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Tant que l'argent coule à flot, c'est pas grave.
Il en restera bien assez pour les héritiers.
16 octobre 2024•12:59
Une fois qu'on aura taxé les 10% de retraités les plus riches, que fait-on ? On descend aux 10% un peu moins riche ? Et ensuite ? ...
16 octobre 2024•13:06
16 octobre 2024•12:59
Une fois qu'on aura taxé les 10% de retraités les plus riches, que fait-on ? On descend aux 10% un peu moins riche ? Et ensuite ? ...
Ensuite, si ça descend trop je commencerais à me sentir viser :-)
16 octobre 2024•13:29
Il faut prendre 100% des héritages pour boucher un bout du trou national.
16 octobre 2024•13:38
Si je résume bien, en tant que "riche retraité" (j'ai attentivement étudié les graphiques joints), je vais donc me faire saigner pour rembourser les largesses accordées pendant le COVID.... dont je n'avais pas profité!!!
Il y a quand même des limites à cette "justice sociale" qui n'en a que le nom.
16 octobre 2024•13:58
16 octobre 2024•13:38
Si je résume bien, en tant que "riche retraité" (j'ai attentivement étudié les graphiques joints), je vais donc me faire saigner pour rembourser les largesses accordées pendant le COVID.... dont je n'avais pas profité!!!
Il y a quand même des limites à cette "justice sociale" qui n'en a que le nom.
Contribuer ne me dérange pas. La redistribution est bien prendre aux uns (qui en ont) et donner aux autres (qui en ont besoin). C'est bien ça la justice sociale. C'est de la générosité. C'est contribuer.
Faire partie des 10% et se plaindre serait déplacé.
16 octobre 2024•14:03
A 300 000€ le conseil, je suis content d'avoir contribué par solidarité au chiffre d'affaires de McKinsey pendant le COVID.
Si on m'avait demandé comment dépenser MON pognon, j'aurais trouvé plus utile.
16 octobre 2024•14:13
Tiens, en parlant de McKinsey
: https://www.consultor.fr/articles/le-partnership-parisien-de-mckinsey-se- deplume-avec-le-depart-de-deux-nouveaux-associes
16 octobre 2024•14:22
Toujours en parlant d'économies, le gvt allemand aussi se serre la ceinture. Premières cibles : l'aide à l'Ukraine et l'aide au développement. Charité bien ordonnée commence par soi-même. Rappelez-moi la composition du gvt allemand ?
16 octobre 2024•14:55
M3746411 les largesses du covid ont beau dos. La majorité du deficit qu'a rajouté le couple Macron Lemaire a été hors covid. Et surtout depuis 2021 les largesses ont continué alors que l'on aurait du serrer la vis dès fin 2020 après le quoi qu'il en coûte. En quatre ans on avait tout le temps pour revenir à en dessous des 3%. Un peu de "rigueur" (si on peut appeler rigueur 48% du PIB de prélèvement et plus de 50% de dépense ce qui est digne d'un pays communiste) était politiquement vendable après la phase du quoiqu'il en coûte du covid. C'était la période idéale pour rétablir les finances (surtout avec l'inflation et la hausse des taux qui se sont invités dans l'histoire) avec une bonne communication accès sur le remboursement du quoi qu'il en coûte. Il suffisait entre autre et par exemple pour cela de ne pas répercuter toute l'inflation sur les prestations sociales type retraite (surtout celle des riches 😁). Et on aurait gagner des milliards.
Mais bon ils ont du préférer ne pas prendre de risque en vu probablement des élections de 2022 et celle de 2024. C'est pathétique.
remarque : il faut aussi rajouter pour les 6% de déficit de 2024 que le changement de gouvernement de janvier et la superbe et très utile dissolution de juin ont coûté très très cher (cela se compte en dizaine de milliards), à priori plus que les erreurs de calculs de Bercy. Merci encore cher président.
16 octobre 2024•16:28
16 octobre 2024•13:29
Il faut prendre 100% des héritages pour boucher un bout du trou national.
Ça sert à rien ce serait transféré avant la succession.😉
16 octobre 2024•17:13
Ce jour, Bruno le champion de l'amour déjeunait avec des potes dans un bon restau parisien. Prévu de longue date, disent certains, pour préparer sa défense, disent les autres.
