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Retour au sujet ORANGE

ORANGE : Stéphane Séjourné Chargé de la stratégie industrielle au niveau européen

09 déc. 2024 09:01

Stéphane Séjourné : « Nous allons lancer un choc de simplification de la réglementation européenne »
Chargé de la stratégie industrielle dans le nouvel exécutif européen, le commissaire européen Stéphane Séjourné dévoile dans « Les Echos » les contours de son pacte pour une industrie propre. Il détaille ses grands axes de travail : baisse du coût de l'énergie, soutien à l'automobile et à la filière des batteries, marchés publics, formation.

30 réponses

  • 09 décembre 2024 09:04

    Concernant plus précisément le secteur des télecoms:

    Question: Un autre secteur critique identifié par Mario Draghi est celui des télécoms…

    " Il a raison. La configuration actuelle en Europe, avec 140 opérateurs sur 27 marchés distincts, n'est bonne ni pour les consommateurs ni pour favoriser les investissements nécessaires dans les réseaux. A terme, il faudrait revenir à une vingtaine ou une trentaine d'opérateurs aux reins suffisamment solides. La Commission doit créer les conditions favorables à cette concentration."


  • 09 décembre 2024 09:05

    Yaka faut qu'on..


  • 09 décembre 2024 09:11

    On peut deviner l'extraordinaire puissance de ce commissaire


  • 09 décembre 2024 09:53

    Est ce vraiment l'UE qui a motivé la France à privatiser les PTT... ou l'appât du gain?
    De mémoire, 200 M de titres vendus 27 € à L'IPO, 5 G€ quand même!!!


  • 09 décembre 2024 10:02

    "pacte pour une industrie propre"
    Rien qu'en lisant ça, tu sais déjà que ce sera de la paperasse en plus.


  • 09 décembre 2024 10:05

    En attendant : baisse des investissements industriels de 26% dans le Monde, baisse de 10% en France, et deux pays qui captent encore les investissements industriels : les USA et l'Inde. Notamment grâce aux investissements européens. Voilà, maintenant vous savez où investir votre argent.


  • 09 décembre 2024 10:25
    09 décembre 2024 09:53

    Est ce vraiment l'UE qui a motivé la France à privatiser les PTT... ou l'appât du gain?
    De mémoire, 200 M de titres vendus 27 € à L'IPO, 5 G€ quand même!!!

    Le Gouvernement je ne sais pas. Mais le budget français peut encore dire merci à la privatisation des télécoms. En 1996, c'était la soulte de France Télécom (37,5 milliards de francs reversés à l'Etat par France Télécom et destinés au financement de la retraite des agents de l'entreprise) qui avait permis de respecter les critères de Maastricht.
    En revanche, le personnel était contre la privation et les syndicats vent debout. D'ailleurs, la France a fait figure d’exception. Le 12 octobre1993, plus de70% des salariés de France Télécom se sont mis en grève contre la libération et la privatisation. De nombreuses grèves massives ont eu lieu jusqu’en 1996 et le personnel de France Télécom a massivement participé au mouvement social de 1995. Dans les autres pays de l’Union au contraire le mouvement syndical a accompagné le processus de libération et de privatisation des opérateurs publics.


  • 09 décembre 2024 10:30

    "Dans les autres pays de l’Union au contraire le mouvement syndical a accompagné le processus de libération et de privatisation des opérateurs publics."

    En France, les syndicats font avant tout de la politique. Et servent de marchepieds pour des gens qui n'ont d'autres moyens d'exercer un certain pouvoir de nuisance.


  • 09 décembre 2024 10:32

    Exemple
    : https://atoleaks.bourse.blog/aliagate-partie-1-bande-son-exclusive-dun-co nseil-de-liaison-cfdt-sous-les-ordres-du-commandant-alia-iassamen-prise-en-delit -dhysterie-de-menace-dintimidation-et-de-chantage/


  • 09 décembre 2024 10:35

    M3746411

    Il ne faut pas oublier non plus les recettes générées par les opérateurs mobiles dans les ventes successives de licences.


  • 09 décembre 2024 10:40
    09 décembre 2024 10:25

    Le Gouvernement je ne sais pas. Mais le budget français peut encore dire merci à la privatisation des télécoms. En 1996, c'était la soulte de France Télécom (37,5 milliards de francs reversés à l'Etat par France Télécom et destinés au financement de la retraite des agents de l'entreprise) qui avait permis de respecter les critères de Maastricht.
    En revanche, le personnel était contre la privation et les syndicats vent debout. D'ailleurs, la France a fait figure d’exception. Le 12 octobre1993, plus de70% des salariés de France Télécom se sont mis en grève contre la libération et la privatisation. De nombreuses grèves massives ont eu lieu jusqu’en 1996 et le personnel de France Télécom a massivement participé au mouvement social de 1995. Dans les autres pays de l’Union au contraire le mouvement syndical a accompagné le processus de libération et de privatisation des opérateurs publics.

