La guerre commerciale entre les Etats-Unis d'Amérique et la Chine a fait chuter la croissance de l'économie mondiale à son plus bas niveau depuis la crise financière de 2008-2009. En l'absence de résolution rapide des risques politiques (surtout les tensions commerciales mais aussi le Brexit), les banques centrales n'ont pas d'autre choix que d'intervenir pour continuer de repousser le spectre d'un crack obligataire. Mais cette assistance sous morphine a un prix et il n'est pas sain de placer son argent pour n'en récupérer, au mieux, qu'une partie amputée par des taux négatifs sur toute la courbe des taux.
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