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ATOS : RÉCRÉATION ARITHMÉTIQUE

18 avr. 2024 14:30

Certains petits porteurs ont fort probablement paniqué à l'annonce du spectre ORPEA et d'un titre qui ne vaudrait bientôt plus que "30 cents".
Cependant d'autres (une majorité je pense) ont su garder leur sang froid, face à ce qu'il faut désormais considérer comme une "jérémiade" au vu d'un cours plutôt en phase de stabilisation (+ ou - 2 €).

On a droit maintenant au spectre de la DILUTION causée par la conversion de dettes en K !...
Il conviendrait pourtant que ces "bashers impénitents" nous en expliquent le mécanisme, alors qu'on ne connait même pas la hauteur de cette conversion, ni surtout le prix de conversion.

Voici pourtant une hypothèse qui devrait les calmer (sur la base actuelle de 110 millions de titres et d'un cours de 1,80 tel qu'au moment où je publie) :

Conversion de 550M au prix de 5 € = 110 millions d'actions nouvelles
Dilution inévitable = 110 / (110 + 110) = 50 %
Valeur boursière du titre = (1,98M + 550M) / 220 = 3,4 €...

Je vous laisse estimer cette valeur boursière dans l'hypothèse selon laquelle la conversion serait encore meilleure...

À vos calculettes !

30 réponses

  • 18 avril 2024 14:48

    merci AmlWrong pour votre lumière.
    Toutefois, 2variables importantes qui nous manquent ici:
    combien à convertir: 600 Millions ou beaucoup plus 1.2 Milliard ou plus?
    et la valeur de conversion: malgré l audit effectué qui sortirait avec une estimation de fond propre: valeur reelle de la boite, on n'est pas certains que les banquiers et hedges fonds acceptent de s'y incliner et accepter une conversion avec une valeur cotrrecte (5/8/10/12)

    dans l'hypothese prise (5), ça sera pas une vraie dilution par rapport au cours actuel (1.8) car on obtient une valeur de 3.4 par action
    le titre dans cette hypothese devrait s'aligner rapidement vers 3.4

    ou je raconte n'importe quoi.
    vous pouvez donner votre avis(les forumeurs sans faire usage d'insultes )
    merci


  • 18 avril 2024 14:58

    J'ai un PRU de 9.5€, ça me fait une belle jambe une action à 3.4€...
    On criera victoire quand l'action sera à 12€ hors effet dilutif non ?


  • 18 avril 2024 15:07

    M9402119  le prix de conversion s'effectue sur la base de rapport fourni par des cabinet indépendant qui fournissent une fourchette basse,moyenne et haute de la valeur d'entreprise, comme ce fut le cas pour Casino :"Nous retenons, à partir d’une approche par la somme des parties, distinguant la
    Distribution Alimentaire, le E-commerce et les Autres Actifs, une Valeur
    d’Entreprise du Groupe comprise entre 3,79 Mds€ et 7,15 Mds€ avec une valeur
    centrale de 5,47
    Mds€."  https://www.groupe-casino.fr/wp-content/uploads/2023/12/CGP_ Annexe-Modalites-operations-capital.pdf 

    M3335492  Si l'entreprise retrouve le chemin des bénéfices même dilué tu pourrais retrouver une partie de ton investissement, ce qu'il faut prendre en compte c'est qu'on a actuellement une capitalisation d'une société en faillite.


  • 18 avril 2024 15:30

    M9402119 : Bonjour.

    Je voulais par cette exemple montrer que la "certitude" de certains pouvait être contredite assez aisément !

    Par ailleurs on ne  peut pas à la fois mettre en avant le cours boursier comme "étalon or", et venir ensuite le suspecter quand la simple arithmétique viendrait le mettre à mal !...
    Et pour ceux qui seraient encore dans l'expectative, en prenant comme base la V.N.C (valeur nette comptable) on obtient selon les conditions de mon hypothèse précédente :

    Valeur boursière du titre : (0,55 + 550) / 220 = 2,75 €  (soit une hausse de + de 50 % par rapport au cours de 1,80 €).

    Donc comme, il l'a été ressassé à maintes reprises, tout dépend du montant de dette à convertir et de son prix !

    À vos calculettes !


  • 18 avril 2024 15:33

    AmIwrong  c'est surtout la dilution en lien avec l'apport de New Money de 600 millions qui m'inquiète, et sur quelle base cela se fera.

