Atterrissage en douceur ou pas d'atterrissage ?

information fournie par Reuters •22/04/2024 à 18:48

((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))

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Les indices boursiers américains sont en hausse: Nasdaq en tête, en hausse de ~0,6%

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Les valeurs financières sont en tête des gains sectoriels du S&P 500; les matériaux sont le groupe le plus faible

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L'indice Euro STOXX 600 augmente de ~0,6%

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Hausse du dollar, hausse du bitcoin; baisse du brut; baisse de l'or >2%

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Le rendement du Trésor américain à 10 ans est en baisse à ~4,62%

22 avril - Bienvenue sur le site de la couverture en temps réel des marchés par les journalistes de Reuters. Vous pouvez nous faire part de vos réflexions à l'adresse suivante

ATTERRISSAGE EN DOUCEUR OU PAS?

La résilience surprenante de l'économie américaine a modifié non seulement les prévisions de réduction des taux pour cette année, mais aussi l'opinion des investisseurs sur la question de savoir si les banques centrales seront finalement en mesure de réaliser un atterrissage en douceur ou pas d'atterrissage du tout.

Selon l'enquête d'avril de BofA sur les investisseurs en crédit, les opinions sur l'absence d'atterrissage sont actuellement presque aussi répandues que les attentes d'atterrissage en douceur, 45 % des personnes interrogées pariant sur un "atterrissage en douceur" tandis que 40 % se préparent à un "atterrissage sans atterrissage".

L'inflation reste la principale préoccupation des investisseurs, la part des économies dont les prix à la consommation sont supérieurs à 3 % ayant augmenté, selon l'enquête a augmenté, selon l'enquête.

Le risque d'erreurs de politique de la banque centrale est la deuxième préoccupation, environ trois investisseurs sur quatre pensant que la nervosité des institutions monétaires à l'idée de réduire leurs taux trop tôt - et de voir ensuite l'inflation augmenter - est la raison la plus probable de retarder les réductions de taux cette année.

La plupart des économistes interrogés par Reuters pensent que la Banque centrale européenne commencera son cycle d'assouplissement en juin. Mais seulement 17 % d'entre eux s'attendent à ce que la Réserve fédérale américaine réduise ses taux au cours de ce mois, selon l'outil FedWatch de CME.

Malgré la récente montée des tensions géopolitiques au Moyen-Orient, seuls 9 % des participants à l'enquête de BofA craignent que la hausse des prix du pétrole ne retarde le cycle d'assouplissement et seuls 2 % pensent que la faiblesse de la monnaie sera la raison la plus probable de ralentir l'assouplissement de la politique monétaire.

(Matteo Allievi)

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