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HYBRIGENICS : LES LIQUIDITÉS > Les sociétés de biotec

08 mai 2009 22:09

Les sociétés de biotechnologies ont encore de la visibilité devant elles

Une gestion plus prudente des liquidités disponibles devrait permettre au secteur de limiter les conséquences de la crise financière

PAR OLIVIA DERREUMAUX | JDF HEBDO | 09.05.2009 |

Mise à jour : 20H08

----------------------

LES LIQUIDITÉS, « UN TRESOR DE GUERRE » POUR LES BIOTECHS

Niveaux de trésorerie, en M€ au 31/12/08

Nicox
------------------------------------------------------------- ---------------------------------------104.7
Transgène

*
--------------------------------------------------------------------------- -- ----81.1
Innate Pharma

*
-----------------------------------35.4
Cellectis
----------------------- -- ---28
Bioalliance Pharma *
---------------------------27
Vivalis *
------------------------24.8
Exonhit Therapeutics
---------------------21
Genfit *
--------------------20
Cerep

*
-------------------19.2
Ipsogen
-------------13.3
Genoway
---3.1
Hybri ge nics
--2.4


* au 31/03/09

(voir tableau à la source)

--------------------------

Les financements difficiles dans ce secteur ne menacent pas à moyen terme la majorité des acteurs cotés. L'arrivée à maturité de projets en développement atteste la pertinence du modèle et l'attrait spéculatif de certains dossiers.

« Il y a 6.000 entreprises de biotechnologies au monde. On ne peut pas continuer à les ignorer et à croire que la meilleure science est toujours chez nous. » Voilà comment Chris Viehbacher, directeur général de Sanofi-Aventis, le quatrième laboratoire pharmaceutique mondial, résumait récemment le potentiel d'innovation des sociétés de biotechnologies.

Depuis vingt ans aux Etats-Unis et une décennie en France, l'univers de la recherche-développement en pharmacie a été modifié en profondeur. La biotechnologie, fondée sur la fabrication de molécules à partir d'organismes biologiques vivants, représente un véritable relais de croissance pour les laboratoires pharmaceutiques.

Alors que les procédés chimiques ne sont plus aussi efficaces en termes de productivité, les Big Pharmas se tournent vers l'extérieur, convoitant les molécules prometteuses des biotechs.

La volatilité reste importante

Un intérêt qui profite à ces sociétés travaillant sur des thérapies très ciblées, dans des domaines aux besoins encore largement insatisfaits. « L'année a été difficile boursièrement, explique Michael Sjöström, gérant du fonds PF (LUX) Biotech. Mais le secteur a globalement surperformé le marché, car les fondamentaux sont solides, en termes tant de taux de croissance du chiffre d'affaires que d'avancées du pipeline, ce qui accroît les attentes au niveau des retombées financières futures. »

Attente. Le mot est bien choisi car, pour l'instant, la majorité de ces entreprises sont déficitaires et peu de produits sont arrivés sur le marché. Pour nombre d'entre elles, dont la source principale de revenus vient des partenariats noués avec les laboratoires, l'activité reste risquée.

Exemple typique : la chute de 80 % en une séance du titre Nicox en 2003 à la suite de l'annonce de l'arrêt d'un partenariat avec AstraZeneca concernant le développement de la molécule vedette de la biotech, le Naproxcinod. Et même pour les sociétés développant seules un produit et ayant plusieurs cordes à leur arc, les mauvaises nouvelles sont sanctionnées à hauteur des espoirs suscités. BioAlliance Pharma avait vu son titre chuter de 13,5 % après l'annonce de l'arrêt des essais cliniques sur un produit en phase II de développement.

Une volatilité qui réserve ces valeurs aux investisseurs audacieux. Certaines molécules au potentiel de blockbuster (plus de 1 milliard de dollars de chiffre d'affaires annuel) ont encore un horizon de retour sur investissement incertain. Des résultats cliniques décevants, et le projet peut être retardé ou stoppé.

Mais ces sociétés, dont les molécules présentent l'avantage d'être difficilement copiables à l'identique, gardent un intérêt réel. A l'exception de Nicox, les biotechs françaises, moins matures que leurs compatriotes américaines, ne bénéficient pas encore en Bourse de rumeurs de rachat par les Big Pharmas. Mais le potentiel de rebond est important, particulièrement après la retombée de l'aversion au risque constatée au plus fort de la crise financière.

Nous recommandons de privilégier les sociétés ayant le portefeuille de produits le plus équilibré en termes de phase de développement.

Nous éviterons également celles dont la trésorerie disponible ne dépasse pas douze à dix-huit mois de financement, à l'image d'Hybrigenics. Le niveau de liquidités reste en effet un critère primordial pour repérer les entreprises aptes à assurer le développement de leur activité. « Le secteur n'a pas rencontré un environnement de financement favorable en 2008, explique Philippe Pouletty, président de France Biotech. Mais les sociétés cotées ont en général deux à trois ans de cash devant elles. Elles réduisent un peu leur R&D, en pariant sur des accords de développement, ou sur une levée de fonds ultérieure une fois que le marché boursier sera plus favorable. »

Source :
http://www.jdf.com/etude-sectorielle/2009/05/09/04011-20090509ARTHBD00116-les -societes-de-biotechnologies-ont-encore-de-la-visibilite-devant-elles.php

1 réponse

  • 09 mai 2009 10:49

    Merci pour cet article. Il confirme qu'Hybrigenics a un problème de trésorerie à résoudre.


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