    L'idéal serait que cette apport se fasse au travers de l'émission de nouveau bonds comme cela avait été envisagé par certains fonds obligataire, ce serait moins douloureux pour l'actionnaire.


  • 18 avril 2024 15:50

    Homiz : Bonjour.

    Ah là je ne vous suis plus !

    Vous avez défendu à maintes reprises qu'une conversion de dette ne se ferait pas au cours actuel. Pourquoi voudriez vous que le C.A accepte à ce prix massacré une A.K qu'elle soit avec ou sans D.P.S ?...


  • 18 avril 2024 16:14

    AmIwrong  J'ose espérer que le CA défendra aussi l'intérêt des actionnaires qui semblent être la dernière de leur préoccupation aux dernières nouvelles.


  • 18 avril 2024 16:32

    @ Homiz : Le C.A y est obligé, car il est la représentation des actuels actionnaires.

    Une A.K même avec D.P.S n'est pas la panacée : Un prix d'émission "massacré" favoriserait les nouveaux entrants aux dépens des anciens actionnaires qui seraient de facto dilués. Le CA ne peut pas s'engager dans cette voie. 


  • 18 avril 2024 16:33

    J'espère que Mustier n'est pas le cheval de Troyes des banques.
    En tout cas encore une fois personés n'a voté pour lui.


  • 18 avril 2024 17:12

    @ condor45 : Bonjour.

    D'accord avec votre appréciation du personnage, plus prompt à défendre certains intérêts plutôt que d'autres, et en dernier lieu ceux de l'actionnaire, éternel épargnant floué.

    On sent bien chez lui l'idéologue libéral dont la novlangue voudrait faire de l'épargnant un investisseur, ce qu'il n'est pas !

    Côté investisseur proprement dit, il faut nuancer :

    J'estime que les banques qui sont les interlocuteurs directs de l'entreprise et qui connaissent bien sa situation financière, ont une responsabilité bien + grande que les "zinzins" (investisseurs institutionnels) qui ne mettent pas les mains dans le cambouis.

    Les 2,4 Md qu'il faudrait éponger, sont clairement identifiés : L'emprunt à terme de 1,5 Md et le R.C.F (revolving) de 0,9 Md, ce dernier rappelant étrangement celui accordé au particulier qui in fine va le conduire au surendettement.
    Or ce sont ces banques (les ennemis de l'intérieur), qui se sont avérées être les plus ardentes à défendre le démantèlement (Tfco puis BDS), alors qu'elles devraient au contraire être les premières à contribuer au redressement....


  • 19 avril 2024 10:03

    Enfin une thèse un peu argumentée, quel plaisir de lire ce genre de message. Ce n'est pas MAP avec sa cagnotte qui nous fait un bashing permanent.


  • 19 avril 2024 10:52

    @ M871 : Bonjour et merci pour ce "up".

    Après nous avoir saoulé avec ORPEA, ils évoquent maintenant le spectre de la dilution.

    L'inconnu est effrayant pour certains, pour d'autres il est source de réflexion...


  • 19 avril 2024 10:54

    AmIwrong

    Ce qui étonne le plus, c'est qu'Atos a suivi globalement le plan présenté en juillet 2022. Et je n'ose pas croire que les banques ignoraient la construction sur le BFR. C'est une hypothèse impossible surtout quand dès 2018, des articles pointaient pour un possible abus. Donc nous savions bien qu'Atos ne serait pas dans la capacité de se financer en 2024/2025, ce qui comptait donc c'était le redressement. Le momentum fin 2022 était un "momentum", comme pour le tourisme, comme pour le prix du gaz.
    Ma seule hypothèse pour légitimer le comportement des banques est qu'elles ont donné à Atos 2 ans pour trouver une autre source de financement (IPO, institutionnels) c'est à dire qu'elles ont pris en compte les échéances de la dette d'Atos et ont construit le financement sur ces conditions.
    Néanmoins le scénario de la crise avait forcément été envisagé, quand l'inflation est à 8% vous ne pouvez qu'avoir des hypothèses chaotiques du futur. 
    Donc reste l'intrigue, comment ont-elle pu ne pas sécuriser leurs créances? 


  • 19 avril 2024 13:13

    @ off86 : Bonjour.

    Vous vous interrogez sur l'inertie des banques (possiblement abusées), alors que de mon côté je suis beaucoup plus sévère.
    Pour moi les 2,4 Md à éponger sont clairement identifiés, le "term loan" de 1,5 Md et le RCF de 0,9Md complètement épuisé, et il serait intéressant de savoir à quel taux ces produits ont été souscrits.

