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Retour au sujet ATOS

ATOS : Atos pour les nouveaux !

09 avr. 2025 10:32

Action Atos : Forces et faiblesses
Le positionnement d’Atos
La société travaille toujours sur des missions d’envergure. Le CIO lui a confié par exemple la gestion de la cybersécurité des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.

Le secteur des solutions informatiques reste par ailleurs porteur, bien que de nombreux acteurs tentent de s’y faire une place. À titre d’exemple, PAC prévoit une croissance annuelle de 10 % du marché européen de la cybersécurité, à moyen terme. [5]

Les supercalculateurs, l’autre division prometteuse d’Atos, est en phase de cession à l’État français. Ainsi, le champ d’action du groupe est en cours de reconstruction. Il devra réussir à s’appuyer sur un nombre restreint d’activités pour retrouver une meilleure profitabilité.

La stratégie de développement d’Atos
Le groupe a achevé sa restructuration financière en fin d’année 2024. Philippe Salle doit désormais présenter ses nouvelles orientations stratégiques en mai 2025, pour tenter d’inverser la spirale négative dans laquelle la société est engagée.

Début mars, l’entreprise annonce son projet de regrouper ses actions à hauteur de 10 000 pour 1. Ce mécanisme a pour objectif de rendre son titre plus attractif, après la dilution subie à l’occasion de l’entrée des créanciers au capital. [6]

Investir dans l’action Atos : les risques
Le géant technologique français fait face à un endettement financier élevé. Sa pérennité dépendra grandement de sa capacité à faire face à ses échéances dans les années à venir.

La conversion de dettes en capital organisée par le plan de restructuration financière, a entraîné une dilution massive pour les anciens actionnaires. L’action Atos est devenue une « penny stock », avec une valorisation inférieure à un centime d’euro qui l’expose à une volatilité extrême.

Pour redresser la barre, Atos devra améliorer son taux de marge opérationnelle. Il n’est plus que de 2,1 % en 2024, en baisse de 2,3 points sur un an. À titre de comparaison, cet indicateur s’élevait à 9 % en 2020.

La firme doit enfin maintenir une capacité d’innovation suffisante pour ne pas prendre de retard sur ses concurrents. En effet, les différents marchés technologiques sur lesquels elle est implantée évoluent rapidement.

5 réponses

  • 09 avril 2025 10:33

    https://www.cafedelabourse.com/analyse-action/volatilite-action-atos-en-bourse


  • 09 avril 2025 10:39

    Événements récents analysés par Kepler
    6 mars 2025, 15:38

    Kepler Cheuvreux
    Les revenus continuent de se détériorer chaque trimestre. Une énorme consommation de liquidités au cours des dernières années et des problématiques au niveau du bilan. Des coûts de financement élevés. Faible qualité de l'entreprise.

    06/03/2025 : Publication 2024 décente.
    Atos a publié ses résultats 2024 ce mercredi (5/03). Malgré les pertes de contrats, la performance du groupe a été décente. Les ventes ont baissé de 11.5% sur un an au 4T24, mais les marges et les FCF sont ressortis au-dessus des attentes, grâce à des mesures de réduction des coûts drastiques, avec d'importantes restructurations (EUR 400 m encore prévues pour 2025). En dépit de la baisse des ventes, le DG estime que les pertes de contrats ne se détérioreront pas davantage, comme en témoigne le ratio Prises de commandes/CA qui est supérieur à 1x (1.17x). Pour 2025, le management n'a pas donné d'objectif, mais les résiliations de contrats devraient avoir un impact négatif sur la croissance des ventes (-5% E des ventes en organique), sans pour autant affecter la rentabilité. La Mop devrait en effet continuer de rebondir, de 2.1% en 2024 à 3.5% en 2025E et 4.5% en 2026E. Le principal objectif de Atos sera de revenir à des FCF positifs à partir de 2026, après les programmes de restructurations coûteux de 2024-25. Nous tablons encore sur une consommation de cash de EUR 400 m en 2025E. Au global, nous visons une dette nette de EUR 1.7 md fin 2025E, mais ce niveau pourrait être réduit en dessous des EUR 1 md en cas de cessions d'actifs (activité HPC ?). Cette année sera donc encore difficile et il faudra des efforts conséquents du management pour remettre Atos sur les rails. Pour rendre le titre plus attractif compte tenu de sa valorisation actuelle, les marges devront revenir à un niveau similaire à celui de ses pairs (autour de 7-8%). Enfin, Atos prévoit un regroupement d'actions qui devrait être effectif début mai, juste avant la tenue de son CMD du 14/05 pour la présentation de son plan stratégique


