
La finance se met globalement au vert même si les avis sur la méthode à suivre divergent. (© antonio)
La crise sanitaire accélère la prise de conscience sur les enjeux environnementaux. Les investisseurs et les marchés financiers n'y échappent pas.
Alors que la semaine de la finance responsable se tient du 1er au 9 octobre, le verdissement de l’économie, la lutte contre le dérèglement climatique et la quête de décarbonation n’ont jamais été autant à l’ordre du jour.
Les incendies gigantesques et non maîtrisables sur tous les continents, la fonte des icebergs ou les menaces sur la biodiversité ont fini par marquer les opinions publiques, les dirigeants politiques et les investisseurs.
Les gouvernements se doivent d’indiquer la bonne direction à suivre après l’Accord de Paris. À la surprise générale, le président Xi Jinping a annoncé, à l’Assemblée Générale des Nations unies, son intention d’atteindre la neutralité carbone pour l’économie chinoise en 2060.
De la promesse à sa réalisation, il reste au premier émetteur mondial de gaz à effet de serre un grand bond en avant à faire ! Mais le signal envoyé est très fort, surtout à l’endroit des États-Unis, à la traîne après s’être retirés de l’Accord.
ResponsableL’Union européenne, elle, s’est fixé le même objectif pour 2050. Parmi les initiatives récentes, le gouvernement français a présenté un budget «vert» dans son projet de loi de finances 2021, très tourné vers la transition énergétique.
Les dépenses sont réparties en plusieurs catégories selon leur contribution à la décarbonation. Les investisseurs, eux aussi,
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