    Faut-il vous rappeler que le métier d'une banque est de récolter de l'intérêt, et quand l'affaire tourne mal de se payer sur la bête ?


  • 19 avril 2024 13:20

    Bonjour AmIwrong ,

    La seule explication à cette dette non sécurisée, alors que se payer sur Worldline était une évidence, ne serait-ce que 50%, tient en 2 éléments. Une période de taux faibles qui donnait la main aux dirigeants de l’époque et un deal secret en forme d’hypothèque, avec quelque banques conseils dans la boucle, pour donner la tournure d’un bon polar politico-financier. Et nous connaissons tous les bénéficies de certains dans l’affaire.

    Car en effet, l’attitude des banques est contradictoire, si ce n’est sur ces intérêts précédemment cités, et dans ce cas, l’intitulé de la plainte d’Alix AM prend tout son sens…


  • 19 avril 2024 13:36

    L’informatique , le numérique, le quantique, ont pris le controle de l’economie, des finances, de l’administration etc… l’individu se croit libéré mais en fait , il est devenu esclave d’internet, des portables, des PC, des réseaux! C’est une fuite en avant inarretable ! 
    Atos vaut de l’or meme si ses comptes sont en rouge. Atos n’a qu’à se comporter comme les controleurs de train de la Sncf, comme le personnel de la Ratp, comme les fonctionnaires de l’Education nationale: en grève tant que le cours de l’action ne retrouve pas son niveau de 100€. Les contrats passés avec l’Etat , avec Dassault Rafale , avec le CIO, ont été sousvalorisés! Au dépend des comptes de l’entreprise. 


  • 19 avril 2024 13:59

    à partir de certaines contributions des uns et des autres, le cours aujourd'hui à 1.8 est un cadeau si la conversion de la dette en action se base sur la valeur intrinsèque de l'entreprise, qu'est êtes au minimum 3Milliard.
    donc dans l'Hypothese ou on prend juste une valeur de conversion de dette autour de 4 euros pour 2 milliard de conversion, ca fera 500 millions de titres nouveaux.

    le cours de l'action apres cette operation= 2.2Md/610 millions = 3,6 euros

    c'est du 100% pour qlq qui rentre aujourd'hui!

    et pourtant personne ne veut y aller!
    ça m'intrigue: chat echaudé craindra toujours l'eau!


  • 19 avril 2024 14:02

    pour les rentrants aujourd'hui c'est vraiment une opportunité enormissime pour faire du 100%
    et la vade prefere attendre pour acheter à 3.6 toutes les actions et restent gagnantes sir ils ont shorté depuis tres tres tres longtemps
    les derniers shorters vont se ramasser une gamelle


  • 20 avril 2024 12:49

    M9402119
    19 avril 2024 •14:02  "pour les rentrants aujourd'hui c'est vraiment une opportunité enormissime pour faire du 100%"   ...    On en reparle fin juin ...


  • 20 avril 2024 14:42

    M9402119 : Bonjour.

    Difficile de dire ce que les banques d'Atos sont prêtes à immobiliser en K et à quel prix !

    LE MONTANT :
    Les banquiers d'ATOS sont bien placés pour connaître ce que vaut réellement le bâtiment, néanmoins la part qu'ils consentiraient à immobiliser en K ne rapportera aucun dividende avant longtemps, seul le rebond du cours au-delà du prix de conversion leur permettraient de récupérer leur mise.

    LE PRIX DE CONVERSION  :
    Actuellement le cours est au plancher, et même les résultats 2023 pourtant noircis ad libitum n'ont pas réussi à l'enfoncer davantage.
    Si on considère la montée au K de D.L et ce en examinant sa déclaration auprès de l'AMF publiée le 2/11, on constate que le franchissement de seuil était effectif dès le 26/10 (5,80 % du K) et que les acquisitions sur le marché se sont poursuivies jusqu'au 1/11 atteignant ainsi 9,98 % du Capital.

    Or en considérant le + bas du 26/10 (4,81 €) et le + haut du 1/11 (6,81 €) on en déduit intuitivement un prix moyen de 5,81 € et ce pour la moité de sa participation.
    On ignore bien entendu à quel prix il avait acquis ce qu'il détenait avant ce "raid" en soulignant qu'avant la publication des résultats du S1 le cours fluctuait au dessus des 14 € pour s'affaisser vers 4 € (Cf point bas du 23/10 à 3,971 €).