    Amha il est normal que le personnel soit contre la " privation "


  • 09 décembre 2024 10:42

    Ce sont les Etats-Unis qui profitent le plus de cette situation: 29% des investissements industriels sont concentrés outre-Atlantique, contre 13% en 2023. Une performance qui place le pays juste devant l'Inde et loin devant l'Union européenne ou encore la Chine.


  • 09 décembre 2024 10:42

    lapsus linguae ?


  • 09 décembre 2024 10:43

    Au total, 37% des montants investis par les industriels européens depuis le début de l'année ciblent les Etats-Unis, contre 33% pour l'Europe.

    Make America great again.


  • 09 décembre 2024 10:59
    09 décembre 2024 10:40

    Amha il est normal que le personnel soit contre la " privation "

    @Morgol

    "Amha il est normal que le personnel soit contre la " privation "

    Ha bon? Et pourquoi? Simple question: un retour à l'ancien monopole est-il possible?


  • 09 décembre 2024 11:08
    09 décembre 2024 10:43

    Au total, 37% des montants investis par les industriels européens depuis le début de l'année ciblent les Etats-Unis, contre 33% pour l'Europe.

    Make America great again.

    Hé oui!

    En 2016, la destination des investissements industriels européens dans le monde étaient tournés à 10.8€ vers les Etats Unis. Ils se sont à 26.3% en 2024 (à la date de fin octobre).


  • 09 décembre 2024 11:10

    ouos...ils le sont


  • 09 décembre 2024 11:29
    09 décembre 2024 10:59

    @Morgol

    "Amha il est normal que le personnel soit contre la " privation "

    Ha bon? Et pourquoi? Simple question: un retour à l'ancien monopole est-il possible?

    Privation
    Fait de se priver volontairement ou d'être privé par les circonstances des choses nécessaires, essentielles, en particulier de la nourriture (souvent pluriel) : Souffrir de privations pendant la guerre.
    Fait d'être privé de quelque chose : La privation des droits civiques.
    Privatisation

    Privatisation
    Action de transférer au secteur privé une activité, une entreprise qui appartenait au secteur public : La privatisation des autoroutes.


  • 09 décembre 2024 11:50

    C'est "privatisation" que je voulais écrire évidemment.


  • 09 décembre 2024 13:15

    La privatisation, c'est donc la fin de la privation. Avant, facturation à la minute, après, volumes quasi illimités.


  • 09 décembre 2024 14:20

    Sejourné n'est qu'un petit marquis complètement transparent qui se fera écraser par les Van Der Leyen et compagnie qui privilégient les intérêt de leur pays comme l'Allemagne à l'encontre de ceux de la France. Il a été laminé lors de sa mise sur le grille par les parlementaires européens (il suffit de voir sa réaction en direct à l'intervention de Sarah Knafo par exemple). On peut penser ce que l'on veut de Breton mais au moins il avait un poids certain et il osait rentrer dans le lard de l'impératrice. Pas sur qu'avec le falot Sejourné cela soit le cas.


  • 09 décembre 2024 14:32

    Le gars est quand même un génie :
    "Le commissaire français chargé de la stratégie industrielle européenne suggère la répartition des tâches. "Il faut ensuite spécialiser les pays par production : ceux du Sud sur le photovoltaïque, ceux du Nord sur l'éolien, d'autres sur le nucléaire ", lance t-il, dans un entretien aux Echos , publié dimanche 9 décembre."

    On va se régaler 🤣🤣🤣


  • 10 décembre 2024 08:13

    Á Bruxelles, la future réforme des télécoms crée des remous
    Réunis à Bruxelles, les ministres européens des télécoms ont affiché leur scepticisme face aux propositions du rapport Draghi. Aucune réforme du marché n'est possible sans l'accord des Vingt-Sept.

    A Bruxelles, la réforme du marché des télécommunications voulue par la Commission européenne et inspirée par le rapport Draghi se heurte à la résistance des Etats membres. Réunis vendredi, les ministres européens du numérique ont affiché, en creux, leur scepticisme face à un allègement des règles de concurrence en vue de favoriser les fusions dans les télécoms, l'une des principales mesures du rapport Draghi pour ce secteur.

    Celui-ci prône une réduction de la réglementation ex ante au niveau national qui décourage les investissements et appelle à favoriser une application ex post de la politique de concurrence en cas d'abus de position dominante, soit agir après que des problèmes ont été identifiés.

    Mais dans leur position rédigée à l'issue de la réunion, les Vingt-Sept soulignent, au contraire, l'importance de maintenir une réglementation qui permette aux régulateurs d'intervenir avant que des problèmes de concurrence ne se manifestent, afin de prévenir des comportements anticoncurrentiels.

