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TOTALENERGIES : Electrification des poids lourds

20 mars 2024 23:31

Enedis, TotalEnergies, VINCI Autoroutes et six constructeurs européens –
Iveco, MAN Truck & Bus France, Mercedes-Benz Trucks, Renault Trucks, Scania et Volvo Trucks –
se sont associés pour évaluer les besoins et enjeux de l’électrification du transport routier de
marchandises longue distance et plus particulièrement de la recharge en itinérance sur les principaux
axes routiers français.

20 réponses

  • 20 mars 2024 23:32

    En France, le transport routier représente aujourd’hui 90 % des flux de marchandises et 7 % des
    émissions de gaz à effet de serre. Pour répondre aux objectifs de décarbonation fixés par les pouvoirs
    publics, les constructeurs se sont engagés sur la voie du développement des poids lourds électriques
    à batterie, principale technologie zéro émission à l’échappement. Le succès de cette électrification
    repose sur un déploiement adapté des infrastructures nécessaires à la recharge en itinérance.
    L’étude réalisée, et annoncée en septembre 2023, repose sur une modélisation fine du réseau routier
    ainsi que sur l’analyse des flux, des points d’arrêt des poids lourds et de l’électrification du parc d’ici
    2035 en France


  • 20 mars 2024 23:33

    12 200 points de recharge seront nécessaires pour la seule
    recharge des poids lourds en itinérance sur 519 aires de services et de repos – 10 000
    utilisables lors des pauses de longue durée et 2 200 pour les pauses courtes avec de la
    recharge rapide.

    – La puissance nécessaire sur le réseau : la seule recharge en itinérance des poids lourds
    pourrait représenter, à horizon 2035, une consommation d’énergie de 3,5 TWh/an (à comparer
    avec la consommation annuelle française, de l’ordre de 615 TWh en 20351) et un appel de
    puissance de 1,1 GW au pic. Ces besoins, significatifs, peuvent être intégrés par le réseau
    électrique, à condition d’anticiper et de planifier les travaux.

    – La mutualisation des infrastructures de recharge : l’étude met en évidence la très forte
    complémentarité des besoins de recharge, qui ne se produisent pas au même moment, weekends
    de grands départs pour les voitures et jours ouvrés pour les poids lourds. Le pic de
    puissance annuel est essentiellement dû aux besoins de recharge des voitures. Il y a donc un
    réel intérêt à mutualiser les raccordements entre ces usages, pour limiter les investissements
    sur le réseau électrique.

    – Les investissements nécessaires sur le réseau électrique sont estimés à 630 millions € d’ici à 2035. Cette estimation (hors investissement pour les stations de recharge et l’aménagement des aires), prend en compte, de manière optimisée, la mutualisation des besoins de recharge en itinérance entre les mobilités lourde et légère. Une soixantaine de postes sources devront être renforcés ou créés : ce programme, sans difficulté technique majeure, doit être anticipé dès maintenant, compte tenu des délais de plusieurs années nécessaires à la réalisation de certains travaux.


  • 20 mars 2024 23:35

    Les enjeux fonciers : le déploiement des infrastructures va par ailleurs réduire le nombre de places de parking pour poids lourds disponibles, engendrant de potentiels déficits de foncier. En effet, alors qu’en 2035 les poids lourds électriques longue distance ne représenteront encore que 12,5% du parc, au moins la moitié des places de parkings poids lourds devront être équipées en points de recharge sur un quart des tronçons routiers.


  • 21 mars 2024 08:15

    Ça fera comme pour le ferroutage, du vent

    Cdt


  • 21 mars 2024 09:07

    Sûrement, mais l essentiel c est de paraître en la matière, et les beaux slides PowerPoint ça en jette en conférence…


  • 21 mars 2024 09:54

    En somme les camions transporteront plus de poids de batteries que de fret, c'est effectivement une solution digne du royaume d'Ubu.


  • 21 mars 2024 12:06

    Pour les PL , ce ne sera plus de la pause cigarette pour les conducteurs, mais un arrêt d'une journée.