    En admettant que le prix de conversion puisse s'aligner sur le "P.R.U supposé" de D.L soit 6 € (afin de mettre les banques à égalité avec l'actionnaire majoritaire) on pourrait alors envisager un montant de dettes à convertir certes dilutif mais acceptable.
    Ne pas perdre de vue que l'actionnaire doit beaucoup d'argent à ses créanciers et qu'il faut bien qu'il rembourse d'une manière ou d'une autre.

    EXEMPLE : Une conversion de 660M au prix de 6 € accorderait au pool bancaire une égalité parfaite avec l'actionnariat.

    660M / 6 € = 110M d'actions nouvelles.
    Dilution : 110M (110M + 110M) = 50 %
    Capitalisation sur la base du cours de clôture au 19/04 soit 1,85 € = (1,85 * 110M) + 660M = 863,5M
    Cours théorique = 863.5 / 220 = 3,925 € soit un bond de 112 % !
    Comme tout un chacun D.L serait dilué sa participation passant alors à 5,57 % (11,14 / 2).

    Les banques accepteraient-elles un meilleur prix de conversion ?...
    Tout dépend de la valeur réelle du navire actuellement échoué sur un banc de sable du fait de sa cargaison de dettes...


  • 20 avril 2024 15:00

    AmIwrong

    Cela me semble totalement absurde.
    Vous vendez donc 50% d'Atos en diminuant de très peu la dette. 
    C'est le genre de raisonnement biaisé que font les "nouveaux entrants", or Layani n'est plus un entrant récent, on prend les cours de bourse autour de 30 jours, maximum deux mois. C'est le cours moyen qui compte. On ne prend pas en compte le cours de bourse d'octobre, de novembre, de décembre, ni même de janvier ou bientôt février.
    Surtout qu'il faut prendre les justes mesures, vous parlez d'une somme qui paye la scission.
    Donc pour 50%, un actionnaire prend la scission. Donc autant acheter de la dette sur le marché.
    La dette est bradée, 660m de dette ne valent actuellement même pas 250m.

    Le cours de bourse est lié aussi à un marché de la dette public. Vous avez le droit d'exiger un remboursement de nominal de 660m mais pas 50% d'Atos. Car à ce moment là de toute façon Atos ne vaut plus rien. 


  • 20 avril 2024 15:31

    Off86 : Bonjour.

    Vous perdez de vue que l'actionnaire doit beaucoup d'argent à ses créanciers, et qu'il faut rembourser d'une manière ou d'une autre. La conversion de dettes en K est un de ces moyens a fortiori quand il a été clairement annoncé par le C.A...

    La question est de savoir quel montant à convertir et à quel prix ; à cet égard mon poste s'articulait bien sur ces 2 paramètres, or vous vous écartez complètement de cette problématique.

    Enfin il ne s'agit que d'une hypothèse, celle-ci évitant tout juste la spoliation, puisque l'actionnariat resterait à égalité avec le pool bancaire, si ce dernier acceptait de monter au K à ces conditions.
    Je préfèrerais bien entendu un meilleur taux de conversion, mais les banques vont-elles accepter ?...


  • 20 avril 2024 15:48

    AmIwrong

    Merci pour votre réponse. J'apprécie car souvent la moindre critique est vue comme une attaque ad hominem et finit en insultes.
    Donc merci sur ce point.

    Je n'oublie pas du tout que l'actionnaire "DOIT" de l'argent, mais je n'oublie pas que le créancier peut très bien aller au tribunal réclamer son argent. Il ne sera de toute façon plus prioritaire, puisque l'intérêt social primera et donc l'obligation de rembourser est ici bien secondaire. Et ensuite, on retrouve la structure new money/créanciers qui clairement est rarement propice aux créanciers surtout quand ces "génies" "virtuellement propriétaires d'Atos" n'ont sécurisé aucune dette. Ils ne possèdent qu'un droit supérieur aux actionnaires qui peuvent clairement lui dire ce qu'ils pensent de ses droits puisque l'actionnaire vote pour ceux qui décident (le CA). 
    Si la vente de TechF et l'AK d'1 milliard quand le cours était à 15 provoque une telle chute, alors la vente de 50% d'Atos pour une dette aussi minime me paraît une hypothèse très amusante. Il faudrait donc que les actionnaires votent pour ce plan. Je ne dis pas que c'est impossible, mais cela voudrait dire que soudainement les actionnaires se mettent d'accord parce qu'ils voient une recapitalisation relutive, mais c'est la proportion, 50% d'Atos, et une diminution de la dette ridicule, car il faudra aussi disons apporter 600 millions de new money. Donc encore 50%? 