  • 09 avril 2025 10:44

    Le géant français des services numériques, qui vient d’achever la restructuration de sa dette, estime être bien positionné pour retrouver de l’allant. Son nouveau patron, Philippe Salle, dresse un bilan auprès du Figaro de ses cinq premiers mois à la tête du groupe.
    Par Lucas Mediavilla

    Publié le 5 mars à 08h31, mis à jour le 5 mars à 14h56
    .
    Atos peut-il remonter la pente ? Dans l’écosystème français des affaires, beaucoup se posent la question à propos de l’ex-fleuron français de l’informatique, qui vient d’achever la longue restructuration de sa dette. À l’occasion de la publication des résultats annuels pour l’année 2024 ce jeudi, Philippe Salle, le nouveau patron, veut rassurer les esprits. «Je suis en grande confiance», assène celui qui a été nommé en octobre à la tête de l’entreprise et occupe depuis février le poste de PDG. «Nous disposons d’atouts incroyables. Le premier, c’est une base de clients qui demeure satisfaite de nos services », explique-t-il dans un entretien avec Le Figaro. À l’entendre, si l’entreprise de services numériques (cloud, cybersécurité, maintenance de parcs informatiques) a expérimenté des difficultés sur son marché américain, elle n’a pas connu un exode de ses clients.
    Les résultats présentés ce jeudi pour 2024 témoignent quand même des stigmates d’un groupe qui vient de passer deux ans en enfer. Le chiffre d’affaires est en recul organique de 5,4% sur un an (et même 10% en comptant les cessions), à 9,6 milliards d’euros. Quant au carnet de commandes, celui-ci plafonne à 13 milliards d’euros fin 2024, une réduction de plus d’un tiers par rapport aux 21,7 milliards d’euros atteints en 2023.
    Pas comptable des performances de l’année 2024, Philippe Salle perçoit des signaux positifs sur le redressement de l’activité. «Il y a eu un attentisme des clients sur certains types de contrats stratégiques de 7 à 10 ans, car il y avait une inquiétude sur le fait de savoir si nous serions encore vivants. Mais nous avons réalisé un dernier très bon trimestre 2024. Nous sommes en train de regagner de la part de marché. Certains clients que nous avions perdus aux États-Unis nous ont sollicité en janvier pour redémarrer d’autres contrats», se réjouit le nouvel homme fort d’Atos.

    Échapper à une nouvelle restructuration

    Asie, Europe, États-Unis, le nouveau patron du groupe confie avoir engagé ces dernières semaines une tournée auprès des principaux clients du groupe, à commencer par le premier, Siemens, pour les rassurer sur la pérennité financière de l’entreprise. Malgré l’effacement de 2,1 milliards d’euros de dette brute avec la restructuration (sur plus de 5 milliards initialement) et l’apport de 1,6 milliard de nouveaux financements (sous la forme de prêts à forts taux d’intérêt), Atos n’est pas encore sorti d’affaires. Le flux de trésorerie disponible est largement négatif, à hauteur de 2,23 milliards d’euros en 2024.

    D’aucuns estiment que le groupe ne pourra pas échapper à une deuxième restructuration. «Nous avons deux milliards de liquidités devant nous et nous prévoyons de revenir dans le vert en termes de trésorerie dès l’année prochaine. Ce qui nous laisse largement de quoi achever la restructuration de l’entreprise dans ces deux prochaines années, dont on estime qu’elle coûtera entre 600 et 700 millions d’euros», tranche le nouveau patron du groupe. «Je sais qu’Atos est devenu comme l’Équipe de France. Tout le monde a un avis sur l’entreprise. Mais les Cassandre et les oiseaux de mauvais augure se trompent», indique Philippe Salle. De la même façon, analystes et observateurs jugent que les objectifs de redressement de marge opérationnelle, nécessaires à remettre le train sur ses rails, sont trop ambitieux pour l’entreprise. Le nouveau dirigeant aux manettes ne les trouve pas «insurmontables».

