir un contrepoids face aux géants technologiques américains, d'autant que le sujet de la souveraineté revient sur le devant de la scène en Europe. Je constate toutefois une amélioration de la relation avec nos clients depuis que nous avons bouclé notre restructuration financière et disposons de davantage de visibilité. Concrètement, nous avons de nouveau le droit de chasser, ce que nous ne pouvions plus faire sur certains comptes l'année dernière ou alors sur des contrats à 12 mois, pas au-delà. Ce n'est plus le cas aujourd'hui. Maintenant, ce qu'il faut, c'est gagner des contrats, donc que les équipes commerciales fassent leur travail.


  • 06 juin 2025 20:31
    06 juin 2025 19:39

    La question qui dérange
    Avez-vous perdu la confiance de vos clients ?

    Pas tellement, non. Atos dispose d'une base très forte de clients, c'est d'ailleurs la deuxième grande force que j'ai identifiée en arrivant (au-delà de la fidélité des équipes). Je me suis rendu compte que nos clients veulent un Atos fort car ils ont besoin d'avoir un contrepoids face aux géants technologiques américains, d'autant que le sujet de la souveraineté revient sur le devant de la scène en Europe. Je constate toutefois une amélioration de la relation avec nos clients depuis que nous avons bouclé notre restructuration financière et disposons de davantage de visibilité. Concrètement, nous avons de nouveau le droit de chasser, ce que nous ne pouvions plus faire sur certains comptes l'année dernière ou alors sur des contrats à 12 mois, pas au-delà. Ce n'est plus le cas aujourd'hui. Maintenant, ce qu'il faut, c'est gagner des contrats, donc que les équipes commerciales fassent leur travail.

    J'ai envie de dire la confiance reviendra, une boîte c'est comme un être humain, ça n'ait ça vie,ça as des haut et des bas et ça meurt ,je pense que l'on est dans les bas et que ça va revivre,aujourd'hui réunion à la boîte filiale de vinci en 2009 3 millions de chiffres d'affaires aujourd'hui 11 millions on as été récompensé pour le chantier Notre-Dame ont à tous reçu une médaille pour l'excellence françaises le savoir faire


  • 06 juin 2025 21:02

    Merci BRAVO22 👍👍👍


  • 06 juin 2025 21:35

    Merci BRAVO22 ,

    Grâce à vous, monsieur Salle annonce par voie de presse que Melqart a presque 10%, comme DE Shaw (ne pas leurs BSA).

    Donc 2 fonds anglo-saxons ont 20% du capital. Sans parler des autres qui ne sont pas sortis et ceux à 5% que le PdG confirment TOUJOURS là.

    Donc toujours un capital toujours sous contrôle, à voir quand ils vendront mais pas sous les 132€.

    We are the 10


  • 06 juin 2025 21:44
    06 juin 2025 19:39

    La question qui dérange
    Avez-vous perdu la confiance de vos clients ?

    Pas tellement, non. Atos dispose d'une base très forte de clients, c'est d'ailleurs la deuxième grande force que j'ai identifiée en arrivant (au-delà de la fidélité des équipes). Je me suis rendu compte que nos clients veulent un Atos fort car ils ont besoin d'avoir un contrepoids face aux géants technologiques américains, d'autant que le sujet de la souveraineté revient sur le devant de la scène en Europe. Je constate toutefois une amélioration de la relation avec nos clients depuis que nous avons bouclé notre restructuration financière et disposons de davantage de visibilité. Concrètement, nous avons de nouveau le droit de chasser, ce que nous ne pouvions plus faire sur certains comptes l'année dernière ou alors sur des contrats à 12 mois, pas au-delà. Ce n'est plus le cas aujourd'hui. Maintenant, ce qu'il faut, c'est gagner des contrats, donc que les équipes commerciales fassent leur travail.

    Énorme débriefing à faire BRAVO22 . Le détail du plan, des points de marge rapidement identifiés, des perspectives longues, des délais courts plus optimistes qu’au CMD, un capital avec les participants présents qui lâcheront pas avant la fin de l’année (et donc un titre à 132€ mini à ce moment), l’abandon des prétentions des non-participants, des recentrages et notamment perspectives anglo-saxonnes à forte marges, des blocages qui se lèvent, etc…

    Un interview qui éclaire énormément de nos questions et donne un calendrier des prochaines envolées.


  • 06 juin 2025 23:41
    06 juin 2025 21:35

    Merci BRAVO22 ,

    Grâce à vous, monsieur Salle annonce par voie de presse que Melqart a presque 10%, comme DE Shaw (ne pas leurs BSA).

    Donc 2 fonds anglo-saxons ont 20% du capital. Sans parler des autres qui ne sont pas sortis et ceux à 5% que le PdG confirment TOUJOURS là.

    Donc toujours un capital toujours sous contrôle, à voir quand ils vendront mais pas sous les 132€.

    We are the 10

    Pourquoi pas en dessert de 132 € ?
    Il vient d'où ce chiffre ?
    Merci de vos éclaircissements


  • 07:54

    Merci pour cet article.
    Il manque une question concernant la gestion de la dette.