  • 21 mars 2024 14:48

    Ce sont les ,Chiliens, les Peruviens et les Chinois qui doivent se frotter les mains : Ca va en faire des tonnes de cuivre a produire pour tous ces "petits" moteurs  Et bien sur, dans les mines, pas une seule goutte d' hydrocarbure pour les "tout petits " engins de chantier ... Ca rechaufferait trop la planete !


  • 21 mars 2024 15:10

    "Pour les PL , ce ne sera plus de la pause cigarette pour les conducteurs, mais un arrêt d'une journée."

    Pour les chauffeurs, peut-être, mais pas pour les remorques. Pour le transport du fret international, ça va peut-être renforcer les zones logistiques comme au nord de Tours. Le fret arrive d'Espagne, à Tours, on change de tracteur et de chauffeur, et 1/4 d'heures après le fret continue vers le nord de l''Europe avec un nouveau tracteur. 


  • 21 mars 2024 15:13

    "se sont associés pour évaluer les besoins et enjeux de l’électrification du transport routier de
    marchandises longue distance" 

    Tout celà reste très prudent. 😁


  • 21 mars 2024 15:15

    Deux ou trois tracteurs par remorque, va falloir les financer ... Bonne chance a Dentresangle et Faure-Machet. Quant aux Polonais, Estoniens et Tcheques, je vous laisse imaginer ! Ursula n'aura pas le culot de leur faire des cheques et s'endetter sur 30 ans.


  • 21 mars 2024 15:16

    "Ça fera comme pour le ferroutage, du vent"
    C'est pas du vent : c'est 1,5 milliards de gaspillés en 18 mois !


  • 21 mars 2024 15:18

    Bonjour l état de notre réseau routier 


  • 21 mars 2024 15:21

    "Deux ou trois tracteurs par remorque, va falloir les financer"

    Ça ne fait pas 2 ou 3 tracteurs par remorque. Mais ça demande un chamboulement du transport logistique. Qui est par ailleurs en cours avec le regroupement en géants mondiaux. Il y a longtemps que Dentressangle a été racheté par XPO logistics.


  • 21 mars 2024 15:32

    Peu probable trop compliqué trop contraignant. Mettre les TIR en transit en France sur des trains auraient dû être plus simple, mais avec la SNCF…


  • 21 mars 2024 15:43

    adnstep Pour une remorque, on a au moins besoin de 2 tracteurs :
      Un qui roule, un qui se recharge. Bonjour la rentabilite, avec des machines encore plus couteuses unitairement ... Mais c' est bon pour la planete, alors on trouvera la meilleure solution, une fois de plus.


  • 21 mars 2024 17:09

    Finalement on finira par mettre des caténaires sur la voie de droite des autoroutes et l'on inventera le train routier sans la SNCF et ses grèves.
    Plus besoin de recharge pour les camions électriques.


  • 21 mars 2024 17:12

    Avec une seule remorque, vous l'immobilisez le temps de repos du conducteur, sauf à mettre plusieurs chauffeurs par camion. Pour le personnel routier, l'amplitude de la journée de travail ne doit pas, en règle générale, dépasser 12 heures. Après un temps de conduite de 4,5 heures, les chauffeurs doivent faire une pause ininterrompue d'au moins 45 minutes, à moins qu'ils ne prennent une période de repos.

    Le temps de repos journalier normal est d’au moins 11 heures consécutives. Les conducteurs peuvent aussi prendre un temps de repos journalier segmenté :  3 heures + au moins 9 heures, de sorte que le total des deux périodes doit être d’au moins 12 heures.

    En double équipage, le temps de conduite maximal est de 2x9h, reste donc 6 heures non roulées. 1/4 du temps, donc.


  • 21 mars 2024 17:56

    90% des flux de marchandises passent par la route, merci à la CGT laquelle a coups de grèves à réussi l'exploit de faire renoncer les industriels à utiliser le rail comme moyen de transport il y à quelques décénnies déjà !  cette situation engorge nos autoroutes et pollue. Mais on ne peut pas laisser un syndicat avoir le pouvoir de nuisance de bloquer un pays.😎


  • 21 mars 2024 20:25

    Ceci dit, TotalEnergies fournit déjà du HVO à XPO logistics, et le HVO est certifié bio-énergie propre.


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