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TOTALENERGIES : Article du CAPITAL ce matin , Pétrole russe ---)

04 mars 2022 14:21

Le pétrole russe ne fait plus recette. Une semaine après l'invasion de l'Ukraine, les acheteurs ne se pressent plus à la porte, craignant l’opprobre, de possibles sanctions à venir et des complications logistiques, malgré les craintes pour l'approvisionnement du marché. "Les échanges de pétrole brut sont toujours gelés, et nous estimons que 70% du marché" est paralysé, "avec un particulièrement gros impact sur les ventes maritimes", explique à l'AFP Livia Gallarati, analyste du cabinet Energy Aspects. Pour l'instant, les sanctions occidentales contre la Russie ont pris peine d'éviter le secteur énergétique, crucial pour l'Europe : l'Allemagne importe par exemple 55% de son gaz de Russie. Pour le pétrole, la Russie est le deuxième exportateur mondial, derrière l'Arabie saoudite. Mais si les livraisons déjà garanties via oléoduc se poursuivent, de nombreuses maisons de courtage et raffineries préfèrent se tenir éloignées du brut russe, malgré les tensions sur l'offre pétrolière.

Au risque de voir les prix grimper encore plus alors qu'ils volent de record en record : le baril de Brent, référence européenne du marché, coûte plus de 110 dollars, alors qu'il en coûtait moins de 65 il y a un an. Outre le risque que les gouvernements changent d'avis sur les sanctions, les analystes soulignent la possibilité d'une condamnation publique des importateurs. En Europe du Nord, la raffinerie finlandaise Neste "a presque entièrement remplacé le brut russe par d'autres sources, notamment venues de mer du Nord", explique le groupe dans un communiqué. Le spécialiste suédois du bitume Nynas a également annoncé "arrêter les achats de matières premières d'origine russe".

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Selon Livia Gallarati, même le pétrole non-russe exporté depuis le pays, comme le brut kazakh, a pour l'instant du mal à sortir des ports russes, les compagnies de transport maritime les évitant également. Mais l'incertitude des acheteurs pourrait se dissiper puisque l'Ouest continue d'exclure des sanctions sur l'énergie, ajoute-t-elle : "Nous allons pouvoir voir quels acheteurs sont prêts à reprendre leurs achats". "La Chine et l'Inde devraient reprendre leurs achats une fois que les questions de fret, d'assurance et de paiement seront réglées", détaille-t-elle. Les sanctions contre la Russie compliquent et renchérissent l'assurance et le fret des cargaisons, tout comme les transactions financières.

Mais les raffineries indiennes et chinoises ne pourront pas absorber l'intégralité de la production russe : chaque pays construisant ses raffineries en fonction du brut qu'il compte utiliser, et il est difficile d'adapter les infrastructures. A plus long terme, "les compagnies occidentales ne vont plus aider la Russie en financement et en technologie pour ses projets d'extraction", prévoit Jarand Rystad, patron de la compagnie d'analyse Rystad Energy. Il estime dans une note que même sans sanctions directes, les exportations russes vont chuter de un million de barils par jour. "Les projets gigantesques comme celui de Vostok Oil risquent d'être retardés, et d'autres pourraient tout simplement être annulés, car les projets pétroliers ont une durée de vie limitée avec la transition énergétique", explique Jarand Rystad.

10 réponses

  • 04 mars 2022 14:35

    Le fleuron technologique Russe Yandex (le Google Russe) a annoncé être au bord de la faillite.
    Les départs des sociétés s'accumulent (Hermès Porsche par exemple ce jour)

    Pour le pétrole que peut-il se passer? Il va exploser encore plus je crois, et les états pourraient tordre le bras aux compagnies pétrolière pour contenir les pris à la pompe.
    Il ne me reste plus en portefeuille que Maurel et Prom, or et petrole pur, perso passé à la caisse quasi partout en PEA et dans les tribunes.


  • 04 mars 2022 14:35

    Le fleuron technologique Russe Yandex (le Google Russe) a annoncé être au bord de la faillite.
    Les départs des sociétés s'accumulent (Hermès Porsche par exemple ce jour)

    Pour le pétrole que peut-il se passer? Il va exploser encore plus je crois, et les états pourraient tordre le bras aux compagnies pétrolière pour contenir les pris à la pompe.
    Il ne me reste plus en portefeuille que Maurel et Prom, or et petrole pur, perso passé à la caisse quasi partout en PEA et dans les tribunes.


  • 04 mars 2022 15:14

    Je m attends à une mise au point de TOTALENERGIE sur leur participation et leur nouvelle orientation en matière d exploration production, le 8 mars lors de la web conférence, je m attends à une taxe exceptionnelle sur les profits qui vont subir charges et actifs dépréciés.
    Je pense que TOTAL va fournir tout le carburant à l'armée française gratuit pendant la durée de cette guerre ( ce n'est que mon avis )


  • 04 mars 2022 16:04

    Pétrole russe ne trouve plus preneur......


  • 04 mars 2022 16:37

    CHEVRON au plus haut.. No comment


  • 04 mars 2022 16:55

    On est parti sur un pétrole très cher pour des mois


  • 04 mars 2022 21:52

    Je m attends à un plan stratégique avec augmentation plus importante de l'exploration pour compenser abandons, gels, pertes.... En Russie on pourra pas y échapper.. 


  • 06 mars 2022 12:14

    Le comble serait de compenser le pétrole russe par le pétrole du VENEZUELA et de l'IRAN lesquels soutiennent POUTINE dans cette invasion, MADURO l'ami de MELENCHON n' pas condamné la RUSSIE, l a même soutenu publiquement !


  • 06 mars 2022 12:18

    Pas besoin du Venezuela ni de l’Iran mon bon Rafi. Ne vous inquiétez pas pour nous et commencez à envisager de trouver un nouvel emploi car avec toutes ces sanctions et sans l’argent du gaz votre employeur risque d’avoir de grosses difficultés financières prochainement.


  • 12 mars 2022 13:52

    Le comble serait compensation par le Venezuela ami de Poutine.... 


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