    Remarier TechFoundation et Eviden

    La restructuration, justement. Après deux années d’errances stratégiques, ayant conduit à la séparation du groupe en deux avec d’un côté TechFoundation (les activités de maintenance de parcs informatiques) et Eviden (les activités dites à haut potentiel dans le cloud, la cybersécurité, la data), Philippe Salle a bien l’intention de remarier les deux entités. «Nous faisons un métier où il peut y avoir des marques différentes lorsque les services sont différents. Dans de nombreux cas, Eviden et TechFoundation ont pu vendre le même service, entrant en concurrence. À mes yeux, cela a été meurtrier pour le groupe. Mon objectif est de revenir à l’idée d’un One Atos», martèle-t-il. Un choix dont l’ex-patron d’Altran mais aussi de Foncia estime qu’il simplifiera les choses pour les clients.

    Simplifier… Voilà un autre mantra du nouveau patron du groupe, qui détaillera en mai prochain son plan stratégique à horizon 2028 lors d’un Capital Market Day. Du coin des lèvres, Philippe Salle pointe du doigt les pesanteurs d’un groupe dispersé dans trop de géographies à ses yeux, encombré par un management pléthorique qui s’est paradoxalement appuyé sur beaucoup de prestations de conseils externes par le passé. Le plan présenté au printemps prochain devrait acter la sortie de plusieurs pays parmi les 80 du groupe à entendre Philippe Salle. Le top 20 des managers du groupe a été changé pour moitié, et le top 500 sera ramené à 200 managers. «J’aime avoir des choses assez simples. Quand tout le monde décide sur tout, personne ne décide rien», explique-t-il.

    De la même façon, le nouveau patron a bien l’intention de rompre avec la tradition, voire l’addiction, d’Atos avec ses cabinets de conseil. «On va prendre notre destinée en main. J’ai un cabinet qui m’aide sur la stratégie et un autre sur le plan de transformation qui avait commencé avant que j’arrive. C’est une aide ponctuelle, pour aller plus vite. Mais à partir de septembre prochain, je ne veux plus de consulting dans le groupe. La stratégie doit être fixée par le directeur général (CEO)», indique le PDG d’Atos. Une façon de reconnaître le dérapage incontrôlé de ce type de dépense ces dernières années. Philippe Salle promet enfin qu’Atos ne retombera pas dans les «travers» du précédent management, qui avait pris pour habitude ces dernières années de pratiquer une optimisation agressive de ses flux de trésorerie, que ce soit au niveau du paiement des factures fournisseurs ou des pratiques dites d’affacturage inversé. Ce qui permettait de présenter ses résultats financiers sous un meilleur jour. «On se l’interdit. Et si on devait le faire, on le documenterait pour être transparent», annonce Philippe Salle.

    Talents et actionnaires

    Malgré plusieurs cessions d’actifs en 2024 dont celle de Worldgrid, que les syndicats en interne n’ont pas digérée, Atos estime disposer d’un portefeuille d’actifs et de géographies robuste pour préparer l’avenir. Le nouveau patron ne rumine pas, par exemple, la cession à venir auprès de l’État de l’activité supercalculateur du groupe à Angers, décidée avant son arrivée. Et, dans cette activité très dépendante des talents humains, il promet que la matière grise n’a pas déserté massivement le groupe malgré les difficultés. «Nous avons un turnover autour de 15% des effectifs, ce qui est très en ligne avec nos chiffres historiques et ce qu’on voit sur le secteur. Il n’y a pas eu de fuite de talents. Peut-être de managers mais il y en avait tellement que ce n’est presque pas si grave», explique Philippe Salle. Un des volets du plan présenté en mai prochain sera quand même axé sur l’amélioration de la marque employeur. Atos ayant besoin d’attirer de nouveaux profils y compris sur les sujets de la data et de l’IA, des métiers où Philippe Salle concède que le groupe a pris du retard.