  • 08:15

    Et bien permettez moi de ne pas partager cet optimisme.. encore un dirigeant qui déclare "faut vendre plus" (je cite : Sur le premier point, l'objectif principal sera d'augmenter le taux d'activité de nos ingénieurs, le billability rate. L'objectif sera de porter notre taux de facturation à 85 %) ben voyons.... le précédent PDG n'y avait certainement pas pensé et puis... pourquoi pas 90 % tant qu'on y est. "Paper does not refuse ink" disent les Anglais... en gros j'appelle cela un voeux pieu , un souhait ou un rêve ...m'enfin ... pourquoi diantre les ingénieurs ne facturent - ils pas plus aujourd'hui ? trop chèr ? service commercial défaillant ? P.S. donne une partie de la réponse en coupant les branches déficitaires il va bien sur arrêter l'hémorragie. Mais rien ne dit que son plan sera couronné de succès. Quid des frais de restructuration, quid de la perte associée de CA (en se retirant de certains pays) qui diminuera l'assiette d'amortissement des frais fixes et autres management fees..
    Bref , un discours en demi - teinte qui donne bien des pistes certes, mais qui ne traite qu'à moitié les vrais problèmes - la compétitivité de la boîte et surtout les marchés futurs ciblés ainsi que les moyens mis en oeuvre pour les conquérir.
    Pour ma part c'est niet - ma ligne est faible (dieu merci - PRU 40 ) et le restera et dès que je repasse en P.V., je vendrai


  • 08:51

    Ce qui va plaire à la bourse :
    les suppressions de poste massives.

    Ce que la bourse va encore attendre :
    6 lignes d'activité, ce n'est pas lisible ;
    on ne perçoit pas immédiatement les synergies.
    La bourse préfère les 'pure players" et ce qui s'en rapproche.

    Egalement noté une présentation très proche de celle de Teleperformance au sujet de l'IA :
    retard à l'allumage mais ce n'est pas dramatique parce qu'il ne faut pas aller trop vite
    et qu'il sera long de trouver et valoriser de réels avantages apportés par l'IA dans le métier historique.
    Voir, en ce sens, le retournement sémantique de Klarna.


  • 08:52

    "dès que je repasse en P.V., je vendrai"
    à vérifier comme tactique de négociation boursière :
    si on repasse en PV, c'est que le cours montera ;
    pourquoi devrait-il juste arrêter de monter au niveau d'un PRU individuel ?


  • 08:53

    Les liens vers les informations originales
    sont de très bonnes choses.


  • 09:25
    08:51

    Ce qui va plaire à la bourse :
    les suppressions de poste massives.

    Ce que la bourse va encore attendre :
    6 lignes d'activité, ce n'est pas lisible ;
    on ne perçoit pas immédiatement les synergies.
    La bourse préfère les 'pure players" et ce qui s'en rapproche.

    Egalement noté une présentation très proche de celle de Teleperformance au sujet de l'IA :
    retard à l'allumage mais ce n'est pas dramatique parce qu'il ne faut pas aller trop vite
    et qu'il sera long de trouver et valoriser de réels avantages apportés par l'IA dans le métier historique.
    Voir, en ce sens, le retournement sémantique de Klarna.

    Il a parlé de suppression de postes mais pas massives.


  • 10:48

    14000 suppression de postes immédiatement

    Puis non remplacement des futurs retraités


  • 11:02

    Entre 300M et 500M€ d’économies d’ici 2 ans rien que sur la charge salariale, je trouve cela massif et sans vouloir parler à leur place, les salariés concernés ne me contrediront pas.


  • 11:06
    06 juin 2025 23:41

    Pourquoi pas en dessert de 132 € ?
    Il vient d'où ce chiffre ?
    Merci de vos éclaircissements

    Ce chiffre vient:
    -des créanciers qui ont dit par voie de presse vouloir faire x3/4 AK
    -les objectifs du PdG qui ne touchera rien s’il ne suit pas une courbe de performance très précise
    -les incentives que nous venons de découvrir dans l’interview
    -le prix de conversion de la dette des participants. L’énorme part de leur dette a été convertie à ce prix et ils n’ont rien vendu, donc ils en attendent ce prix d’ici fin 2026 (interview monsieur Salle)

    AG interessante en perspective


  • 13:03
    11:02

    Entre 300M et 500M€ d’économies d’ici 2 ans rien que sur la charge salariale, je trouve cela massif et sans vouloir parler à leur place, les salariés concernés ne me contrediront pas.

    Et je ne compte même pas les charges patronales… aux vues de la région d’implantation, nous pourrions frôler le Milliard d’économies sur cet actif et le désengagement de certaines régions que je ne serai pas surpris. Qui plus est, uniquement sur cet actif à la marge pas exceptionnelle, si des contrats déficitaires venant de l’Etat étaient dans le lot, je n’arrive même plus à calculer.


  • 14:51

    Très bon !
    Merci 🙏🙏👍


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