SOCIETE GENERALE : Je me suis absenté une matinée à +2%

Qchose

03 novembre 2025 •10:20

Je ne comprends rien à la politique M4214269 mais plutôt que de toujours taxer, ils pourraient pas plutôt réduire leur train de vie ?

M4214269

03 novembre 2025 •10:58

S'il s'agit des hommes politiques sans doute, mais cela ne permettrait pas d'économiser des milliards.

rouveli2

03 novembre 2025 •11:56

Qchose comment voulez-vous qu'un gouvernement quel qu'il soit puisse faire voter une Lois ?
L'assemblée Nationale une vraie cour des miracles avec le LFI en tête la France profonde au pouvoir...sourire !
En France nous avons une dizaine de partis qui sont tous contradictoires ! De plus ce qu'ils veulent ce sont des voix pour pouvoir être députés plus rentable qu'être au gouvernement avec moins de responsabilité!
Je crois qu'ils pensent d'abord à eux avant de penser aux Français!!!

dunfo

03 novembre 2025 •14:24

rouveli2 : c'est bien cela le problème depuis longtemps...Le politique est devenu un personnage ambitieux favorisant son enrichissement personnel, ses accointances qui peuvent lui offrir ce but mais en aucune façon le souci du pays, encore moins de ses habitants, n'entre dans ses visions ...
Hélas ce ne sont plus des professionnels mais juste des affairistes iu des opportunistes motivés par la seule ambition personnelle, loin, très loin de la prospérité du pays qui les nourrit ...

rouveli2

03 novembre 2025 •16:19

dunfo c'était avant !
Quand il était président, le général de Gaulle considérait que l’argent public devait rester intouchable.
Au Palais de l’Élysée, il était hors de question que l’État prenne en charge la moindre dépense personnelle.
Son épouse, Yvonne de Gaulle, tenait un petit cahier où elle notait, avec une rigueur exemplaire, toutes les dépenses du foyer : électricité, nourriture, vêtements, savon… Rien n’échappait à son contrôle.
Chaque mois, le couple adressait un chèque au Trésor public afin de rembourser ces frais strictement privés.
Un jour, le comptable de l’Élysée lui fit remarquer que ce n’était « pas nécessaire ».
Elle lui répondit avec fermeté :
« Monsieur, tout ce qui n’est pas public est privé, et ce qui est privé, c’est à nous de le payer. »
Le sens du devoir et de la probité était tel que même leurs enfants et petits-enfants n’avaient pas le droit d’utiliser les voitures officielles pour des déplacements personnels.
De Gaulle refusait les privilèges liés à sa fonction.
Il réglait toutes ses factures à l’Élysée — jusqu’au coût du savon ou des repas de famille — et avait même renoncé à son salaire présidentiel, choisissant de vivre uniquement de sa pension de général.
À sa mort, il ne laissa derrière lui aucune fortune, seulement sa maison de Colombey-les-Deux-Églises, acquise avant la guerre.
On raconte qu’il arrivait au Général d’envoyer spontanément des chèques au Trésor public lorsqu’il soupçonnait qu’une dépense privée avait pu, par erreur, être réglée avec de l’argent de l’État.
Un sens de l’intégrité et du devoir qui force encore aujourd’hui le respect — et qui rappelle que le véritable prestige ne réside pas dans les privilèges, mais dans l’exemplarité.

dunfo

03 novembre 2025 •16:25

rouveli2 : eh oui Ô Tempora Ô mores comme disaient les Romains...😉
Déliquescence... que sont donc devenues les valeurs de notre pays ?

kozlow67

03 novembre 2025 •17:32

dunfo, ce ne sont pas tant les valeurs de notre pays qui s'écroulent, que les valeurs de ceux qui y vivent... quans je vois shein qui entre au BHV, alors qu'ils proposent des poupées por nographiques... le pire c'est que des personnes vont aller acheter à un organisme qui veut l'extinction de nos démocraties... C'est un peu comme ces ouvriers de la sidérurgie qui allaient manifester contre la fermeture des usines en France dans leur voiture coréenne !