    De la même façon, le nouveau PDG ne s’inquiète pas du caractère particulier que revêt son actionnariat, très éclaté depuis la restructuration et dans les mains des créanciers de l’entreprise. Ces fonds sont en effet tous en dessous de 10 % du capital. Philippe Salle signale qu’en dépit des appels au sauvetage du soldat Atos ces derniers mois, ce sont les porteurs de dette, via l’augmentation de capital réalisée récemment ainsi qu’un financement intérimaire accordé au groupe, qui ont sauvé l’entreprise. Il dément toute velléité de leur part de dépeçage de l’entreprise. Mais le dirigeant est parfaitement conscient que ces acteurs, qui «veulent récupérer entre trois et quatre fois leur mise, ne seront pour la plupart plus là d’ici trois ans». «Il y a un défi sur la base actionnariale qui va arriver en 2026. À cet horizon, le fait d’avoir basculé en trésorerie positive nous permettra de redonner une valeur à la société y compris en Bourse».

    À cet horizon, Philippe Salle, qui a participé personnellement à l’augmentation de capital d’Atos à hauteur de 9 millions d’euros, n’estime pas indispensable l’entrée d’un actionnaire de référence de type industriel. «Cela pourrait très bien être un fonds d’investissement, ou un actionnariat familial qui aurait le mérite de l’engagement sur le long terme. Ce que j’explique aux salariés, c’est que pour rester indépendant, il faut être fort. Il faut faire, annoncer ce qu’on va faire, et faire ce qu’on annonce», conclut-il. Reste à savoir si Atos, qui a eu un track record particulièrement mauvais ces dernières années en la matière, sera cette fois-ci au rendez-vous des promesses.


  • 09 avril 2025 10:46

    Atos annonce la nomination de Pierre-Yves Jolivet au poste de Directeur Général d’Eviden et Cyber Business
    Paris, France – 1er avril 2025
    Le groupe Atos annonce aujourd’hui la nomination de Pierre-Yves Jolivet au poste de Vice-Président Exécutif et Directeur Général d’Eviden. Pierre-Yves sera également en charge de la ligne d’activité Cybersécurité, supervisant à la fois les services et les produits de cybersécurité, la stratégie et le portefeuille d’offres.

    Pierre-Yves est un dirigeant reconnu qui apporte une connaissance approfondie des secteurs cyber, de la défense et du service public. Récemment chez Thales, où il a occupé avec succès des postes à responsabilité croissante dans les domaines Cyber et de la Défense, il était dernièrement Vice-Président et Directeur de la ligne d’activité Cyber Digital Solutions de Thales.

    Avant de rejoindre Thales en 2017, il a passé 13 ans au Boston Consulting Group, où il a été Associé et Directeur en charge de la pratique Tech et Télécom en France, et a mené des missions de conseil pour des entreprises internationales en France, dans la région EMEA et aux États-Unis.

    Diplômé de l’École polytechnique en 1996, il s’est spécialisé dans les télécoms (Télécom Paris) et l’économie (Université Paris Dauphine). Il a débuté sa carrière chez Alcatel-Telspace, avant de passer 5 ans dans l’administration, au Ministère des Finances en tant que chef de bureau à la Direction Générale des Entreprises puis à la Direction Générale du Trésor, où il a piloté le soutien public à l’innovation.



    Philippe Salle, Président-Directeur Général du groupe Atos, a déclaré : « Nous sommes ravis d’accueillir Pierre-Yves en tant que nouveau Directeur Général d’Eviden et de notre activité Cybersécurité. Sa vaste expérience et sa connaissance approfondie de l’industrie font de lui un atout de choix pour notre équipe de direction. Je suis impatient de travailler avec lui pour faire croitre les deux secteurs sous sa responsabilité et apporter une contribution décisive aux succès futurs d’Atos ».


  • 09 avril 2025 11:43

    ah oui?
    ça serait bien qu'ils améliorent leurs marges? et redresser la barre?
    chavais pas mais chuis nouveau :)


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