La défense, elle est vite trouvée : moi, je voulais pas, c'est Manu qui m'a obligé.
🤪🤪🤪
16 octobre 2024•17:24
16 octobre 2024•17:13
Ce jour, Bruno le champion de l'amour déjeunait avec des potes dans un bon restau parisien. Prévu de longue date, disent certains, pour préparer sa défense, disent les autres.
La défense, elle est vite trouvée : moi, je voulais pas, c'est Manu qui m'a obligé.
🤪🤪🤪
C'est un peu facile de charger le même. On oublie un peu vite la démago de toute la classe politique ! La campagne de juin n'est pas si loin avec les promesses toutes plus invraisemblables les unes que les autres. C'est bien les français qui votent non? Il a bon dos mais lequel n'a pas soufflé sur les braises depuis la crise covid?
16 octobre 2024•18:20
Justement, parlons-en de la campagne : les autres ne savent pas compter, nous sommes les seuls à avoir un programme cohérent. De toute façon, si le déficit réel est à l'origine de la dissolution, ce n'est pas en priorité pour ça que les Français ont voté. Les Français ont bien d'autres problèmes, qu'il s'agirait de résoudre si les politiciens veulent qu'ils consentent à des efforts financiers.
16 octobre 2024•19:06
Ça paraît simple de taper sur les retraités mais quand on bloque les retraites on pénalise bien sûr le retraité du moment mais aussi tous les futurs retraités qui subiront aussi cette perte lorsqu’ils toucheront leur retraite.
J’ai l’impression que beaucoup l’oublie ….
16 octobre 2024•20:14
landro78 non on ne l'oublie pas. Mais l'effort n'est pas énorme (baisse de 0.9% de pouvoir d'achat de sa retraite) et ce décalage de 6 mois c'est rien par rapport à ce qui sera nécessaire à terme pour équilibrer le régime des retraites.
Courbe démographique qui rend la répartition non viable. Un régime des retraites du public extrêmement avantageux qui est structurellement en déficit. Un niveau de vie moyen actuel des retraités qui est historiquement au plus haut et qui même dépasse celui des actifs. Mitterrand qui savait 2 ans après avoir pris la mesure que la retraite à 60 ans était économiquement intenable. Les retraites dans le futur (10, 20 ou 30 ans) c'est pas la joie.
16 octobre 2024•21:51
lambe326
malheureusement, la perte de revenus est déjà actée pour les futurs pensionnés par rapport à ceux qui sont déjà en retraite.
C'est d'ailleurs comme cela qu'ont fonctionné les différents gouvernements qui se sont succédés : en agissant sur les modalités de calcul de la future retraite, sur le montant et sur la durée de cotisation, tout en focalisant le débat sur des sujets connexes comme la pénibilité, l'age de départ, etc...
Résultat des courses (pour le régime général), à partir de la génération 1968 il faudra avoir cotisé 172 trimestres (contre par exemple 160 trimestres pour ceux nés avant 1949).
Le montant des cotisations a lui aussi augmenté progressivement pour le régime général tout comme pour les complémentaires obligatoires (AGIRC et ARRCO).
Enfin, le mode de calcul des pensions a évolué avec divers artifices: taux plein, décote, taux d'appel pour les régimes complémentaires, etc...
En résumé pour les actifs d'aujourd'hui (même ceux qui ne sont plus très loin du bout), pour un salaire équivalent en fin d'activité, le montant de leur pension sera bien inférieur à celui que touchent ceux qui sont déjà retraités.
Pour s'en convaincre, il suffit de regarder l'évolution du taux de remplacement (le pourcentage du revenu d'activité qu'on touche une fois à la retraite).
D'après une récente étude du COR (Conseil d'Orientation des Retraites), le taux de remplacement moyen d’un salarié privé non-cadre passera de 75,6 % en 2020 à 64,4 % en 2050. Pour un cadre, la situation sera d’autant moins favorable avec une pension de 55,5 % en 2020 et de 42,7 % en 2050.
Bref, les gouvernements successifs n'ont jamais osé s'attaquer directement aux montants des retraites mais ils ont joué sur différents paramètres pour que les pensions versées diminuent avec le temps.
