((Traduction automatisée par Reuters à l'aide de l'apprentissage automatique et de l'IA générative, veuillez vous référer à l'avertissement suivant: https://bit.ly/rtrsauto)) par Anna Tong
Un groupe qui s'est opposé à la restructuration d'OpenAI a écrit dans une lettre cette semaine que le nouveau plan d'organisation de la startup ne va pas encore assez loin pour protéger le créateur de ChatGPT de la création d'une technologie d'intelligence artificielle dangereuse.
Dans la lettre datée du 12 mai, soumise aux procureurs généraux de Californie et du Delaware, les membres du groupe "Not For Private Gain" affirment que si l'annonce faite par OpenAI au début du mois de réduire une partie de sa restructuration "pourrait être un pas dans la bonne direction", elle n'empêche toujours pas OpenAI de s'éloigner de sa mission initiale, qui est de veiller à ce que l'intelligence artificielle soit développée pour le bien de l'humanité.
Le groupe le plus large, composé d'anciens employés d'OpenAI et d'experts en intelligence artificielle tels que Geoffrey Hinton, avait écrit une première lettre en avril pour s'opposer au plan de restructuration d'OpenAI visant à retirer le contrôle à son entité mère à but non lucratif.
Cette lettre faisait partie d'une tempête de critiques et de défis juridiques, y compris un procès très médiatisé intenté par le rival et cofondateur Elon Musk , qui a incité OpenAI à revoir son plan de restructuration.
OpenAI, dans laquelle Microsoft MSFT.O a investi plus de 13 milliards de dollars, prévoit maintenant de convertir sa branche à but lucratif en une société d'utilité publique (PBC), la société mère à but non lucratif contrôlant la PBC et en devenant un "grand actionnaire", ce qui, selon elle, permettra à OpenAI de lever davantage de capitaux pour rester dans la course à l'IA, qui coûte très cher.
Une PBC est une structure conçue pour équilibrer les bénéfices des actionnaires et les objectifs sociaux, contrairement aux organisations à but non lucratif, qui se concentrent uniquement sur le bien public.
Mais la lettre de lundi indique que le nouveau plan d'OpenAI diminue considérablement l'autorité existante de l'organisation à but non lucratif. Premièrement, l'entité à but lucratif actuelle d'OpenAI est tenue de promouvoir sa mission et sa charte avant les intérêts des investisseurs, alors que le PBC proposé n'est pas tenu de le faire.
Deuxièmement, l'association à but non lucratif d'OpenAI, en tant que gestionnaire unique, contrôle aujourd'hui à 100 % son entité à but lucratif, ce qui lui confère des pouvoirs opérationnels quotidiens tels que la possibilité de licencier des cadres. Dans la restructuration proposée, l'association n'aurait pas de contrôle total sur la PBC, ce qui, selon le groupe, est préoccupant car les pouvoirs d'exécution du procureur général découlent uniquement de l'autorité de l'association.
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