Après s’y être employée pendant plusieurs mois, la Société n’est pas parvenue à financer son usine de 2.500 tonnes dédiée au marché de la cosmétique, dans un contexte général très défavorable au financement des premières industrielles. La Société consacre désormais toute son énergie aux applications de sa technologie à la production de carburant d’aviation durable (« SAF »), avec un modèle de partenariats industriels.
Samuel Dubruque, Directeur Administratif et Financier de Global Bioenergies, déclare : « Malgré tous les efforts déployés ces derniers mois et en ayant la conviction d’avoir présenté un dossier le plus mature possible, nous faisons aujourd’hui le constat que nous ne parvenons pas à financer notre projet d’usine. Comme toutes les premières industrielles, ce projet comporte nécessairement des risques à différents niveaux. La perspective d’un retour sur investissement important lié au marché de la cosmétique aurait dû permettre de convaincre des investisseurs privés de s’engager dans ce projet, mais force est de constater que ce n’est pas suffisant dans les conditions politiques, économiques et financières actuelles. Aujourd’hui, les investisseurs infrastructure se limitent à des projets de répliques industrielles moins risquées , et à des projets plus directement centrés sur les marchés de l’énergie. »
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