    Et Layani et ses 5% quel intérêt?
    Il n'existe déjà pas à 11% en dehors du droit de faire du bruit médiatiquement, et de venir parler au CA, mais alors là, il n'existera plus du tout. 
    Il perdra sa place au conseil, etc.


  • 20 avril 2024 16:18

    Off86 : Que les banquiers aillent au tribunal, pas de problème !

    Ce sera le "haircut" assuré pour eux, façon coupe G.I. Les victimes collatérales seraient les obligataires, sauf les détenteurs en dernière main des "bonds" rachetés à vil prix.
    Un mauvais arrangement vaut mieux qu'un bon procès. Non ?....

    Tout le monde devra faire un effort : Les banques, les obligataires, les actionnaires, et probablement même les salariés, via des restrictions salariales voire des licenciements....


  • 20 avril 2024 18:16

    Bonjour à vous, 

    Aucune excuse pour le pool banquier, qu’ils prennent une grande part du fardeau ne serait que justifiée si nous jugeons les actes précédents et récents.
    La responsabilité des banquiers est écrasante et l’absence de dette sécurisée, en particuliers sur la mise sur le marché de Worldline n’en est que plus suspecte à la lumière de leur attitude vis-à-vis d’Atos depuis scission/cession…


  • 21 avril 2024 15:08

    victorda : Hi Victor !

    On sent bien le discours de certains, selon lequel les banques auraient été abusées. Ben voyons !

    Ces banques surveillaient bien  évidemment les comptes de dépôt de leur client, et sont donc parfaitement au courant de sa situation financière.
    Elles ont donc failli dans leur rôle de partenaire qui ne consiste pas seulement à engranger des intérêts, et quand les difficultés s'annoncent vendre les bijoux de famille.

    Dans l'histoire, les victimes collatérales seront les "zinzins" (investisseurs institutionnels) alors qu'en réalité il conviendrait de les ménager. On ne peut en effet imaginer qu'ATOS puisse se passer d'eux dans les défis technologiques qui s'annoncent...


  • 21 avril 2024 15:19

    Bonjour AmIwrong ,

    Tout à fait raccord. Et si je me permets d’ajouter, si une forme d’hypothèque a été contractée, non plus en sécurité si quelque chose tournait mal mais à des fins d’un démantèlement pré organisé, le comportement entre le board et les banques depuis 3 ans s’en retrouverait des plus clairs. Sauf que cela s’appelle de la spoliation et de la corruption.

    Du coup, leur volonté d’aller au bout de leurs intentions inavouables a mis en danger l’entreprise et leur manigances puisque la manœuvre des fonds en devient légitime mais surtout, elle les met à mal.

    Au milieux de cela, nous avons un monsieur Layani qui doit emporter les faveurs, et surtout il doit l’emporter sur 2 fronds, se rallier quelques fonds obligataires, l’Etat et les actionnaires historiques car face aux 2 autres, il faudra leur tordre le bras pour qu’ils capitulent. 

    Le pourcentage au capital a l’issue sera déterminant, et cela passe par un adoubement en AG.
    Le cours du titre doit remonter.


  • 21 avril 2024 17:45

    Ce sont en priorité les banquiers d'ATOS qu'il faut contraindre à la conversion de créances en K. Les 2,4 Md à éponger sont clairement identifiés : Term loan de 1,5Md et 0,9 Md de crédit revolving.

    Le montant à effacer doit être conséquent, et le prix de conversion en rapport avec la valeur du bâtiment. Ils seraient bien encore capables d'abuser de la situation...

    Qu'il assument leur incompétence passée, et participent enfin honnêtement au redressement !


  • 21 avril 2024 19:16

    Bonjour AmIwrong ,

    En effet, au mieux, c’est de l’incompétence, au pire, des intentions malhonnête. L’un dans l’autre, ils sont au pied du mur, et Monsieur Layani ainsi que l’Etat semblent s’évertuer à vouloir les faire faire leur travail. Reste à voir si par rancune, ils sont prêt à détruire l’entreprise… On ne sait jamais ce qu’il se passe dans la tête de ces gens, cela dépasse parfois le bon sens…


  • 21 avril 2024 20:03

    Dès qu un post met en cause la due diligeance des banques  , le message est suprimé 


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