Il y a donc bien un traitement différent selon les générations et les actifs l'ont bien intégré (surtout les jeunes qui sont les plus impactés).
16 octobre 2024•23:50
Depuis le Moyen Age tout tombe en quenouille, à cette époque les jours fériés étaient nombreux, jusqu’à un jour sur trois. On pouvait selon les années dépasser les 100 voire 150 jours fériés. Des jours de repos donc, mais avec un petit défaut, ils n’étaient pas rémunérés. Bon, il y avait quand même moins de distractions, jeux de boules, de quilles, de balles.
17 octobre 2024•13:38
Certes au moyen age.
Mais l'espérance de vie était peut-être de 40 ans, donc pas de ... retraite 😬
17 octobre 2024•13:50
17 octobre 2024•13:38
Certes au moyen age.
Mais l'espérance de vie était peut-être de 40 ans, donc pas de ... retraite 😬
Les notions de repos et de retrait de la vie active existaient déjà dans ces périodes, mais elles étaient liées à l'âge avancé, à la maladie ou à des fonctions religieuses.
C'est avec la révolution industrielle que la notion de retraite prend un nouveau tournant. L'allongement de l'espérance de vie et l'organisation du travail en usines ont mis en évidence la nécessité de sécuriser la vieillesse des travailleurs.
Les systèmes de retraite par répartition se généralisent dans de nombreux pays, notamment après les deux guerres mondiales, pour répondre aux besoins d'une population vieillissante et pour stabiliser la société.
La question pourrait être" travailler ou vivre du travail des autres"? Est il préférable de donner ou prendre?
17 octobre 2024•14:51
@chris_pe C'est dommage moi qui pensait qu'au moyen-âge c'était le bonheur : pas de pollution, la vie au grand air, des exercices physiques dans les champs, de l'artisanat.
17 octobre 2024•14:51
En fait durée de vie moyenne 50 ans, et il valait mieux être fourmi que cigale, père de famille que célibataire au risque de se retrouver mendiant.
17 octobre 2024•14:53
https://editions-voxgallia.fr/retraite-existait-elle-au-moyen-age/?srsltid=AfmBO o o0iHJ_Oep_wDa6PldExf-i48EegBaQtf2w-TQkAtslTdVtMySG
17 octobre 2024•14:55
Message scindé car il passait pas en entier, c'était l'URL, ok avec espace entre BO o o0 , du coup 2 espaces
17 octobre 2024•16:27
"durée de vie moyenne 50 ans"
Compte tenu de la mortalité infantile élevée (1 enfant sur 4 meurt en bas âge), on devait pouvoir atteindre les 60 ans assez facilement ... Hors périodes de guerres, de famine, d'épidémie, de razzias sarrasines, et autres calamités naturelles.
Le doge de Venise Enrico Dandolo est mort à 98 ans, mais c'est une exception.
17 octobre 2024•16:28
Et puis, le moyen-âge, c'est long...
17 octobre 2024•17:50
A propos des retraites, on parle de minimum vieillesse, de Smic (pour les salaires..) mais pour les retraites, l'avtivité etant la meme pour tous...pourquoi ne pas mettre en place un maximum de retraite ( par exemple 6000€: par mois), ceux qui ont une telle retraite, avaient un bon revenu, ils sont en général proprietaires, et avec des revenus financiers annexes, pourquoi ne pas limiter la retraite à 6000€, quel est le problème..? question d'équité...
17 octobre 2024•17:59
je rappelle que M. Barnier aurait une retraite de plus de 28000€ par mois, certes il a beaucoup travaillé..! quand à
M. Breton, il c'est attribué une retraite chapeau de 700 000€ par an par Atos, que l'etat doit maintenant renflouer avec 2,5 milliards d'Euros , quel gestionnaire hors pair ! et ce pauvre Bruno Lemaire qui aprés avoir geré de façon tout aussi merveilleuse les finances de la france maintenant travaille en Suisse..même pas une petite retraite chapeau...
18 octobre 2024•01:32
6000€ ? Mais vous n'avez même pas un pied à terre au Trocadéro avec ça, cher ami.