    Le rapport Mario Draghi, devenu le livre de chevet des fonctionnaires de la Commission, estime que le sens de l'histoire est d'aller vers un marché unique des télécoms. Cela faciliterait la création d'acteurs européens.

    Il appelle notamment, dans ce cadre, à l'harmonisation des règles d'octroi de licences télécoms, un sujet épineux, là encore, rejeté par les Vingt-Sept.

    Ceux-ci considèrent la gestion du spectre comme « un outil essentiel de politique publique » et soulignent « l'importance des compétences nationales des Etats membres à cet égard ». « C'est un levier essentiel de l'aménagement du territoire », a estimé Cyril Piquemal, le représentant permanent adjoint de la France auprès de l'UE, lors de la réunion. En clair, le maillage numérique des territoires ne peut bien se faire qu'à une échelle nationale.

    Derrière ces déclarations se cache aussi, sans doute et surtout, la peur des Etats membres de perdre les précieux revenus liés à ces licences qui se vendent des milliards et sont de véritables jackpots.

    « Cette opposition est le principal obstacle au marché unique des télécoms », explique un haut fonctionnaire européen, qui imagine que la Commission pourrait devoir « trouver un mécanisme pour reverser au moins une partie des revenus aux Etats, tout en centralisant la gestion des fréquences au niveau européen ».

    « Je tiendrai compte de chacune de vos remarques pour préparer les futures initiatives, a promis Henna Virkkunen, aux Vingt-Sept, en conclusion de la réunion. Le statu quo n'est pas envisageable, a ajouté la vice-présidente de la Commission chargée de la souveraineté technologique. Nous devons penser en tant qu'Européens pour avoir des réseaux télécoms résilients et de haute qualité ; une solution nombriliste n'a aucune chance face à la concurrence internationale. »

    Elle a promis la loi sur les réseaux numériques pour 2025, ce qui paraît très ambitieux compte tenu des réserves actuelles. A moins que la Commission n'accepte de revoir sa copie.


  • 10 décembre 2024 09:34

    Avoir des réseaux de télécommunication résilients n'a rien à voir avec le nombre d'opérateurs.

    Pire, un seul réseau est moins résilient que plusieurs disjoints.


  • 10 décembre 2024 09:53
    10 décembre 2024 09:34

    Avoir des réseaux de télécommunication résilients n'a rien à voir avec le nombre d'opérateurs.

    Pire, un seul réseau est moins résilient que plusieurs disjoints.

    C'est probable. Mais la "résilience" est mise maintenant à toutes les sauces


  • 10 décembre 2024 09:59

    Mais il s'agit ici de résilience organisationnelle je pense.


  • 10 décembre 2024 10:03

    Les organisations résilientes ne font pas que survivre, elles prospèrent dans un monde imprévisible. Elles relèvent de nouveaux défis avec confiance et sont capables de s’adapter rapidement aux fluctuations du marché, aux nouvelles menaces et à la concurrence perturbatrice.

    Peut être que la Commission pense à une résilience européenne face aux Gafams?


  • 10 décembre 2024 10:07

    Exemple: Orange est-elle résiliente face aux nouvelles donnes de la concurrence? Vous avez 4 heures...


  • 12 décembre 2024 18:06
    09 décembre 2024 09:01

    Stéphane Séjourné : « Nous allons lancer un choc de simplification de la réglementation européenne »
    Chargé de la stratégie industrielle dans le nouvel exécutif européen, le commissaire européen Stéphane Séjourné dévoile dans « Les Echos » les contours de son pacte pour une industrie propre. Il détaille ses grands axes de travail : baisse du coût de l'énergie, soutien à l'automobile et à la filière des batteries, marchés publics, formation.

    Nous voilà sauvés...😂


  • 12 décembre 2024 19:36
    09 décembre 2024 09:53

    Est ce vraiment l'UE qui a motivé la France à privatiser les PTT... ou l'appât du gain?
    De mémoire, 200 M de titres vendus 27 € à L'IPO, 5 G€ quand même!!!

    Je me souviens parfaitement de l’ouverture du K lancée en fanfare sous le gouvernement Jospin, en 1997.
    (A mon avis l’idée était déjà dans les esprits sous la présidence Giscard, dans les années 70) M. Bon, quant à lui, vantait et vendait auprès du personnel, dont je faisais partie, d’une souscription massive.
    L’action a bien monté jusqu’à plus de 200 €, soutenue par les analystes, avant la dégringolade entamée après l’éclatement de la bulle Internet. A mon avis le cours de l’action a pâti d’une politique de croissance externe ( achat d’Orange par ex.) à base d’endettement menée par M. Bon, ancien banquier. Aujourd’hui, je ne crois plus du tout à un rebond de l’action, devenue une valeur de rendement, son seul attrait !


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